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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 09:41

Les Plantes d'Akrana
Episode 1
 

Au large du système d’Akrana – année terrestre 5073
 
- Nous approchons du système d’Akrana, Capitaine.
- Bon, dévions notre route. Il vaut mieux ne pas trop s’approcher de ce système, il est hors de la frontière avec la Fédération des Planètes Unies. Enseigne Lhatta, veuillez entrer les coordonnées 03.7.89.4.45.
- Bien Capitaine.
 
Le Capitaine Douglas se leva alors de son siège de commandeur du vaisseau FPU-Atlas. Approchant la quarantaine, le Capitaine était bel homme, grand, fort, des cheveux noirs, coupés à la brosse, et des yeux bleus dans lesquels se lisait une volonté de fer. Héros de la guerre des trois systèmes, sa réputation tant de pilote que de Capitaine n’était plus à faire. Depuis la fin de la guerre, il faisait surtout des missions d’escorte avec un navire de combat de taille moyenne de la fédération, le FPU-Atlas. Même si ce n’était pas un gros vaisseau de guerre, comme un de ceux qu’il avait commandé lors de la guerre des trois systèmes, et qu’il n’avait comme équipage qu’une vingtaine de personnes à bord, le Capitaine l’aimait pour sa rapidité et sa maniabilité.
 
Après avoir escorté une expédition scientifique vers le Système Endorra3, mission sans accroc, ils retournaient vers la station Orbital1, la plus grosse de la Fédération, à la limite de la Voie Lactée, avant de peut-être reprendre le chemin de la terre…
 
- Voilà, la route vers Orbital1 nous est toute tracée. Lieutenant Jones, prenez le commandement, je vais à ma cabine me reposer un peu...
 
Le second du Capitaine, le Lieutenant Martha Jones était une femme d’une trentaine d’année, les cheveux châtains, et qui, en plus d’être jolie, était surtout un excellent soldat. Elle aussi avait fait montre de courage lors de la guerre des 3 systèmes, et ses relations avec le Capitaine Douglas, très professionnelle, en faisaient un tandem de choc, la meilleure équipe d’officier de toute l’armée de la Fédération des Planètes Unies.
 
Le Lieutenant Jones se levait lorsque l’alarme retentit. Le Capitaine Douglas se retourna d’un bloc. Il revint à sa place.
 
- Que se passe-t-il ?
- Nous recevons un message de détresse mon Capitaine.
- Sur haut-parleur !
 
Un son diffus, entre-coupé d’interférence, se fit entendre par les hauts-parleurs :
« Ici FPU-Evergreen. SOS. Je répète SOS. Tempête magnétique nous a fait dévier… coordonnées 01.7.59.4.45. SOS. Vaisseau… nombreuses avaries… oxygène se raréfie… n’en avons plus pour longtemps… SOS… »
 
- Enseigne Lhatta, fit le capitaine, avons-nous des détails sur le vaisseau FPU-Evergreen ?
 
L’enseigne Lhatta, dernière arrivée dans l’équipe de Douglas, une jeune eurasienne diplômée de l’Académie avec mention, connaissant par cœur quasiment tout les systèmes informatiques approuvés par la Fédération, rapide et efficace, tapota sur son écran de contrôle. Elle eut vite les renseignements demandés.
 
- Oui Capitaine. C’est un ancien destroyer spatial transformé en vaisseau scientifique. Il a quitté, il y a environ 15 jours terrestres, la station Orbital15 avec à son bord 150 personnes et quelques animaux d’études.
- 150 personnes ! Nous ne pouvons les laisser mourir comme ça. Allons les secourir, cap au 01.7.59.4.45, fit le Capitaine.
- Mais, Capitaine, fit le Lieutenant Jones, c’est de l’autre côté de la frontière !
- Je sais Lieutenant. Mais nous ne pouvons laisser ces gens. Nous n’avons aucune intention belliqueuse, c’est une mission de secours. Nos supérieurs comprendront ce genre d’impératifs.
 
Aussitôt, de toute la vitesse dont il était capable, le FPU-Atlas fit route vers le vaisseau en détresse. Il dépassa la limite de la Fédération des Planètes Unies, et entra dans le Système d’Akrana.
 
- Nous y sommes Capitaine
- Je veux le visuel sur l’écran. Que dit le radar ?
- Rien Capitaine, c’est étrange, aucun vaisseau signalé…
 
L’image s’afficha sur l’écran principal.
 
« Oh mon Dieu ! », fit le Lieutenant Jones. L’écran ne montrait pas un vaisseau spatial, mais tous des débris flottant dans l’espace, et commençant à suivre une route invisible, celle de l’orbite d’une des lunes d’Akrana. Ces débris devaient être tout ce qui restait du vaisseau FPU-Evergreen. Tout le monde avait les yeux fixés sur cette triste vision, même l’enseigne Lhatta, qui ne vit pas les deux points lumineux sur le radar, points lumineux qui se rapprochaient d’eux… jusqu’au moment où retentirent les sonneries d’alarme.
 
- Capitaine, deux vaisseaux en approche ! Un derrière nous et un autre qui nous coupe la route !
- Sont-ils de la Fédération ?
- Non, Capitaine ! Et ce sont de gros bâtiments de guerre à ce qu’il me semble…
- Nom de nom ! Et nous ne pourrons pas fuir !
- Capitaine, ils demandent à nous parler !
- Bien, sur visuel !
 
La tête d’un extraterrestre apparut sur l’écran. Il ressemblait à un humain, mais de couleur mauve, et avec des oreilles pointues, des traits presque efféminés… il ressemblait fort à la façon dont les humains représentent les elfes dans leurs légendes. Il semblait habillé d’un grand manteau bleu azur. Une grande noblesse émanait de lui. Il parlait une langue bizarre, mais les ordinateurs traduisaient simultanément.
 
- Vaisseau FPU-Atlas, vous êtes dans une zone qui vous est interdite. Vous risquez la destruction. Que faites-vous ici ?
- Ici le Capitaine Douglas du vaisseau FPU-Atlas de la Fédération des Planètes Unies. Nous sommes entrés dans cette zone pour une mission de sauvetage, après avoir reçu un message de détresse…
- Vous dites la vérité, nous avons eu ce message aussi. Nous faisions route vers votre système pour une mission d’ambassade de paix avec votre Fédération. Nous pourrions commencer les pour-parler ensembles, qu’en pensez-vous capitaine ? Je vous invite à mon bord.
- J’accepte ! Le temps d’aller dans la salle à téléportation.
 
L’écran devint noir. Le lieutenant Jones se porta à la hauteur du Capitaine.
 
- Capitaine, le code nous interdit de monter à bord de vaisseaux inconnus. C’est trop dangereux !
- Je sais lieutenant Jones, mais nous n’avons pas le choix. Nous avons une chance de signer un traité avec eux. Refuser pourrait les vexer, et vexer deux gros bâtiments solidement armés risquerait fort d’amener notre anéantissement. De toute façon, s’ils voulaient nous détruire, ils auraient déjà pu le faire.
- Capitaine, ils nous font confiance, fit l’enseigne Lhatta. Ils baissent leurs boucliers de protection.
Le Capitaine Douglas acquiesça, puis se tourna vers une personne sur sa droite.
- Attachée scientifique, que savons-nous sur les akraniens ?
L’attachée scientifique, le professeur Neil, pianota sur sa console. Celle-ci était une grande femme rousse, qui en plus d’être très belle, était pleine d’assurance et très intelligente. Elle avait un doctorat en sciences naturelles, en sciences spatiales, et en étude des formes de vies étrangères.
- Pas grand-chose Capitaine. Ils sont plus évolués que nous scientifiquement, et ont toujours refusé tout contact avec la Fédération. Ils n’ont jamais voulu nous envoyer d’ambassadeur ni de scientifique, et tous les vaisseaux étant entré dans leur système n’en sont jamais revenus.
- Bien. Lieutenant, vous prendrez le commandement en mon absence. Si je ne reviens pas, n’essayez pas de combattre, ils sont trop forts. Fuyez le plus vite possible prévenir Orbital1. Je resterai en contacte avec vous, disons, une fois par jour terrien.
- A vos ordres, mon Capitaine !
 
Le Capitaine salua militairement son subordonné, puis alla vers la salle de téléportation. Mais quelqu’un s’interposa.
- Mon Capitaine, puis-je vous accompagner ?
- Professeur Neil, je ne pense pas que…
- Veuillez m’excuser mon Capitaine, mais je suis l’attachée scientifique du vaisseau. Je pourrais vous aider à comprendre le mode de vie de ces extraterrestres, et aussi les étudier. On ne sait jamais, ça pourrait servir.
 
Le capitaine réfléchit quelque minute, puis accepta la demande du professeur Neil. Elle lui serait d’un grand secours. Et puis, si les choses tournaient mal, autant ne pas mourir seul, mais accompagné… Le Capitaine accepta sa requête.
 
Ils arrivèrent tous deux dans la salle de téléportation. Ils se placèrent sur le socle adéquat, puis l’opérateur tritura son panneau de commande. Il laissa l’accès au rayon du vaisseau extraterrestre. Un halo blanc entoura le Neil et Douglas, devint éclatant, puis disparu avec les deux humains. La téléportation s’était bien déroulée. L’opérateur enclencha un bouton, et communiqua avec le lieutenant Jones. « Opération réussie mon lieutenant, ils sont tous deux, vivant, à bord du vaisseau extraterrestre ». Le lieutenant Jones acquiesça. « Visuel, devant nous » fit-elle d’un ton péremptoire. L’enseigne Lhatta appuya sur un bouton, et le vaisseau extraterrestre apparut sur l’écran. Le lieutenant Jones le fixa en plissant ses sourcils. « J’ai un mauvais pressentiment » pensa-t-elle…
 
*          *
*
 
L’arrivée dans le vaisseau extraterrestre se fit sans aucun problème. L’un d’entre eux guida courtoisement Douglas et Neil à travers le vaisseau, vers le bureau de leur capitaine. Ils étaient assez semblables aux humains, avec deux bras, deux jambes, des corps également bien proportionnés. Les seules différences étaient leurs oreilles pointure, la couleur mauve de leur peau. Ils avaient tous des yeux en amandes, très effilés, et mis à part leurs cheveux ne semblaient pas avoir de poils. Ils portaient un étrange uniforme : un pantalon bouffant, dans une matière inconnue, qui ressemblait à de la soie, mais plus solide, plus opaque, et un long manteau bleu, dans la même matière, ouvert sur leurs torses glabres. Beaucoup d’entres eux se retournaient sur le professeur Neil. Douglas lui murmura à l’oreille « même ici vous faites forte impression ! ». Elle sourit, et lui glissa à l’oreille « Merci ! Mais c’est un peu à cause de nos combinaisons… je n’ai jamais compris pourquoi ils les faisaient si près du corps ! » Le capitaine regarda alors le corps du professeur. L’uniforme moulait ses seins très généreux, ainsi que ses fesses bien formées, bien rondes, son ventre plat, ses longues jambes galbées… Il lui dit à l’oreille « ce sont sûrement des hommes qui ont dessiné nos uniformes ! » avec un sourire franc qu’elle lui rendit.
 
Ils arrivèrent dans la cabine du capitaine. Il se leva à leur entrée.
- Bonjour ! Bienvenue, bienvenue ! Je suis content de vous rencontrer, Capitaine Douglas !
- Bonjour, mais… je ne connais même pas votre nom ! Et comment se fait-il que vous parliez notre langue ?
- Je suis le Zourk Menesis. Disons, chez vous, le Commandeur Menesis, chef des armées d’Akrana. Nous avons une technologie en avance sur vous : lorsque nous nous sommes parlés tout à l’heure, notre ordinateur a décrypté et analysé votre langage, puis, me l’a appris. Avant demain, nous parlerons tous votre langue. Nous sommes un peuple qui aimons connaître, nous instruire est notre quête.
- C’est fascinant, fit Neil.
- Voici le professeur Sarah Neil, fit le capitaine Douglas. Elle est notre attachée scientifique. Notre peuple aime aussi apprendre.
- Oui, Capitaine Douglas, votre peuple aime apprendre… mais il aime faire la guerre aussi. Vous avez beaucoup fédéré… les armes à la main ! Et ce, dans beaucoup de Galaxies ! Mais soit… - le capitaine Douglas voulut parler, mais le Zourk Menesis lui enjoignit de la main de ne rien dire - … ne revenons pas la-dessus. Mon peuple veut la paix. Nous voulons continuer à apprendre, sereinement. Mais nous en parlerons plus tard… tout à l’heure… j’ai prévu un banquet pour en parler calmement. J’ai mis des cabines à votre disposition, pour vous rafraîchir et vous reposer avant cela…
- C’est bien aimable à vous, Zourk Menesis.
- Vous me direz des nouvelles de l’hospitalité Akranienne. – une porte s’ouvrit dans le dos de Douglas et de Neil, et un Akranien entra - Voici Mannè. Il vient d’apprendre votre langue, et il sera votre guide dans le vaisseau. Il est en quelque sorte, notre ambassadeur scientifique ! Il va vous indiquer vos cabines.
La porte s’ouvrit, et Mannè sortit, suivi de Neil et de Douglas. Dès qu’il fut seul, Menesis alla vers son bureau, réfléchit un moment, puis appuya sur le bouton d’un interphone et parla : « L’opération est lancée. Phase 1 terminée. Phase 2 enclenchée. »
 
Après avoir pris congé du Zourk Menesis, Douglas et Neil suivirent Mannè dans le dédale des couloirs du vaisseau. Après avoir pris un ascenseur et empruntés certains couloirs, ils arrivèrent dans un long couloir, avec deux portes face à face. Lorsque Mannè arriva à leur hauteur, les portes s’ouvrirent.
- Capitaine Douglas, fit-il en montrant la porte de gauche. Professeur Neil, en montrant la porte de droite.
 
Douglas entra dans sa cabine. Elle était assez spacieuse, avec un petit salon et des canapés assez bas mais qui avaient l’air fort confortable, un lit, grand et confortable, un petit bureau, et une porte avec un coin-douche fort bien équipé. La seule décoration était une plante, assez grande, avec des pétales pourpre ou mauve. Le Capitaine n’aimait pas trop être séparé su professeur Neil. Après tout, ils n’étaient pas encore sûrs des intentions des akraniens, et seul on est moins fort qu’à deux ! Mais comme il n’avait pas le choix, il cacha ses préoccupations derrière un trait d’humour.
- Ma foi, c’est plus luxueux que ma cabine de capitaine, fit-il. Il faudra que je me plaigne au syndicat des officiers !
- Heureux que cela vous plaise, fit Mannè. Pas sortir seul, cela dangereux. Pour ça, je ferme la porte. Je viendrai vous chercher dans deux heures.
 
Il sortit et la porte se referma derrière lui. Douglas s’en approcha, et vit qu’il n’y avait aucun moyen pour lui de l’ouvrir. Il était enfermé. C’était une cage dorée, mais une cage quand même !
 
Le professeur Neil entra dans sa cabine, suivie par Mannè. Sa cabine était identique à celle du capitaine Douglas.
- Effectivement, jolie cabine, fit-elle ! Oh, que c’est joli !
 
Son regard de femme et de scientifique avait directement vu la grande plante, avec de belles fleurs aux pétales rouges. Elle s’en approcha. On aurait dit une sorte de noix de coco à demi-enterrée, avec des hautes tiges et des fleurs pourpres en trompette. Neil s’approcha d’elles et en huma une. Le parfum de ces fleurs était prodigieux ! Elle remarqua alors que les pistils de ces fleurs avaient la forme de petits pénis. Elle sourit, rougit, puis huma de nouveau le parfum des fleurs. Ce parfum était vraiment bon, entêtant. En un coup, elle se sentait bien, tout son stress s’envolait. Elle oubliait où elle était, elle était euphorique… elle renifla encore la fleur, se sentant de mieux en mieux. Son cerveau de scientifique comprit très vite ce qui se passait : le parfum de la fleur était neurotoxique, et elle était sous son influence. Elle se retourna pour dire quelque chose à son guide, mais celui-ci resta sans bouger, la regardant avec attention.
 
Comme droguée, Neil replongea son nez dans la fleur… elle se rappela les petits pistils, qui avaient des formes de pénis. Sous l’influence de la plante, elle commença alors à lécher les pistils, qui se durcirent sous sa langue, libérant des spores orangées qu’elle ingéra. Une autre sensation remplaça alors l’euphorie… Elle commença à avoir chaud, si chaud… son uniforme la gênait, elle l’ouvrit, et se déshabilla. Complètement nue, elle comprit ce qu’était cette sensation de chaleur : elle avait envie de sexe ! Cela ne lui était plus arrivé depuis fort longtemps, trop occupée par ses études scientifiques… Mais là, elle avait envie… Une envie folle, dévorante… Elle mit sa main sur sa chatte… qui était trempée ! son clitoris était gonflé d’envie… Elle se retourna et vit Mannè qui la regardait avec satisfaction…Nue, elle se dirigea vers lui…
 
- Mmh… dans un intérêt scientifique, je me demande comment tu es fait… susurra-t-elle…
 
Elle s’approcha de l’extraterrestre, lui caressa la joue, la nuque, le torse… pas un poil ! Ils étaient vraiment tout glabres ! Elle remonta ses mains sur les épaules de Mannè et fit tomber son manteau. Il avait une tête, deux grandes oreilles, un nez, une bouche, deux bras, un torse, deux jambes… mais sous le pantalon… qu’allait-elle découvrir ? Ses mains descendirent vers le pantalon, et après une recherche caressante, elle comprit comment l’ouvrir, et le faire glisser lentement le long des jambes de Mannè… et là… elle en ouvrit la bouche de stupeur ! Mannè n’avait pas une verge, comme les hommes de la terre… non, il en avait deux ! Deux l’une au-dessus de l’autre ! Elle se trouvait face à deux pénis mauve en érection… Elle qui en avait tant envie, elle en avait deux pour le prix d’un seul ! Elle approcha sa bouche d’une des deux verges, celle d’au-dessus, et commença à la lécher doucement. En même temps, elle astiquait la deuxième, juste en dessous. Sa chaleur recommençait à monter, elle se sentait à nouveau euphorique, elle avait envie de lui appartenir. Elle engouffra entièrement la verge dans sa bouche, lui faisant une pipe gourmande, rapide, tandis que sa main branlait de plus en plus vite son autre verge… la verge qu’elle branlait commença à battre et explosa… elle sentit un premier jet de foutre s’envoler, et retomber sur son dos, le sperme glissant lentement le long de son épine dorsale, tandis qu’un autre jet de foutre glissait le long de sa main… Puis ce fut la verge dans sa bouche qui explosa… avidement elle bu le sperme tiède de Mannè, dont le goût était pareil à celui du sperme humain… Tout cela l’excitait tellement fort ! Elle en voulait aussi… elle se coucha sur le sol, et se masturba devant Mannè. Elle caressa d’abord son clitoris, puis s’enfonça sans problème deux doigts dans sa chatte toute humide et toute ouverte… il ne lui fallut pas longtemps pour exploser, mouillant ses doigts de sa mouille… Elle porta ensuite ses doigts à ces lèvres qu’elle lécha avec gourmandise. Le spectacle fit aussitôt rebander Mannè. Petit à petit, ses deux verges se dressèrent. Sarah Neil les voulait en elle. Elle fit un signe à l’extraterrestre, qui vint se coucher sur elle. Elle sentit un gland tout chaud contre ses lèvres intimes, et d’un coup de rein, la verge de l’extraterrestre fut tout en elle. Elle gémit de plaisir. Il lui faisait l’amour avec sa deuxième verge, celle du dessous, et à chaque coup de rein en elle, sa première verge frottait son clitoris et le bas de son ventre… Sarah Neil gémissait de plaisir, et Mannè la prenait sans ménagement. Après quelques coups de queues, elle jouit une seconde fois. L’extraterrestre donna encore quelques coups de boutoir, puis s’arrêta. Elle en voulait encore ! Il la retourna sans ménagement, et elle se mit à quatre pattes. Il la prit alors en levrette. Toujours son sexe du dessous qui entra complètement en elle, dans un bruit de succion humide, le sexe du dessus frottant le long de la raie de ses fesses. Mannè donna quelques coups de boutoir furieux, puis s’arrêta… Sarah sentit alors qu’il sortit un peu d’elle, pour pouvoir placer sa verge du dessus contre son petit anus. Il y rentra doucement. Sarah eut un peu mal au début, mais son corps était tellement euphorique qu’elle ne sentit quasiment pas la douleur. Par contre, quand elle sentit les deux verges qui allaient et venaient, une dans son anus et l’autre dans son vagin, elle hurla de plaisir. Elle jouit encore une fois, de l’anus et de sa chatte, puis elle sentit les deux verges éjaculer en même temps, le sperme chaud se répondant dans son anus et dans sa chatte, lui arrachant encore un dernier râle de plaisir. Elle était toute remplie par Mannè… Puis Mannè se retira, la souleva dans ses bras, et la coucha dans le lit où elle s’endormit sans demander son reste.
 
*          *
*
 
Douglas alla s’asseoir sur un canapé. Puis il sortit un petit émetteur et appela son vaisseau.
- FPU-Atlas, vous me recevez ? Ici le capitaine Douglas.
- Je vous reçois capitaine. Ici le lieutenant Jones. Tout va bien ?
- Oui, ils sont vraiment très aimables ! Trop pour être honnête. Soyez sur vos gardes lieutenant Jones !
- D’accord ! Et vous ?
- Je suis invité à dîner ce soir !
- Veinard ! Toujours les mêmes qui s’amusent ! Faites attention à vous – terminé.
 
La communication s’interrompit. Douglas décida d’inspecter sa chambre avant de se rafraîchir et de se préparer pour le banquet. Il commença par la porte de sa cabine. Aucun système d’ouverture visible. Il l’avait observé sous tous ces aspects, mais pas moyen pour lui de sortir. Il inspecta alors le reste de sa chambre, et ne trouva rien… pas de caméra, pas de micro, rien qui puisse lui laisser penser qu’il était surveillé. « Etrange ! » pensa-t-il.
 
Puis, son attention fut attirée par cette plante qui trônait dans un coin de la pièce. Il s’en approcha. Elle ressemblait à une plante de la terre, une sorte de noix de coco à demi-enterrée, avec des hautes tiges et des fleurs pourpres ou mauves, en trompette. La plante était posée sur une sorte de table basse. « C’est certainement là qu’ils ont planqué leur système de surveillance ! » pensa-t-il. Il se baissa pour palper la table. En se baissant, son nez passa près d’une des fleures. « Non rien ! Mmhmm… il y a quelque chose qui sent vraiment bon par ici. Serait-ce ces fleurs ? » Il en approcha une de son nez et huma à pleine narine. « Oh oui, ça sent bon ! ». Il regarda encore autour de lui pour voir quelle partie de la pièce inspecter, mais tout d’un coup, il se sentit bizarre… plus léger, moins soucieux. En fait, il se sentit mieux. « Pas de problème, je vais quant même pas devenir parano ! Ces extraterrestres sont super gentil, super accueillant, pas de souci ! En plus ils ont des plantes qui sentent super bon ! ». Il revint près de la plante et huma encore une fleure. Il se sentit encore plus léger, encore mieux. Il devenait presque euphorique. Il examina de plus près la fleur, et vit que les pistils de ces fleurs avaient la forme de petits pénis. Il en rit tout seul. « Une fleur à bite ! » Il rit et replongea son nez dans la fleur. Il était si bien tout d’un coup. Une étrange idée lui passa alors par la tête. « Si je lèche ces pistils-pénis, vont-ils bander ? ». Le nez dans la fleur, il commença donc à titiller avec sa langue le pistil qui se durcit, et libéra des spores orangées que Douglas ingéra. Une autre sensation remplaça alors l’euphorie, il commença à avoir chaud, si chaud… son uniforme la gênait, il l’ouvrit, et se déshabilla. Complètement nu, il comprit ce qu’était cette sensation de chaleur : il avait envie de sexe ! Son pénis était tout bandé, tout dur. Le nez toujours dans la fleur, il commença à se masturber. Sa main montait et descendait sur son sexe, de plus en plus dur. Il accélérait le mouvement, sentit son pénis battre dans sa main et une giclée de sperme sortit, arrosant la plante, la terre de celle-ci, et sa main. Euphorique, il regardait cette plante, et examina de plus près la sorte de bulbe à demi-enterré, qui ressemblait à une noix de coco terrestre. Il vit qu’au milieu de ce bulbe il y avait une sorte de fente, sans doute par où la plante se nourrissait. Or cette fente ressemblait beaucoup à un sexe de femme. Il caressa le bulbe et la fente avec son doigt, et sentit que le bulbe était tiède et assez doux. Il introduisit son doigt dans la fente de la plante, et sentit qu’elle était assez profonde, et humide. Il ressortit son doigt, qui était mouillé. Il avait la même odeur que les fleurs, une sorte de sève orangée et visqueuse. Il renifla à nouveau le parfum entêtant des fleurs, et introduisit son doigt dans la fente du bulbe, comme s’il masturbait le sexe d’une femme. Euphorisé par la plante, il avait encore envie de sexe. Son membre redevint tout raide, il n’en pouvait plus, se masturber n’était pas assez… Il enjamba la plante, et fléchit ses jambes, plaçant ainsi son gland contre la fente du bulbe. Il fléchit encore plus les jambes, enfonçant son sexe dans la fente, entièrement, et commença à baiser le bulbe. C’était chaud et doux, un peu comme lorsqu’il utilisait sa poupée gonflable de service, mais en beaucoup mieux. Et chaque fois qu’il s’enfonçait dans le bulbe, ses fesses touchaient la terre, ce qui lui procurait de petites sensations pas désagréable du tout. C’était si bon ! Tout à son euphorie, il ne vit pas la terre remuer, et une tige de la plante sortit un peu de terre, juste là où ses fesses se posaient. Il sentit ce petit renflement, mais n’y pris pas attention. Plus il baisait la plante, plus la racine sortait de terre, et venait caresser son anus. C’était plaisant. Il continuait, et sentit la tige s’insinuer contre son anus, puis dans son anus… Tout en baisant le bulbe, Douglas s’empalait l’anus sur cette tige. Il baisait la plante qui l’enculait ! Cela avait l’air complètement fou, mais quelles sensations de plaisirs il ressentait ! Bien vite il jouit, remplissant le bulbe de son sperme. Puis, inexplicablement, il s’endormit, le nez dans une fleure de la plante, le sexe, flasque, toujours dans le bulbe, et la tige dans son anus. Et la plante le recouvrit de ses feuilles, comme si elle enlaçait le capitaine Douglas…
*          *
*
(a suivre...)
Par Brusselx - Publié dans : Mes Récits...
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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 10:02
A bord du FPU-Atlas, la tension montait. Le lieutenant Jones ne savait trop que faire. Le capitaine Douglas aurait dû appeler depuis plusieurs heures maintenant. Mais toujours pas de nouvelle. Selon les scanners, lui et Neil étaient toujours vivant. C’était déjà rassurant. Et les vaisseaux extraterrestres n’avaient ni bougé, ni relevé leurs boucliers, ni rien fait qui eut pu paraître agressif.
 
Un « bip bip » sonore retenti sur la passerelle.
- Lieutenant Jones, fit l’Enseigne Lhatta, un appel du vaisseau extraterrestre.
- Sur haut-parleur.
- Bonjour ! J’ai un message pour le lieutenant Jones.
- Bonjour, vous pouvez parler, je suis le lieutenant Jones.
- Je suis le Zourk Menesis, Commandeur des Akraniens. J’ai un message du capitaine Douglas. Il dit de ne point vous inquiéter, il devait vous donner de ses nouvelles, mais il ne peut le faire pour le moment. Il se repose. Vous savez notre bière est assez forte, et nous avons beaucoup parlé lors du banquet, et porté de nombreux toast. Mais, dans quelques heures il vous contactera lui-même…
- Bien merci pour ce message, Zourk Menesis…
- Pas de problème… Si certains d’entre vous veulent monter à bord, ils sont les bienvenues… histoire de faire mieux connaissance… ou vérifier que je dis vrai au sujet du capitaine…
- Merci Zourk Menesis, veuillez me laisser le temps de la réflexion.
- Bien sûr. Terminé
 
Jones réfléchit. Son intuition lui criait que quelque chose n’était pas normal. Elle flairait un piège. D’abord, elle connaissait assez le capitaine pour savoir qu’il tenait formidablement bien l’alcool pour un humain. C’était d’ailleurs pour cela qu’il était souvent envoyé en délégation, certains fonctionnaires tombant dans les pommes après deux toasts de certaines boissons intersidérales, frelatées ou pas ! De plus, cette façon de les attirer par petit groupe dans leur vaisseau ne lui disait rien qui vaille… Mais s’ils étaient agressifs, pourquoi ne pas avoir simplement détruit le FPU-Atlas ? Pourquoi toutes ces manœuvres ?
 
La seule façon d’y voir clair était d’enquêter à l’intérieur du vaisseau extraterrestre. Mais comment le faire le plus discrètement possible ? Une idée vint au lieutenant Jones. C’était dangereux, mais faisable.
- Enseigne Lhatta, envoyez un message au akraniens, et dites leurs que le lieutenant Jones et quatre membres d’équipage veulent monter à leur bord, en réponse à leur invitation.
- Bien lieutenant.
 
Lhatta fit comme le lieutenant lui avait ordonné, puis vint la rejoindre.
- Mon lieutenant, je voudrais vous signaler que ce que vous faites est périlleux. Si vous tombez entre leurs mains, nous n’avons plus d’officier pour nous commander.
- Oui, et c’est peut-être ce qu’ils souhaitent. Mais je ne compte pas y aller avec le groupe.
- Pardon ?
- Les akraniens ne m’ont pas vu, ils ne savent pas à quoi je ressemble. Une volontaire va se faire passer pour moi, et aller avec quatre autres volontaires sur le navire akranien, par téléportation. Pendant cette opération, qui attirera l’attention des akraniens, j’essayerai, en scaphandre autonome, de me glisser à leur insu dans leur vaisseau.
- Mais c’est dangereux ! Et s’ils vous repèrent ? Ou s’ils sont vraiment pacifiques ?
- Il faudra être très synchro. Lors de la téléportation, toutes les machines et l’attention est prise par l’opération de téléportation, pour éviter qu’elle ne se passe mal, ce qui serait désastreux. Je n’aurai donc que quelque minute pour me glisser à bord du vaisseau. Leur radar ne pourra me détecter, ma masse étant vraiment trop petite. S’ils me prennent, je ferai la maladroite, prétextant des réparations sur la coque de notre navire, et une défection de mon scaphandre qui m’a propulsé vers leur vaisseau, ma seule chance de survie… enfin, je me débrouillerai bien à leur servir une histoire de ce style. Mais si je réussis à passer inaperçue, je pourrai enquêter en toute liberté, et enfin savoir de quoi il en retourne.
- Lieutenant, c’est risqué, mais je pense que nous n’avons pas le choix. Je me propose volontaire pour me faire passer pour vous.
- D’accord enseigne Lhatta. Trouvez quatre autres volontaires pour vous accompagner. Et mettons nos montres synchro... voilà. Bien, commencez la téléportation à 23h05, heure terrienne. Pas avant ! Cela me laissera le temps de trouver une ouverture sur ce vaisseau… enfin j’espère !
 
*          *
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Ayant enfilé une combinaison, Jones sortit par un sas discret, sous le vaisseau. Avec ses propulseurs, elle couvrit rapidement la distance qui séparait les deux vaisseaux. Le vaisseau akranien était vraiment très grand, fait dans un alliage inconnu de la Fédération. Elle longeait l’immense coque du vaisseau. Où trouver une ouverture ? Sur un vaisseau spatial, ce n’était pas évident à trouver. Il n’y avait pas tellement d’entrée possible : elle ne pouvait pénétrer par un sas, car ils se verrouillent de l’intérieur. Ce vaisseau ne semblait à première vue par avoir de ponton de largage d’engin plus petit, elle ne pouvait donc pénétrer par-là non plus. Ce qu’elle cherchait était la seule ouverture de base commune à tous les bâtiments de toute les civilisations, terrestre ou extraterrestre : l’évacuation d’ordure. Elle regarda sa montre : 22h59. Plus beaucoup de temps ! « Mais où est cette… »
 
A ce moment, elle vit un nuage de petite particule voleter devant elle, qui semblait venir du vaisseau. « Les déchets, pourvu que ce soit les déchets ! » Elle remonta le nuage jusqu’à sa base : une petite ouverture, avec un sas qui s’ouvrait et se refermait automatiquement à intervalles réguliers, lâchant de petits nuages de particules dans l’espace. Elle regarda sa montre : 23h03. L’ouverture était juste assez grande pour qu’elle y passe en se contorsionnant un petit peu. Elle compta le temps entre l’ouverture et la fermeture du sas. C’était juste, mais elle n’avait pas le temps de trouver autre chose.
 
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Lhatta et les quatre volontaires arrivèrent dans la salle de téléportation. Jenny et Belinda étaient deux sœurs, qui avaient servi un temps dans les para-commandos spatiaux avant d’avoir fait une mission avec le lieutenant Jones. Elles avaient ensuite demandé à être muté sous ces ordres de façon définitive, car elles n’avaient jamais connu meilleur officier. Elles étaient de bons soldats et des éléments de valeur. Jenny était une mignonne petite brune très énergique, tandis que Belinda était une blonde pulpeuse. Ben, aussi un ancien para, à qui le capitaine Douglas avait sauvé la vie lors d’un raid victorieux, mais épique, lors de la guerre des troid systèmes suivait Douglas en espérant lui remettre la pareille un jour… Les cheveux grisonnant coupé à la brosse, il était grand, musclé… le para type ! Le dernier élément de l’équipe était moins talentueux militairement. Mike, beau brun ténébreux, enfin à ce qu’il dit, était courageux et arrogant. Fils de bonne famille, pistonné, il suivait l’équipe du Capitaine Douglas dans l’espoir de se couvrir de gloire.
 
Ils se placèrent tous les cinq sur le socle adéquat. L’opérateur tritura son panneau de commande. Il laissa l’accès au rayon du vaisseau extraterrestre. Un halo blanc les entoura, devint éclatant, puis disparu avec les cinq humains. « Pourvu que Jones ait pu pénétrer dans le vaisseau » pensa Lhatta.
 
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23h05. Jones prit une grande respiration et se lança sans hésiter, bascula tête la première juste au moment ou le sas s’ouvrit, et se rétablit juste pour faire passer ses jambes au moment où le sas se refermait. C’était tout juste. Mais elle était passée. Elle était dans une sorte de grande cuve, une cuve à déchet, remplie d’un nuage brun plus compact. « Que de manière organique ! » pensa-t-elle en consultant son scanner. « Même si le vaisseau est grand, ça fait quand même beaucoup ! » Grâce au propulseur elle trouva sur un des murs métalliques la porte qui permettait sans doute aux techniciens d’entretenir la cuve. En l’observant, elle comprit qu’elle pouvait l’ouvrir manuellement. Elle tourna les molettes adéquates, ouvrit la porte et entra dans un petit sas de décompression. Après avoir refermé la porte, la lumière devint rouge, puis après encore quelques minutes, tout redevint normal, et une porte à l’autre extrémité de la pièce s’ouvrit. La gravitation était normale et l’air respirable. Jones enleva son scaphandre autonome, devenu très sale après le passage par la cuve, et sortit du sas de décompression, s’attendant à tout moment à ce qu’une horde d’akraniens mauves à longues oreilles se saisissent d’elle. Mais rien. Elle entra dans ce qui devait être un vestiaire, vide de toute présence. Apparemment elle était passée inaperçue. Elle cacha sa combinaison spatiale et son scaphandre dans ce vestiaire, dans une sorte de caisse contenant des outils bizarres et du matériel d’entretien des cuves.
 
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Lhatta et ses compagnons furent bien reçu à bord du vaisseau akranien. Ils furent accueillis par un akranien s’appelant Mannè. Il était courtois, et demanda aux humains de le suivre, il allait les mener au capitaine Douglas. Ils suivirent donc leur guide. Les akraniens ne purent s’empêcher d’arrêter leur travail pour regarder Lhatta ou Belinda. Pour eux, qui n’avaient jamais vu de femmes terriennes, voir Lhatta, Jenny ou Belinda était extraordinaire ! Même dans le centre de commande du vaisseau, les hommes avaient les yeux rivés sur l’écran de vidéo, suivant les cheveux noirs de Lhatta qui ondulait au grès de sa marche… heureusement, car ainsi ils ne virent pas le petit voyant rouge qui clignota au niveau du sas de décompression de la cuve à déchet !
 
Finalement, Mannè s’arrêta.
- Veuillez m’attendre quelques minutes lieutenant Jones, j’arrive.
 
Après avoir acquiescer de la tête, Lhatta observa la pièce où ils se trouvaient. C’était une sorte de vestibule, rond, avec sept portes sur le pourtour des murs. Entre ces portes, des tables basses, avec des pots de fleurs. La même sorte de fleur en fait : une sorte de noix de coco à demi-enterrée, avec des hautes tiges et des fleurs pourpres ou mauves, en trompette. Ce vestibule était assez haut, avec une sorte de terrasse en mezzanine au second niveau, terminé par un dôme. Le tout était assez élégant. Lhatta attendait Manné avec ses compagnons au milieu de la pièce. Elle trouvait la fleur assez jolie, et le parfum dégagé par elle était très bon, mais la rigueur militaire faisait que les cinq personnages restaient sans bouger, au milieu de la pièce.
 
Après quelques minutes, le Zourk Menesis apparu sur la terrasse, suivi de Manné. Il les regarda avec un grand sourire.
- Soyez les bienvenus amis humains !
Puis il se retourna vers Manné et lui glissa doucement
- Pourquoi ça ne marche pas encore ?
- Ils sont trop loin des plantes, chuchota Mannè, pour un effet rapide ou immédiat, il faut en être plus près !
 
Le Zourk Menesis se tourna de nouveau vers les humains.
- Mannè me dit que vos amis sont dans le quartier des habitations, derrière une de ces portes. Ils déjeunent. Avant de vous laisser les rejoindre, j’aimerais que vous vous conformiez à une vieille coutume d’hospitalité akraniene. Pour nous les fleurs sont très importantes. Avant d’aller manger avec un hôte, on respire le parfum des fleurs posées dans le vestibule, et on complimente l’hôte pour son habitat. C’est devenu une politesse élémentaire chez nous.
- Bien sûr, Zourk Menesis, fit Lhatta. Nous ne voulons vous froisser, vous nous accueillez si chaleureusement.
 
Et faisant un geste pour que les autres fassent comme elle, et alla vers la plante. Elle huma le parfum d’une des fleurs, et fit un compliment d’usage. Mais elle trouvait que cette plante sentait vraiment bon ! Au risque de paraître impolie, elle huma une seconde fois la fleur. Quel parfum sublime ! En plus, elle se sentait toute bien. Elle flottait, l’angoisse de la mission avait disparu. Elle replongea le nez dans la fleur, vit avec amusement les pistils en forme de pénis, et, comme Neil et Douglas, suça les pistils, absorbant les neurotoxiques. Elle ne vit pas que ses compagnons faisaient de même, tous sous l’influence de la plante. Puis la sensation de chaleur commença, l’envie de sexe…
 
Elle se débarrassa de sa combinaison pour être plus à l’aise, et nue, se retourna. Les autres avaient fait comme elle. Ben, très grand et musclé, avait un sexe énorme. Il était tout bandé, et Jenny et Bélinda le léchaient avec gourmandise. Un peu à l’écart, Mike se masturbait en regardant le spectacle. Mike avait une verge beaucoup plus petite que celle de Ben, mais Ben étant déjà occupé… Lhatta marcha donc vers Mike et s’agenouilla devant lui. Il lui présenta sa queue, qu’elle commença à lécher. Elle lécha le gland, le manche, puis enfourna toute la verge dans sa bouche. Mike mis sa main sur l’arrière de la tête de Lhatta, et commença à lui imprégner de furieux vas-et-viens le long de sa queue, Lhatta se dégagea, renversa Mike sur le sol, et se coucha sur lui, de façon à pouvoir lui sucer le gland tandis que son sexe était à hauteur de la bouche de Mike. Il lui lécha alors la vulve, la pénétra de sa langue tandis qu’elle lui fit une pipe gourmande.
 
Belinda était couchée sur le sol, Jenny à quatre pattes lui léchait et lui mangeait la chatte, tandis que Ben prenait Jenny en levrette. Il ahanait à chaque coup de son énorme boutoir, qui faisait gémir de plaisir Jenny, qui en donnait un coup de langue plus profond à Belinda, qui gémissait à son tour… Lhatta laissa Mike, et alla passionnément embrasser Bélinda. Puis elle s’accroupit sur le visage de Bélinda, qui lui mangea à son tour la chatte (mieux que Mike !), faisant face à Ben et Jenny pour profiter du spectacle… Mike s’approcha du groupe, il ne lui restait que deux orifices disponibles : l’anus de Ben ou celui de Lhatta. Il choisit celui de Lhatta. Tandis qu’elle se faisait lécher par Bélinda, elle sentit le gland de Mike contre son anus. Elle s’accroupit mieux pour détendre son muscle anal, et ainsi Mike put la sodomiser à son aise… Belinda, sa tête juste en dessous de l’action, léchait tantôt la chatte de Lhatta, tantôt les couilles de Mike…
 
Tout à leur orgie, ils n’avaient pas vu que deux ou trois autres akraniens avaient rejoint le Zourk Menesis et Mannè sur la terrasse. Ils prenaient des notes, et commentaient les plaisirs humains, discutant en scientifique. Ils virent les humains se calmer doucement… Mike éjacula en premier dans le cul de Lhatta. Belinda avait le bas du visage trempé par la mouille de Lhatta, Jenny le bas du visage trempé par la mouille de Belinda, et Ben donna un dernier coup de boutoir et éjacula abondamment dans la chatte de Jenny. Puis ils se couchèrent les uns sur les autres, pour reprendre leur souffle. Les scientifiques akraniens discutèrent encore, prirent quelques notes, réglèrent les derniers détails de l’opération avec Menesis, puis quittèrent la terrasse, tandis que les humains recommençaient, Ben prenant violemment Lhatta, qui léchait Belinda tandis que Mike sodomisait Jenny…
 
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Jones visitait le vaisseau. Le niveau où elle se trouvait était celui des machines, turbines, enfin, toutes des choses étranges d’une technologie qui dépassait celle des humains. Ce n’était pas ici qu’elle trouverait le professeur Neil et le Capitaine Douglas. Dès qu’elle entendait un bruit, elle se cachait, et put passer inaperçu. Mais le niveau supérieur étant assez fréquenté, et certainement surveillé, ce serait beaucoup plus difficile. C’est en se cachant précipitamment derrière de gros tuyaux pour éviter d’être vue par deux akraniens qu’elle n’avait pas entendu venir qu’elle trouva la solution. Les machineries du vaisseau akraniens produisaient beaucoup de chaleur. Hors ces machineries semblaient ne pas aimer la chaleur. Jones avait remarqué plusieurs grilles de ventilation. Ces grilles donnaient sur des tuyaux, assez grand, qui couraient dans tous le vaisseau. En se cachant derrière un de ces tuyaux de ventilation qui montait vers les niveaux supérieurs, Jones se trouva face à une grille, et elle vit au travers de celle-ci qu’il y avait des échelles de maintenance pour monter ou descendre dans les tuyaux. Après quelques recherches, elle parvint à ouvrir la grille, et se glissa à l’intérieur du tuyau. Il y faisait frais, mais c’était supportable. Elle monta l’échelle et arriva ainsi au niveau supérieur du vaisseau. Là, elle dut continuer à quatre pattes, mais c’était possible. Tout les 100 mètres il y avait une grille, par laquelle elle pouvait observer le vaisseau et les akraniens. Ces grilles étaient aussi la seule lumière, faisant alterner dans les tuyaux des zones d’ombres et de clarté.
 
Au grès de sa progression, elle vit les cuisines, des salles de repos, des salles dont elle ne comprenait pas l’utilité, et surtout beaucoup de laboratoires. Dans ces laboratoires, elle put apercevoir quelques scientifiques akraniens, perdus dans leurs expériences, mais aussi de nombreuses espèces animales de toute la galaxie, dans des cages. C’était vraiment étrange. Au grès de sa progression, elle voyait les akraniens comme des scientifiques, et pas des soldats. Elle n’avait vu aucune arme apparente. Quels drôles de gens ! Elle continua sa progression, et arriva au niveau de ce qui devait être une chambre d’akranien. Le mobilier était assez austère, comme dans tout vaisseau spatial, mais plus confortable que dans l’UFP-Atlas. Jones allait continuer lorsque la porte s’ouvrit, et un akranien entra dans sa chambre. La curiosité la retint, et elle observa l’extraterrestre. Il était torse-nu, comme les autres. Mauve, oreille en pointe, entièrement glabre. Il vaquait à ses occupations, prit un magazine dans un tiroir. Elle allait continuer, lorsqu’elle vit qu’il commença à se déshabiller. Elle aurait dû continuer, mais une curiosité voyeuriste la retenait. Elle vit le pantalon de l’akranien descendre. Il avait des fesses, comme des fesses humaines… Deux fesses mauves, avec son petit trou au milieu. Puis il se retourna. Jones n’en crut pas ses yeux ! Il avait deux pénis. Deux pénis qui commencèrent à bander, puis qui se tendirent à leur maximum. Jones rougit. L’akranien commença à se masturber, une main sur chaque sexe. Jones ne savait détourner les yeux de ces deux pénis, de ces deux glands qui apparaissaient et disparaissaient au grès des mouvements des mains de l’akranien. Jones vit à travers sa combinaison que ses tétons pointaient. Elle rougit encore plus. L’akranien gémit, et éjacula de ses deux sexes à quelques secondes d’intervalles. Son sperme ressemblait beaucoup à celui des humains, en plus jaunâtre peut-être… puis il disparut du champ de vision de Jones. Elle profita pour se remettre en route. Mais en bougeant, elle sentit que son entre-cuisse était tout humide. Elle passa sa main, et malgré sa combinaison, elle sentit le mouillé. Elle sentit ses effluves et rougit encore plus. « Pffff, je suis venue ! Comme une gamine devant son premier film porno ! Quelle honte ! »
 
Elle continua sa route, le plus silencieusement possible. Elle sentait dans la conduite ses effluves. « Pourvu que personne d’autre ne le sente » pensa-t-elle. Les pièces suivantes étaient de grands hangars, avec ce qui ressemblait à de grandes cages. Mais il faisait trop sombre pour qu’elle puisse voir de quoi il s’agissait. Elle continuait sa progression, mais s’arrêta brusquement. Elle avait entendu un bruit. Devant elle. Elle s’arrêta, scruta les ténèbres. Puis elle vit deux yeux jaunes luire dans le sombre, face à elle. Elle dégaina doucement son désintégrator. Un Mx32. Silencieux, précis. La meilleure arme de courte portée de la galaxie. Jones recula doucement dans le tuyau, dans la zone d’ombre, de façon à laisser venir son adversaire dans la partie claire, pour bien viser et le tuer sans faire le moindre bruit. Elle vit les yeux jaunes se rapprocher. Et constata que ce n’était pas un akranien, mais un animal qui venait vers elle. L’animal était arrivé dans la partie claire du tuyau. C’était un rat de l’espace. Croisement entre la souris de laboratoire et le rat, le rat de l’espace avait une fourrure blanche, des yeux jaunes et une longue queue rose. Sa taille avait évolué au gré des modifications génétiques. Il était grand comme un labrador terrien. Il se cachait souvent dans les grands vaisseaux spatiaux et mangeait ce qu’il trouvait. Il était omnivore et ses dents et ses griffes aussi coupante que des lames bien affûtées. Et là, il regardait Jones avec gourmandise. Calmement, elle leva son arme, visa et tira. Un rayon rouge sortit de son désintégrator, et foudroya le rat, qui tomba raide mort.
 
Ce n’est que quand elle sentit une présence derrière elle qu’elle se rappela que les rats de l’espace ne vivent – et ne chassent – jamais seul. Jones n’eut pas le temps de se retourner. Le deuxième rat lui sauta dessus, si violemment qu’elle lâcha son désintégrator. « Je suis morte ! » pensa Jones en fermant les yeux, prête à sentir des dentes acérées lui déchiqueter le corps. Mais le rat n’essaya pas de la manger. Ses pattes avant griffues posées sur les épaules de Jones, il s’accrochait à elle et elle sentit un coup violent à l’entrecuisse. Puis un autre. Avec horreur, Jones comprit que le rat ne voulait pas la manger. Il voulait s’accoupler. Il était en rut, et avait sentit les effluves de Jones. Le besoin vital et instinctif de s’accoupler, de se reproduire, était plus fort que celui de se nourrir. Jones voulut bouger pour se débarrasser du rat, mais il était lourd, et à quatre pattes, dans ces canalisations exigües, elle ne savait pas beaucoup bouger. Elle sentait dans son entrecuisse les coups de sexe du rat de plus en plus répétés. Elle regarda sous elle, et vit que le sexe du rat ressemblait à celui d’un chien, en plus long et un peu plus dur. Pour le moment le sexe du rat glissait sur la combinaison de Jones, mais devant les coups répétés, elle ne tiendrait pas longtemps. Jones essaya encore de se débattre, mais le rat lui donna un coup de griffe qui lui fit mal. Elle s’écroula. Sa combinaison était déchirée sur le côté gauche, mais heureusement elle n’avait qu’une estafilade au-dessus du sein. Elle se remit à quatre pattes pour fuir, mais le rat lui sauta à nouveau dessus. Dans le mouvement et avec les coups répétés du rat, sa combinaison se déchira. « Noooon ! » pensa-t-elle ! Le rat refit un coup de bassin, son sexe dur entra complètement dans le vagin de Jones. « Aaaaah » De douleur et sur le coup, elle s’écroula sur ses coudes… Sa croupe ainsi offerte, le rat n’hésita pas : il allait commencer à la besogner. Son sexe dur et rouge s’approchait du sexe humide de Jones. Mais le précédent coup de boutoir avait fait bouger Jones, qui sentit un objet métallique près de son coude droit. Son désintégrator ! Elle le prit, et tandis que le pénis du rat commençait à entrer en elle, elle tira à l’aveugle. Touché en pleine tête, le rat s’effondra sur Jones, mort. Elle dégagea d’abord le sexe encore chaud du rat de son vagin, puis se dégagea de sous la carcasse de l’animale. Elle était dans un bel état ! Sa combinaisons déchirée à l’entrecuisse, et imprégnée de sa mouille, et de la mouille du rat, son sein gauche à l’air… Elle souffla un peu, et décida d’aller de l’avant, l’arme à la main, en espérant ne plus rencontrer d’autres rats sur son passage.




(à suivre...)
Par Brusselx - Publié dans : Mes Récits...
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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 10:20
Les Plantes d'Akrana
Episode 3

Lhatta, Jenny, Belinda, Ben et Mike se réveillèrent doucement. Ils avaient un peu mal de tête. Ils étaient tous nus, au milieu de la pièce ronde. Tout était sombre, seul les sept portes et les fleurs de couleur pourpre étaient baignées d’une légère lueur. Une voix emplit la pièce.
- Humains. Vous avez sali notre hospitalité en forniquant devant nos plantes sacrées. Celui qui commet un tel sacrilège sur Akrana doit mourir. Mais, en vue de l’amitié que nous voulons construire avec vous, nous vous donnons une chance : Nous les akraniens sommes très joueur. Chacun de vous doit choisir une des portes. Derrière ces portes nous avons recrées plusieurs microcosmes de la galaxie. Vous devez traverser la pièce, et arriver vivant de l’autre côté. Comme nous sommes bon joueur, nous vous permettons de cueillir chacun une de nos fleurs sacrées. Si vous la respirez, son parfum euphorisant vous aidera, par exemple à avoir plus de courage… ou à ne pas sentir la douleur… ça peut servir !
 
Comme hypnotisé, encore un peu sous l’effet de la fleur, les cinq humains allèrent chacun cueillir une fleur, puis, comme ils étaient nus, ils mirent la fleur sur l’oreille. En marchant, ils sentaient la douce odeur de la plante, qui les euphorisait lentement. Chacun choisit une porte, et attendit devant. L’épreuve allait commencer. Les portes s’ouvrirent en même temps, et les cinq entrèrent dans la pièce qui leurs faisaient face, prêt à vendre chèrement leurs vies…
 
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Salle 1 - Lhatta
 
Lhatta était arrivée dans un marais. Elle regardait autour d’elle. Plus de porte, plus de vaisseau. Derrière elle une falaise, infranchissable. Devant elle un marais. Au-dessus le ciel, quelques nuages. Etait-elle encore dans le vaisseau ? « Bien sûr, pensa-t-elle, c’est certainement un décor holographique. Ils font comme nous, ils recréent ces images comme dans une sorte de réalité virtuelle ! ». Elle avança. Un sentier serpentait le long de plans d’eau, de palétuviers, d’autres arbres et plantes qu’elle ne connaissait pas et de quelques clairières à l’herbe parsemée. Dans une des clairières, elle trouva un morceau de bois. Assez solide, long d’un bon mètre, elle le ramassa. Puis avisant un caillou aux arrêtes assez tranchées, elle le ramassa pour tailler sommairement son bâton en pointe. On ne sait jamais…
 
De temps en temps, un oiseau survolait le marais. Elle avait aussi aperçu de loin une sorte de reptile. Image de synthèse ou réalité ? En tous cas, l’odeur des marais était bien réelle ! Et la chaleur aussi, étouffante ! Heureusement que la fleure qu’elle portait à l’oreille sentait bon. L’odeur de la fleur était bonne, euphorisante, et excitante. Malgré la situation, Lhatta se sentait encore excité. Elle ne comprenait pas qu’elle n’arrivait pas à se calmer.
 
Elle marchait sur le sentier entre plusieurs palétuviers lorsqu’un bruit la fit se retourner. Personne. Pourtant, elle se sentait observée. Un autre bruit provint de sa gauche. Lhatta se retourna encore, mais personne. Puis un bruit sur sa droite. Elle était cernée ! Mais par qui ? Ou par quoi ? Elle vit une sorte de palétuvier, plus gros que les autres, il semblait mort, de couleur plus foncée que les autres, avec quelques lianes qui pendaient aux branches. Lhatta serra alors bien fermement son bâton aiguisé, et marcha vers l’arbre, en se mettant dos à l’arbre. « Ainsi pensa-t-elle, ils ne sauront pas m’encercler. » Elle marchait lentement à reculons, mais ne voyait rien, et n’entendait plus de bruits, sauf les bruits habituels du marais auxquels elle ne faisait plus attention, cris d’oiseaux, vols d’insectes,… Elle reculait encore jusqu’à être le dos contre l’arbre.
 
Elle serrait bien fort son bâton, ne voyant toujours rien. Pourtant, elle sentait une présence proche. Toute proche. Soudain, Lhatta se raidit. Elle avait senti quelque chose effleurer ses pieds. Elle baissa les yeux, et vit les lianes qui s’enroulaient autour de ses pieds et de ses chevilles… Elle poussa un cri, et essaya de se dégager, mais en vain. Elle leva son bâton, la pointe prête à frapper une liane, lorsqu’elle sentit une goutte tomber sur son épaule, et dégouliner le long de son bras. Elle leva la tête, et vit un peu au-dessus d’elle deux yeux et une bouche, légèrement baveuse, sur ce qu’elle avait pris pour un arbre. Avant qu’elle ne puisse réagir, une liane s’enroula autour de son bâton, et le lui arracha des mains, puis le cassa en deux par simple pression, et jeta les morceaux au loin. Mue par la colère, Lhatta voulut attraper la liane avec ses mains, comme pour l’étrangler, mais celle-ci évita les mains de Lhatta, puis s’enroula autour du poignet gauche, tandis qu’une autre liane s’enroula autour du poignet droit de Lhatta. Elle ne savait plus bouger, attachée contre ce qu’elle avait pris pour le tronc d’un arbre. Et qui était en fait un palétivor. Cette forme de vie animale était connue dans la galaxie du Sud. Elle savait se camoufler, s’enterrer à moitié dans le sol et prendre l’aspect d’un arbre des marais. Puis, lorsqu’un autre animal approchait trop près, il l’emprisonnait de ses tentacules en forme de lianes, l’attirait à sa bouche, le gobait et le digérait très lentement (car cet étrange carnivore n’a pas de dent). Lhatta avait beau se démener, elle n’arrivait pas à se libérer… et se sentait entraînée de plus en plus contre le palétivor, vers sa bouche baveuse…
 
Lhatta fit un effort musculaire intense pour se décoller de l’arbre, mais fermement, ses tentacules-lianes se tendirent, collant Lhatta contre lui. Mais soudain, l’animal desserra la pression. Lhatta dressa timidement la tête, s’attendant à voir la bouche de l’animal prête à la gober… mais au lieu de cela l’animal semblait renifler quelque chose. Instinctivement, Lhatta respira aussi, mais ne sentit rien d’autre que le parfum euphorisant de la fleur qu’elle portait à son oreille. Parfum qui était plus fort, car en bougeant, elle avait éparpillé des spores orangées autour d’elle. Puis les tentacules commencèrent à nouveau à serrer les poignets et les cheville de Lhatta, qui, de plus en plus euphorisée par le parfum de la fleur, s’en fichait finalement de terminer mangée par cette chose. Elle espérait juste ne pas trop souffrir. Mais le palétivor ne l’attirait plus vers lui. Les lianes écartaient les chevilles, et donc les jambes, de Lhatta. Elle regarda vers le sol en pensant « il ne va quand même pas m’écarteler ! » Mais elle vit la terre remuer sous ses pieds, et une racine sortir de terre. Une grosse racine brun foncé, granuleuse, épaisse, raide et légèrement baveuse… raide et baveuse ? Lhatta compris alors que ce n’était pas une racine, mais le sexe du palétivor qui durcissait et se raidissait du fait de son excitation.
 
Lhatta essaya de se débattre. Elle vit le sexe du palétivor, qui ressemblait beaucoup à celui d’un cheval de par sa couleur, sa longueur, avec des granules et un gland plutôt humain, mais en plus gros. Lhatta se débattait toujours, mais un peu moins fort. Son excitation grandissait aussi. « Mais non, pensa-t-elle, c’est pas possible, c’est dégoûtant ! Avec cette chose ! Cet animal ! » Malgré cela elle sentait son sexe s’ouvrir et mouiller. Le pénis durci du palétivor montait à une vitesse régulière. Lhatta le sentit contre ses lèvres intimes, puis il passa cette frontière et entra lentement en elle. Il remplit entièrement le vagin de Lhatta, puis redescendit presqu’à la sortie de son vagin, puis remonta, puis redescendit, et ainsi de suite, mais en augmentant la vitesse. Même si le sexe du palétivor était entré sans problème dans le vagin tout mouillé de Lhatta, elle eu un peu mal au début, vu la longueur et la grosseur de l’engin ! Mais peu à peu, la douleur devint plaisir, un plaisir de plus en plus fort au fur et à mesure que la vitesse des vas-et-viens augmentait. Elle commença à crier de plaisir, à parler à l’animal… « oh oui, pilonne-moi, pilonne-moi encore, pilonne-moi plus fort,… oh oui, oh ouuuiiiiiiiii ! ». Elle eut un orgasme si violent qu’elle en éjacula sa mouille le long de la queue énorme de l’animal, jusque par terre. Tout occupée à son plaisir, Lhatta sentit quelque chose de mouillé et de gluant qui caressait son anus… elle tourna la tête et vit la langue de l’animal lui lécher le derrière. Cette langue était rouge-bordeaux, et assez longue, comme la langue d’un caméléon, mais d’une taille plus conséquente ! La langue était rappeuse, et Lhatta aimait ça ! Elle se décontracta au maximum, et la langue de l’animal pénétra sans mal l’anus de Lhatta. Il lui léchait l’intérieur de l’anus, et cela ajouté au pilonnage incessant de son vagin fit encore venir Lhatta, qui éjacula encore plus mouillé que la première fois ! Elle dégoulinait du vagin et de l’anus, lorsque la queue de l’animal se cabra et éjacula en elle… elle se senti remplie d’un foutre très épais, et en telle abondance que le sperme de l’animal déborda de son vagin, et dégoulina le long des jambes de Lhatta, jusqu’à former une petite flaque jaunasse à ses pieds. Puis le sexe de l’animal se rétracta tout à fait, jusqu’à disparaître sous terre, et les lianes lâchèrent Lhatta, qui s’écroula à terre.
 
Epuisée, elle trouva tout de même encore la force de ramper hors de portée de l’animal, au cas où il aurait un petit creux après l’amour… Elle rampa, à la limite de l’évanouissement, et ne vit pas le sol se dérober sous elle. Elle culbuta, et roula jusqu’à une parois métallique. Elle se retourna et vit que c’était une porte. La porte de sortie ! Elle avait réussi ! Elle s’évanouit alors que la porte s’ouvrit…
 
*          *
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Salle 2 - Ben
 
Ben se retrouva dans une grande plaine herbeuse. Les herbes étaient tellement hautes qu’elles lui arrivaient à hauteur de l’épaule. Il voyait sur sa gauche une grande forêt. Il décida de ne pas s’engager dans la forêt et marcha droit devant lui.
 
Ben observait tout autour de lui. C’était certainement un décor holographique. Mais cette végétation lui disait quelque chose. Il l’avait étudié. Mais il n’arrivait pas à mettre un nom ou une époque sur ce qu’il voyait. « Fichue mémoire ! » pensa-t-il. Il continua de marcher, lorsqu’une ombre se dessina sur le sol. Il leva la tête et vit quelques oiseaux en vol. « Mais… ce ne sont pas des oiseaux… ce sont des ptérodactyles ! ». A ce moment la terre trembla autour de lui, et un rugissement affreux se fit entendre. Ben vit un immense T-rex sortir de la forêt, sur sa gauche. L’énorme animal rugit encore, secoua sa tête, puis repartit en direction de la forêt. « Bon sang, le crétacé ! J’ai entendu parler de quelques planètes qui étaient restées à ce stade de l’évolution ! Comme elles n’ont pas connu de catastrophe climatique, les dinosaures ont survécu et sont devenus le haut de la chaîne alimentaire, et ont régulé tout l’écosystème… Je ferais mieux de ne pas m’attarder ici, moi ! » Et il continua sa route, pressant le pas.
 
Mais alors qu’il marchait, il vit devant lui les hautes herbes se faucher… quelque chose venait lentement vers lui. Ben était indécis quant à la conduite à tenir. Il n’avait pas d’arme, et dans ce « monde » il était le plus faible et le moins bien adapté. Il ne savait que faire, lorsqu’il avisa une sorte de clairière, à la lisière de la forêt. Il décida de s’y rendre, au moins, là il verrait qui ou quoi venait vers lui. Il prit cette direction, et vit que la chose en face fit de même, mais plus rapidement. « Cette saloperie veut me couper la route ! » Ben pressa le pas, finit par courir, et il déboucha dans la clairière en même temps que la chose. Il constata que la chose était en fait une espèce de dinosaure, un vélociraptor. Il était très semblable à son congénère terrestre, sauf que sa boîte crânienne semblait plus grosse, plus évoluée, et il se tenait plus droit. L’animal se mit entre lui et la forêt, puis le regarda d’un œil malin. Ben vit ses pattes griffues et ses dents acérées. « Tu crois que tu vas manger du Ben ce soir ? » fit-il doucement, en reculant lentement vers les hautes herbes.
 
A ce moment, quelque chose le heurta violemment par derrière et le projet au sol. Il fit un tourneboulé et se releva. Un autre vélociraptor avait surgi dans son dos. Un troisième arrivait, sortant lentement des hautes herbes. Ben se retrouvait maintenant au centre de la petite clairière, entouré de trois vélociraptors. Il vit la fleur pourpre à ses pieds. Il la ramassa, et plongea son nez dedans. « Quitte à mourir, autant ne pas trop souffrir, et mourir dans l’extase » ! Il respira un bon coup. A ce moment le premier raptor fonça vers lui. Il se jeta à terre et fit un cumulet pour l’éviter. Puis le deuxième attaqua, et il l’évita ainsi. « Ces sales bêtes jouent avec moi ! ». Il s’apprêtait encore à plonger lorsque son attention fut attirée par des petits points orange tout autour de lui : en plongeant la fleur à la main, il avait disséminé des spores partout autour de lui, et sur les raptors eux-mêmes. D’ailleurs le bon parfum de la fleur flottait autour de lui. Même si cette constatation n’avait duré qu’une fraction de seconde, sa distraction lui coûta cher : il sentit un coup dans son dos, le troisième raptor attaquait. Trop tard pour l’éviter. Ben se retrouva projeté sur le sol, poussé dans le dos. Il s’étala de tout son long sur son ventre. Il voulut directement se lever, mais la patte du raptor s’écrasa sur son dos, l’entaillant assez profondément, et l’empêchant de bouger. « C’est fini ! C’en est fait de moi ! »
 
Il s’attendait à un coup de mâchoire terrible dans le dos ou sur la tête mais rien ne vint. Il essaya de bouger, mais le raptor le tenait fermement immobilisé. « Mais qu’est-ce qu’il attend ! Allez vite, qu’on en finisse ! ». Le coup arriva. Mais pas où Ben l’attendait. Il sentit un coup assez violent au niveau de ses fesses. Puis un autre. Mais ce n’était pas un coup de griffe. Encore un coup, qui trouva ce que l’animal cherchait : l’anus de Ben. Au coup suivant, le sexe du raptor entra à moitié dans l’anus de Ben, qui cria sous la douleur. Encore un coup et le sexe du raptor entra entièrement dans les entrailles de Ben, puis le raptor commença son vas-et-viens. Ben cria de douleur, mais assez étrangement, la douleur devint vite plaisir. Il sentit même son propre sexe se durcir et se gonfler contre sa cuisse. Bientôt, les cris de Ben devinrent des cris de plaisirs, il bougea même un peu son bassin pour mieux recevoir le sexe du raptor, pour qu’il le pénètre encore plus profondément. « Oh oui c’est bon, putain, ce que c’est bon ! ». Il sentit une présence devant lui. Le premier raptor passait à sa portée. Il put ainsi détaillé le sexe du raptor : il ressemblait au godemichet les plus courant que Ben voyait dans ses magazines pornos, rose très clair, de dimension normale, planté dans une base de caoutchouc verdâtre. L’excitation gagnait tout le corps de Ben. Le plaisir était tellement fort qu’il s’éjacula dessus. Grisé par le plaisir, il attrapa le sexe du raptor devant lui et le branla. L’animal fut d’abord réticent et se dégagea. Puis revint, Ben le reprit, et cette fois il se laissa faire. Le troisième raptor arriva aussi près de Ben. Il lâcha le sexe du premier raptor pour le prendre dans sa bouche, et de cette main devenue libre branla le troisième raptor, ce qui le fit bien vite rebander. Il sentit alors le sexe dans son cul se cabrer, et un liquide tiède inonder ses entrailles. Il gémit de plaisir, arrêta de sucer le premier raptor, dégagea sa deuxième main, pour branler l’animal. Les deux raptors qu’il branlait éjaculèrent quasiment en même temps, inondant le visage et le dos de Ben d’un sperme très liquide et très clair.
 
Ben put alors se dégager. Il se redressa et s’assit, l’anus en feu, le corps couvert de sperme. Les trois raptors étaient toujours autour de lui. Soudain, un des raptor dressa la tête, émit un cri plaintif, et les trois animaux disparurent dans les hautes herbes sans demander leurs restes. Ben entendit alors un cri effrayant venir de la forêt. « Le T-rex ! Vaut mieux pas que je reste ici ! Son sexe doit être aussi immense que le reste » Il courut comme il put se cacher dans les herbes. Comment fuir d’ici au plus vite ? Il ne savait plus trop courir, son derrière le faisant un peu souffrir. En s’enfuyant comme il put, il aperçut une autre petite clairière. Au milieu de celle-ci une autruche, la tête plongée dans un trou. « Voilà le moyen ! Les autruches courent très vite ! » Il approcha doucement de l’animal, qui sentit son approche. Ben ne pouvait plus hésiter. Il courut et saut sur le dos de l’autruche. L’animal s’effraya et commença à courir. Mais Ben avait du mal à s’accrocher, surtout que son pénis encore tout raide le gênait. Il sentait son derrière glisser le long du dos de l’animal. Il n’arrivait pas à s’accrocher, et l’animal accéléra l’allure. Il glissait de plus en plus, ses mains lâchèrent le cou de la bête et s’accrochèrent à son flanc, son visage arriva à hauteur des plumes de la queue de l’autruche, qui lui fouettait le visage, son derrière fut dans le vide, et glissait dangereusement vers le sol qui défilait à toute allure. Avec les chaos, le bout du pénis de Ben buta contre un endroit sans plume, lisse et tiède. « C’est sans doute son fion… si je ne veux pas tomber et perdre mon unique chance de salut, je n’ai pas le choix ». Et d’un magistral coup de rein, Ben enfonça son gland dans le fion de l’autruche. L’animal glapit et ralentit sa course. Puis accéléra à nouveau pour déstabiliser Ben. Mais sa verge bien calée dans le fion étroit de l’animal, ses mains accrochées autour de son flanc, il ne risquait plus de tomber. La course et les chaos du chemin faisaient même que l’anus de l’autruche allait et venait doucement, massant tant de l’intérieur que de l’extérieur la verge de Ben. Ces sensations douces et chaudes, la vitesse, le paysage qui défilait… le plaisir était trop fort ! Ben ne sut se retenir et éjacula dans le fion de l’autruche…
 
Le plaisir fut si fort et son pénis se rétractant, Ben lâcha l’animal. Il roula sur le sol, et buta contre une paroi métallique. La porte de sortie ! Il s’en était tiré ! Il en jubilait encore lorsque la porte s’ouvrit…
 
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Salle 3 – Jenny
 
Jenny se sentait toute guillerette. Elle marchait dans de vertes prairies, des alpages, avec de hautes montagnes sur sa gauche. Ce paysage lui rappelait tellement ceux de son enfance. Elle avait grandi dans de tels lieux. D’humeur joyeuse, elle allait bon train, respirant de tant en tant le suave parfum de la fleur à son oreille. Elle traversa une forêt de conifères, pareils à celles qui poussent sur les flancs de toute les montagnes… ou presque ! Ils étaient deux fois plus hauts que les conifères terrestres, et d’une couleur bleue. Jenny pressa le pas pour sortir de la forêt, car elle ne s’y sentait pas à l’aise. Elle en était presque sortie lorsqu’elle vit, sur le haut d’un de ces étranges conifères, une ruche. La ruche était à la taille des conifères : géante ! Jenny sortit au plus vite de la forêt. Mais elle avait oublié qu’elle portait une fleur à l’oreille…
 
Attirée par l’odeur de la fleur, une abeille géante sortit de la ruche Jenny prit peur et commença à courir. Elle courut droit devant elle, certaines branches basses lui fouettant le visage ou griffant ses côtes. Comme Jenny était sortie de son territoire, l’abeille retourna vers la ruche. Jenny se retourna et constata qu’elle avait échappé à l’insecte, mais ce faisant, elle butta contre une souche, et tomba. Le terrain étant pentu, Jenny roula sur elle-même, et sa chute s’arrêta avec une belle éclaboussure dans un petit point d’eau. Elle se retrouva assise dans l’eau, la tête qui lui tournait légèrement, et la fleur qui avait glissé de son oreille à son nez, et de son nez dans l’eau… Tout en se remettant de sa chute, Jenny observait les alentours. Devant la pente qu’elle avait dévalée. Derrière elle une falaise rocheuse, avec une petite cascade qui alimentait ce point d’eau. Il n’était pas très profond, elle était assise et avait de l’eau jusqu’à son nombril. L’eau était pure, et quelque petit poisson nageait autour d’elle. Le point d’eau se terminait par une sorte de petit goulot, puis devenait ruisseau.
 
Alors qu’elle observait tout cela, Jenny sentit quelque chose lui chatouiller le derrière. Elle se recula un peu, et vit que les rochers sur lesquels elle était assise avait une forme de tuyau d’orgue calcaire, deux ou trois l’un à côté de l’autre. Tous creux. Et de ces creux sortit une petite anémone mauve. Une anémone d’eau douce, cela était très rare, on n’en connaissait que dans deux ou trois systèmes assez éloignés de notre galaxie, des systèmes à trois lunes. Jenny observa l’anémone. Du tube calcaire sortait une membrane mauve de forme phalloïde, entouré à sa base de minuscules tentacules comme toutes les anémones, qui se balançaient dans l’eau, attrapant sans doute quelques micro-organismes invisibles à l’œil humain. Et il y avait ainsi deux anémones d’eau douce l’une à côté de l’autre. Jenny observait amusée la partie centrale des anémones. De forme phalloïde, elle ressemblait vraiment à une verge humaine, mais mauve et se terminant par une boule un peu plus grosse qu’un gland humain. Euphorisé par l’odeur de la plante qui avait glissé près de son nez lors de sa chute, Jenny toucha légèrement l’anémone, pour voir si cette verge végétale était molle ou solide… Au toucher, elle était molle et douce, mais au contact des mains de Jenny, elle se durcit, tout en restant très douce. Amusée, Jenny se mit sur ses genoux et masturba les deux anémones, qui devinrent dure comme un pénis humain. Bientôt l’excitation pris la place de l’amusement. Jenny constata qu’en bougeant un peu et en fléchissant ses jambes, elle pouvait s’empaler sur ces verges végétales. Elle sentit la boule au bout de l’anémone buter contre son vagin, puis sur sa pression y entrer. La boule était assez grosse, et plus Jenny s’y empalait, plus elle sentait cette boule s’enfoncer en elle, en frottant les parois de son vagin. C’était si doux… Excitée, elle accéléra ses mouvements, et s’empala de plus en plus rapidement sur cette boule, jusqu’ à en jouir… Mais elle en voulait plus. Elle constata alors qu’en se retournant, et en s’asseyant, la première anémone était à la hauteur de son petit anus, tandis que la deuxième retournerait sans mal dans son vagin trempé et soudain affamé de sexe. Elle s’assit donc sur les anémones. Son vagin se laissa pénétrer sans mal, mais le bout de l’anémone eut du mal à passer l’anus. Jenny força un peu et l’anémone était si douce qu’elle n’eut même pas mal lorsqu’elle passa la porte anale, et caressa son rectum. Elle adora cette sensation d’avoir ses deux orifices remplis par ces douces verges végétales. Accélérant ses vas-et-viens, Jenny se fit encore jouir deux fois, prise par l’extase du plaisir. Elle voulait continuer à jouer avec ces anémones, mais sa conscience lui disait qu’elle devait continuer sa route. Elle se releva lentement, sentant les anémones glisser en elle… mais elle ne put se lever ! Les boules à l’extrémité des anémones avaient durcies et grossies, et elles ne passaient plus ni son anus, ni son vagin. Jenny était coincée ! Paniquée, elle s’accroupit à nouveau et se releva, plusieurs fois de suite et de plus en plus fort… ce qui ne fit qu’augmenter son plaisir… elle continua de plus belle, sentant les boules des anémones frotter ses parois anales et vaginales, et hurla de plaisir. A ce moment, à l’intérieur d’elle, les boules des anémones libérèrent des centaines de petites tentacules, qui se nourrirent des sécrétions vaginales et anales de Jenny. Se sentir ainsi fouillée au plus profond d’elle-même allait provoquer un autre orgasme à Jenny, mais, repues, les tentacules se rétractèrent, et les boules diminuèrent de taille, redevenant plus molles, et sortirent sans encombre des orifices de Jenny, puis disparurent dans leurs tubes minéraux. Elles s’étaient nourries, et repues, elles disparaissaient…
 
Les jambes chancelantes, Jenny sortit de l’eau. Elle s’assit sur le bord de la mare, puis, pour récupérer un peu ses esprits, se mit à genou et approcha son visage de l’eau. Ainsi, elle pu s’asperger de l’eau fraîche de la mare, espérant se remettre et faire cesser cette chaleur qu’elle ressentait, ce feu qu’elle avait en elle. Mais rien n’y fit. Toujours sur ses genoux, elle écarta les jambes, et sa main descendit vers son sexe. Elle se caressa, puis rentra facilement deux doigts dans son vagin. Elle était trempée ! Elle porta ses doigts à sa bouche, les lécha, puis les remis dans son sexe et commença à se masturber frénétiquement. Sa croupe étant levée, elle s’introduisait de temps en temps ses deux doigts trempés de mouille dans son anus, encore béant du passage de l’anémone. C’est au moment où elle eut un violent orgasme qu’une porte s’ouvrit sur sa gauche. C’était la porte de la « libération »… quoique Jenny s’était libérée autrement…
 
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Salle 4 - Mike
 
Mike était sur ses gardes. Le monde dans lequel il était arrivé était dangereux. C’était ce qu’on appelait un maxicosme, un monde géant à l’échelle humaine. Il marchait dans cette immense forêt, lui tout minuscule, depuis une bonne heure déjà. Il s’arrêta pour souffler sous un champignon qui avait trois fois sa taille !
 
Il reprit sa route, mais se sentait observé depuis un petit moment déjà. Il essaya de discerner d’où viendrait le danger, mais les fougères, trois à quatre fois plus grandes que lui, lui cachaient totalement la vue. Ce n’est que lorsqu’une ombre menaçante se dessina au sol qu’il comprit où était le danger. Il leva la tête et vit un oiseau qui volait en cercle autour de lui. C’était un oiseau des forêts, au plumage marron, sans rien de particulier… sauf que pour lui Mike ressemblait à un vers fort appétissant ! L’oiseau plongea à une vitesse vertigineuse, mais Mike était attentif. Il plongea au dernier moment et évita le bec de l’animal, qui se ferma dans un « clac » sonore à quelque centimètre de sa tête. Mike commença à courir en zigzag pour éviter l’animal. L’oiseau fit plusieurs tentatives mais son bec se ferma à chaque fois dans le vide. L’animal décida de voler en rase-mottes pour avoir Mike. Celui-ci vit le danger venir derrière lui. Il vit sur sa gauche un ravin. Mourir pour mourir, autant tenter le tout pour le tout ! Il courut dans cette direction. L’oiseau était plus rapide que lui et gagna bien vite du terrain. Il allait fermer son bec sur le dos de Mike, lorsque celui-ci sauta dans le ravin. Le bec effleura son dos, en le griffant. L’oiseau reprit son envol, cherchant plus loin une autre proie plus facile à attraper pour son déjeuner !
 
Mike chuta les yeux fermés. Il fut fouetté et éraflé par des arbres en tombant, puis sa chute s’arrêta nette. Il ouvrit lentement les yeux. Il était suspendu à quelque mètre du sol, la tête en bas. Il essaya de bouger, en vain. Il regarda alors autour de lui, comme il pouvait. Il était sur un plateau en contre-bas du ravin. Il était tombé à travers les arbres, et ses bras s’étaient enroulés ou entortillés dans des lianes, et une de ses jambes s’était coincée dans une branche d’arbre. Son autre jambe était libre. Il était vraiment bloqué, ne parvenant plus à bouger. Il voyait en dessous de lui, sur le sol, la fleure pourpre qui était tombée de son oreille.
 
Soudain, les fourrés bougèrent. « Pourvu que ce soit quelqu’un qui puisse m’aider, se dit Mike, et pas une bête féroce ! ». Mike vit alors trois boules de poils sortir des fourrés. Lorsqu’ils s’approchèrent de lui, Mike reconnut les singes-nains d’Hydroéa. Ces animaux vivaient dans le maxicosme d’Hydroéa sans avoir une taille particulièrement grande (quoique ces singes avaient quant même la taille d’un enfant humain d’une quinzaine d’année). Ils avaient survécu en adaptant une agilité surprenante, qui les faisaient échapper aux fauves géants du maxicosme. Mike souffla, car ces animaux étaient fructivores.
 
Les trois singes approchèrent de l’endroit où Mike était suspendu. Les singes avaient un poil brun foncé, un ventre plus clair, et des fesses roses, sans poils. Ils l’observèrent d’un air curieux, puis s’approchèrent prudemment. Un des trois singes aperçut la fleur sur le sol. Il appela ses congénères avec quelques cris stridents, et ceux ci s’approchèrent. Ils firent cercle, reniflant la fleur, se la lançant. Mais ils poussèrent bien vite d’autres cris. Le parfum de la fleur agit sur eux aussi. Mike vit distinctement le sexe de deux des trois singes grossir, jusqu’à atteindre une belle érection. Leurs sexes avaient une belle dimension pour des petits singes, au moins 20 cm sur 5, peut-être même 6, et au lieu d’être lisse comme chez les humains, ils étaient de forme ondulée, comme si 6 ou 7 glands étaient empilés les uns sur les autres et recouverts de peau. Le troisième singe avait un pelage plus clair, deux mamelles plus prononcées et pas de sexe en érection… Mike en conclut (fort logiquement !) que c’était une femelle. Un des mâles s’approcha d’elle, fit des gestes comme s’il lui caressait le dos, et la femelle leva un peu sa croupe. Mike était aux premières loges : il vit distinctement les fesses roses de la femelle, son sexe entrouvert, et le mâle qui s’introduisit sans mal et qui pénétra la femelle en poussant des cris assez gutturaux.
 
« Voilà ! Du porno simiesque ! Et je suis aux premières loges… Bon ben, c’est pas tout ça, mais c’est pas mon truc. Faudrait que je me sorte d’ici ». Mike essaye de bouger, mais toujours en vain. Pendant ce temps, le deuxième mâle s’approcha du couple. Lui aussi était très excité. Mais le mâle qui défonçait la femelle lui envoya une taloche pour lui faire comprendre qu’il aille voir ailleurs. Le singe vit alors Mike qui se débattait sur son arbre. Les lianes qui le retenaient prisonnier faisaient faire à son corps des demi-cercles lorsqu’il bougeait. Le singe vit alors les fesses roses de Mike. Il ne fit pas la différence…
 
Avec une vitesse et une agilité surprenante, le singe sautilla jusqu’à l’arbre, se projeta sur le tronc et en trois bon il fut sur la branche qui retenait la jambe de Mike. Celui-ci sursauta lorsque le singe surgit sur la branche.
 
- Qu’est ce que tu fais là toi ? Si tu pouvais me décaler la jambe cela m’aiderait…
 
Mais le singe bondit sur les lianes, et se laissa glisser sur le dos de Mike. Il s’accrocha avec ses pattes à ses épaules, et lui renifla la tête.
 
- Mais qu’est-ce que tu fais ?
 
Mike, mal à l’aise, sentait le sexe dressé de l’animal contre ses fesses. Puis le singe bondit sur les lianes et ressauta sur Mike, mais dans l’autre sens. Ses jambes se serrèrent autour du cou de Mike, et sa tête arriva à hauteur des fesses du jeune homme. Le singe renifla le derrière de Mike, puis son anus. Puis, il enfonça son doigt pour sonder si les fesses de Mike ressemblaient à celle des femelles de son clan.
 
- Mais arrête ! Arrête ! Tu me fais mal… aaaaaaah !
 
Mike sentait ce doigt qui rentrait sans ménagement dans son anus. Cela lui faisait mal, mais en même temps, il vit qu’il commençait à bander dur ! Mike essayait de bouger pour faire tomber le singe, mais celui-ci était trop bien accroché. Il lécha un peu l’anus de Mike, puis refit une cabriole pour se trouver en position. Il était de nouveau accroché aux épaules de Mike, et le jeune homme sentit le sexe tout raide de l’animal qui cherchait son anus.
 
- Arrête, non, pas ça !
 
Toujours accroché par ses mains aux épaules de Mike, les pieds du singe accrochèrent les fesses du jeune homme, et les écartèrent. Puis le singe donna un coup de bassin en avant, et son sexe entra dans l’anus de Mike. Celui-ci hurla de douleur, ce que n’apprécia pas le singe qui lui donna une tape sur l’arrière du crâne. Puis le singe s’enfonça plus profondément dans le rectum de Mike. Il sentit toutes les ondulations du sexe du singe qui passaient son anus. Le singe était un peu perdu, en général ça rentrait plus facilement dans les femelles. Il se tortilla donc un pour que son sexe rentre bien dans le cul de Mike. Ainsi, il détendit le muscle de l’anus, et pu commencer des vas-et viens de plus en plus rapide dans le rectum du jeune homme. Les cris de douleur de Mike devinrent bien vite des cris de plaisir ! Il n’avait jamais été enculé avant, et si au début ce fut très douloureux, la douleur était devenue un plaisir qui submergeait tout son bas-ventre… Son sexe, tout dur, commença à battre et bien vit il éjacula, envoyant un long jet de foutre, qui atterri sur le couple de singe qui copulait encore sur le sol. Le mâle, furieux, quitta la femelle et monta lui aussi sur l’arbre. Il avait encore la fleur en main. De colère, il la jeta violemment sur le visage de Mike, qui en respira toutes les spores. Il devint bien vite aussi euphorique et excité que les singes. Le mâle toujours furieux, s’accrocha à la liane pour donner des coups de pattes à Mike. Ce faisant, son sexe toujours raide allait et venait au niveau du visage du jeune homme. La colère du singe était dangereuse, car avec ses violents vas-et-viens devant le visage de Mike, il pouvait lui crever un œil avec son sexe en érection. Mike n’eut qu’une seule idée pour éviter cet accident : il attrapa le sexe du singe avec sa bouche. Le singe en fut d’abord surpris, puis trouvant cela agréable, il s’accrocha à Mike, et l’épouillait pendant que celui-ci suçait ce sexe ondulé.
 
Etait-ce la plante ou était-ce normal ? Le sexe du singe était tout doux dans la bouche de Mike, et avait un goût de fruit. Mike suça avec application, comme les filles qu’il voyait dans les films pornos qu’il aimait. Sa bouche faisait un lent vas-et-viens sur la longueur de la hampe, tandis que sa langue tournait et léchait le bout du gland dans sa bouche. A ce moment, Mike sentit qu’on touchait à son sexe. C’était la femelle délaissée, qui n’était pas en colère comme le mâle, mais curieuse de la douche de sperme qu’elle avait reçue. Elle venait de trouver d’où cela venait : le sexe de Mike. Elle le prit en main, le renifla, le lécha, puis commença à jouer avec, ce qui eut pour effet de le faire durcir. A ce moment, Mike sentit la queue ondulée dans con cul qui battait à un rythme frénétique, et le singe éjacula dans le cul de Mike. Un sperme assez liquide et tiède remplit son rectum, et déborda par son anus, coulant le long de ses fesses, et de ses jambes. Ensuite la queue de l’autre singe commença à battre dans la bouche de Mike. Il eut juste le temps de la sortir, et le singe éjacula sur son visage. Lui même éjacula sur le visage et les mains de la guenon… Tous hurlèrent et bougèrent des spasmes de l’orgasme, tant et si bien que les lianes et la branche qui retenaient Mike se détachèrent ou cassèrent, et que tous les quatre se retrouvèrent par terre…
 
Les singes se relevèrent et s’encoururent tellement vite que Mike ne vit pas où ils se cachèrent. Lui-même retomba assez lourdement sur le sol, et roula jusqu’à une porte en métal qui s’ouvrit après que sa tête l’eut heurté. Il se releva avec un bleu sur la hanche, une belle bosse, et en ayant vraiment mal au derrière… C’est en boitillant qu’il sortit de l’épreuve des Akraniens…
 
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Salle 5 - Belinda
 
Belinda était sur ses gardes. Elle regarda autour d’elle. C’était une vision d’apocalypse ! Elle était dans une ville, avec des bâtiments détruits, des immeubles et des rues éventrées, des carcasses de voitures fumantes… Pas de doute, une bataille sévère avait ravagé cet endroit. Machinalement, elle mit sa main à sa ceinture, où se trouvait d’habitude l’étui de son désintégrator… mais pas d’arme ! Elle était nue, et seule. Elle avança avec prudence, essayant de reconnaître l’endroit ou des détails lui permettant de discerner où elle était, dans quelle guerre… En tout cas la bataille avait dû être terrible, car ce qui restait de cette ville était vraiment en triste état. Il ne devait pas y avoir beaucoup de survivants. Elle marcha prudemment, mais n’entendait aucun bruit, l’endroit semblait vraiment désert.
 
Elle continuait à avancer, puis s’arrêta contre une carcasse, ses sens en éveil, lorsqu’elle entendit un bruit, un bruit très petit, mais qu’elle connaissait bien : une cartouche de plasma qui chargeait. Elle eut juste le temps de se jeter sur le côté, lorsqu’une déflagration détruit ce qui restait de la carcasse. Belinda se relava précipitamment, voulut se retourner, lorsqu’elle sentit le froid du métal d’une arme entre ses omoplates.
 
- Ne bougez plus ou vous serez détruite ! Retournez-vous, doucement !
 
La voix était étrange, un peu comme un automate. Belinda se retourna doucement. En face d’elle, il y avait un fusil d’assaut Plasma, et au bout de ce fusil un androïde, moitié homme, moitié robot. Ses pieds et ses jambes, jusqu’à la ceinture étaient en métal, ainsi que ses bras. Son visage était humain sur le côté gauche, robotisé sur le côté droit, avec à la place d’un œil un cercle rouge, un scanner-radar très perfectionné. Il avait des cheveux bruns. Belinda supposa qu’elle devait être sur un des systèmes Plan05, où la guerre entre humain et androïde était quasi continuelle, les deux races ne voulant pas laisser une supplanter l’autre. Et comme ils étaient d’une force égale… cette guerre était assez terrible. Elle fit face à l’androïde. Elle vit le petit scanner rouge bouger. Elle était analysée par l’androïde, de la tête au pied.
 
- Vous n’avez pas à être ici. Ce territoire est interdit au genre humain. Vous allez être détruite.
 
Les androïdes étaient des soldats redoutables. Belinda n’avait aucune chance. Elle était finie. Elle décida, dans un dernier réflexe, de jouer le tout pour le tout. Alors que l’androïde chargeait son arme, elle lui tendit la fleur des akraniens.
 
- Attendez, non ! Je viens en amie. Je… je trahis les miens pour vous apporter cette nouvelle espèce végétale, qui… heu… qui peut vous apporter beaucoup !
 
Le scanner du robot analysa la fleur. Il bougeait beaucoup, ne semblant pas trouver ce qu’il cherchait. L’androïde prit la fleur de la main de Belinda, l’observa de près.
 
- Plante inconnue. Impossible ! Nous connaissons toutes les espèces. Je dois montrer ça à mon supérieur ! Avancez devant ! Si vous essayer de fuir ou de vous jouer de moi, vous serez détruite !
 
L’androïde fit avancer Bélinda dans un ensemble de rues, et finalement ils arrivèrent dans un bâtiment fort détruit. Ils descendirent un escalier qui menait vers une cave. Ils ne rencontrèrent personne. Une porte metallique, non verrouillée, permettait d’entrer dans la cave. Ils entrèrent dans une pièce nue, sale, avec des tuyaux qui courraient sur le plafond, plafond qui était assez bas, et avec juste une caisse et deux tabourets comme mobilier.
 
- Levez les mains !
 
Belinda, sentent le froid de l’arme contre son dos, obéit. Ses bras levés, ses mains touchaient les tuyaux. L’androïde l’attacha avec des menottes aux tuyaux du plafond, Belinda ne pouvait que rester debout. A ce moment un autre androïde arriva dans la pièce. Il était quasiment identique au premier, sauf qu’il était un peu plus grand et avait les cheveux blonds. Les deux androïdes discutèrent ensemble, à propos de la fleur, qu’ils scannèrent, regardèrent, sentirent… Puis le nouvel arrivé prit la fleur et partit dans une pièce contiguë…
 
- Je reviens, je vais faire une recherche avec nos ordinateurs. Surveille la fille pendant ce temps !
 
Belinda attendit. Bizarrement, être attachée, nue, devant cette androïde l’excitait. Elle n’avait plus peur. Peut être encore le pouvoir de cette fleur. Elle avait senti son parfum euphorisant avant de la passer à l’androïde. Et maintenant, elle sentait qu’elle commençait à mouiller. Elle regarda l’androïde et vit que son scanner l’analysait encore. Et elle remarqua qu’il transpirait, sur le côté humain de son visage. Elle écarta les jambes, et lui parla d’une voix aguicheuse.
 
- Tout va bien ?
- Je me sens bizarre. Comme euphorique. Ce sentiment est assez rare chez nous. Et je me sens aussi… excité ! Comme vous ! Mon scanner repère vos sécrétions vaginales !
- Oui… mais tu n’as même pas de sexe ! Comment pourrais-tu être excité !
 
L’androïde déposa son arme et s’approcha de Belinda. Il se mit face à elle. Sa main metallique caressa le visage et les gros seins de la femme. Belinda sentit ses tétons durcir. Elle ne s’était jamais laissé draguée, ni séduire… c’était toujours elle qui prenait l’initiative, qui « chassait ». Elle était prédateur, et non proie ! Malgré son excitation, pour la forme, elle bougea pour se dégager. L’androïde la gifla, puis continua ses caresses. Puis un petit déclic se fit entendre. Belinda vit, à l’entrejambe de l’androïde, une petite trappe s’ouvrir… et un sexe en sortit. Il était tout en métal, sauf le gland, qui était de chair, comme pour n’importe quel homme.
- Nous avons un sexe. Et nous, contrairement à vos pitoyables hommes, nous pouvons choisir sa longueur, sa grosseur, le moment de l’éjaculation… je contrôle tout, comme je veux !
 
Belinda vit (avec ravissement ?) qu’il ne mentait pas. Son sexe devint tout d’un coup très petit, comme celui d’un enfant… puis, dans la seconde d’après, il grossit, grossit, et devint aussi grand et gros qu’une bite d’étalon ! Puis il éjacula un liquide sur le visage de Bélinda. Le jet arriva sur ses lèvres et son menton… et c’était bien du sperme !
- Je contrôle tout, comme je veux ! fit l’androïde avec un sourire.
 
Il s’approcha de Belinda. Son pénis reprit une taille normale. Il mit ses mais sur les hanches de la blonde, et la pénétra d’un coup, sans la prévenir. Il la violait ! Heureusement pour Belinda, sa chatte était déjà trempée, surtout à la vue de ce pénis qui changeait de forme, du sperme qui coulait sur ses lèvres et son menton… Elle sentit l’androïde s’enfoncer facilement en elle. Puis elle sentit le sexe de l’androïde grossir et grandir en elle ! Il prenait la taille la plus adaptée pour lui donner le plus de plaisir ! Et il commença à la ramoner sans ménagement, ses mains agripper sur son cul. Devant la force de l’androïde, elle agrippa ses jambes à sa taille, et se laissa violer, en criant son plaisir. Car l’androïde la prenait avec force, sans ménagement, il la ramonait comme elle ne l’avait jamais été… De plus, le gland tout chaud de l’homme, suivit du membre métallique tiède lui donnait beaucoup de sensations, et il avait vraiment la taille et la grosseur qu’il fallait ! Elle jouit deux fois, avant qu’il ne se laisse aller à jouir en elle. Elle sentit le jet de sperme chaud inonder le fonds de sa chatte…
 
- C’est comme ça que tu surveilles la prisonnière ?
 
L’autre androïde était revenu. Belinda le vit aussi venir près d’elle. Il bouscula l’androïde qui l’avait si bien fait jouir, et le regarda avec sévérité.
- Retourne patrouiller, soudard pervers !
 
L’androïde aux cheveux bruns prit son arme et sortit précipitamment. Puis, l’androïde blond s’approcha de Belinda. Elle lut une grande convoitise dans ses yeux.
- Tu vas voir, moi je peux faire bien mieux… je suis plus évolué que lui…
La petite trappe à l’entrejambe s’ouvrit, et un sexe pareil à celui de l’autre androïde en sortit. Puis il prit Belinda par les fesses, et la pénétra avec force. Elle cria, mais bien vite ce fut de plaisir…le sexe du supérieur, totalement entré en elle, la ramonait, et en plus de la ramoner, il vibrait ! C’était un sexe vibreur, qui décuplait le plaisir dans la chatte de Belinda. Elle cria de plaisir et eut un orgasme mouillé. Le supérieur sortit son pénis-vibreur du sexe de Belinda… et le pénis de l’androïde était trempé de mouille ! Puis l’androïde se plaça derrière elle. Il la prit fermement par les seins. Elle sentit le gland trempé de l’androïde contre son anus. Il força un peu, mais son sexe était tellement trempé par la mouille de Belinda qu’il passa sans peine le muscle anal. Il s’enfonça dans le cul de la jeune fille, qui cria de plaisir… Puis sons sexe recommença à vibrer tandis qu’il la sodomisait avec plaisir. Elle hurla, et la sensation était tellement forte, qu’elle avait l’impression de jouir du cul. Puis, une nouvelle fois, l’androïde s’arrêta et sortit son sexe du cul de Bélinda. Il revint se mettre devant elle, et constata qu’elle était trempée. Il sourit.
- Et encore, tu n’as rien vu ! fit il avec un regard lubrique…
Belinda entendit alors un autre déclic, et elle vit sous le pénis de l’androïde un deuxième mini pénis apparaître, tout à fait de métal celui-là… puis un troisième, plus petit, au-dessus du pénis. Le pénis du dessous était constitué de boules, c’était un gode anal, de belle dimension. Celui du dessus, plus petit, était terminé non pas par un gland, mais par une petite boule de métal. L’androïde se colla contre Belinda. Il la pénétra de son sexe principal. Elle sentit à nouveau le gland humain passer ces petites lèvres, lui arrachant un soupir de plaisir. Mais au lieu de s’enfoncer en un coup, il allait lentement. Il la pénétrait centimètre par centimètre. Puis, après une série de petit cliquetis, Belinda sentit le sexe du dessous, en forme de gode anal, venir s’insinuer entre la raie de ses fesses, puis buter sur son anus, pourtant déjà bien ouvert. L’androïde continua à s’enfoncer en elle. La première boule força l’anus de Bélinda, lui arrachant un petit cri de douleur. « Elles sont trop grosse, pensa-t-elle, il va me déchirer l’anus ! ». Mais elle aimait la sodomie et la pratiquait régulièrement. Son muscle anal accepta assez facilement le gode qui s’insinuait dans son cul. Se faire doublement pénétrer par le même homme, que c’était excitant ! Elle sentait sa grosse bite s’enfoncer dans son vagin, et le gros gode dans son trou de cul… Elle criait de plaisir. Puis, le gland buta contre le fond du vagin de Bélinda, et en même temps, la petite boule du petit sexe du dessus vint caresser son clitoris. Puis, l’androïde commença à bouger en elle… elle sentait les boules qui allaient et venaient dans son anus et son rectum, le gros pénis dans son vagin, et la boule metallique qui lui massait le clitoris… Belinda, cria, joui encore et encore, et mouilla tellement qu’elle sentait sa mouille dégouliner le long de ses jambes et le long de ses fesses, et former une petit flaque au sol… L’androïde la ramonait par tout ses orifices de plus en plus fort, et le plaisir en était si fort, qu’elle en perdait conscience, ne comptant plus les orgasmes, s’accrochant de ses deux mains au tuyau auquel elle était attachée… tuyau qui, sous les coups de butoir et le poids des corps, se balançait de plus en plus… et fini par lâcher, dans un grand bruit et avec un petit morceau de plafond. A demi consciente, Belinda se retrouva au sol. Elle se releva péniblement, tenant à peine sur ses jambes. Elle vit l’androïde inconscient, quelques morceaux de plafonds lui étant tombé sur la tête. « Fuir… je dois fuir… c’est le moment… » Elle sortit par la pièce sur le côté. Il faisait noir. Elle buta sur quelque chose, et allait tomber au sol lorsqu’une porte s’ouvrit et qu’un akranien la rattrapa au vol, l’empêchant de tomber au sol…
 
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Par Brusselx - Publié dans : Mes Récits...
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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 10:29

Les Plantes d'Akrana
Episode 4


Dans une salle de commande, le Zourk Menesis, Mannè, et quelques autres akraniens, avaient assisté aux péripéties des cinq terriens sur des écrans vidéo. Certains akraniens prenaient des notes, commentaient ce qu’ils voyaient. Belinda fut la dernière à sortir de la salle où avait eu lieu son « épreuve ».
 
Mais, derrière une grille d’aération, d’autres yeux avaient aussi tout vu. Jones avait continué à marcher dans le conduit, et des bruits l’avaient attirée dans un conduit latéral. Par la grille d’aération, elle vit les akraniens rassemblés devant les écrans de contrôle, et elle avait vu ce qui était arrivé à ses amis. Malgré la peur d’attirer d’autres animaux, son sexe était trempé, et elle n’avait pu s’empêcher de se caresser, surtout en voyant Belinda se faire ramoner par l’androïde…
 
Maintenant, le Zourk Menesis se tourna vers les autres akraniens, qui semblaient être des scientifiques.
- Messieurs, nous avons réussi. Nous avons créé l’arme défensive la plus parfaite de l’univers : le plus puissant des aphrodisiaque intersidéral ! Comme vous avez pu le constater, le parfum de cet aphrodisiaque fonctionne sur tous les être vivants ou semi vivants de la galaxie : êtres humains, aliens, végétaux, animaux et même les androïde de toutes les espèces. Nous avons aussi fait des tests en laboratoire, et il fonctionne sur les robots, les orcs, et même les morts-vivants ! Lorsqu’il est respiré ou ingéré, l’individu qui en est victime ne pense plus qu’à son plaisir… faire l’amour, baiser, foutre, remplir, sucer, jouir, il ne pense plus qu’à cela ! Imaginez, imaginez une armée offensive gazée par ce parfum : les soldats et les robots, au lieu de se battre et détruire, ne penseraient plus qu’à s’envoyer en l’air… Imaginez que nous dispersion nos plantes dans tous l’univers, et la guerre disparaîtrait à tous jamais ! Notre science sera supérieur à tout ce qui a existé et existera, pour toujours !
 
Les scientifiques applaudirent. Le lieutenant Jones comprenait tout maintenant. Les laboratoires, les cages, les animaux, le fait que le vaisseau rejette beaucoup de manière organique… C’était un zoo volant ! Il fallait qu’elle retrouve Neil et le Capitaine Douglas au plus vite !
 
Elle décida de continuer le long de ce couloir. Elle marcha à quatre pattes plusieurs minutes, avant d’entendre des cris. Elle reconnaissait la voix ! « C’est le professeur Neil ! Mon Dieu, ils la torturent ! » Elle avança le plus vite qu’elle put, jusqu’à la grille d’où semblait provenir les cris. Mais plus elle avançait, moins les cris semblaient être des cris de douleurs ! Elle arriva enfin à la grille d’aération, et put constater que le professeur Neil ne souffrait pas le moins du monde ! Elle était aussi à quatre pattes, sur ce qui devait être un lit. Sa chevelure rousse couvrait son dos, elle était entièrement nue. Un akranien la prenait par derrière, un sexe lui remplissant le vagin, l’autre son anus. Et l’akranien la prenait sans ménagement ! Un autre akranien était face à elle, et elle suçait une de ses bites mauves avec gourmandise, branlant la deuxième. Deux autres akraniens se branlaient les bites en regardant le spectacle, un de chaque côté de la rousse. Le lieutenant Jones n’en revenait pas ! Elle sentit à nouveau la chaleur dans le bas-ventre, son sexe se contracter… Elle avait de plus en plus chaud. Sa main descendit instinctivement vers son pubis, puis son clito… elle se caressa le clito, puis descendit vers son sexe, chaud et ouvert… elle s’introduisit facilement deux doigts, tellement elle était mouillée… Elle commença à se masturber, rapidement, frénétiquement, puis s’arrêta, horrifiée. « Mais qu’est ce que je fait… je ne peux pas ! Je suis leur dernier espoir, je dois les sauver ! » Comme elle ne pouvait rien pour Neil, trop bien entourée, elle choisit de continuer dans le conduit, pour essayer de trouver le Capitaine Douglas.
 
Elle n’eut pas à chercher bien longtemps ! La grille d’aération suivante lui montra un bien étrange spectacle : Dans une chambre pareille à celle du professeur Neil, le Capitaine Douglas, baisant une plante, une tige lui ramonant le cul. Il avait l’air hébété, un peu comme fou. Et il faisait furieusement l’amour au bulbe de cette plante. Dans la tête de Jones, ce fut un chamboulement. Elle revit les images de l’akranien éjaculant, du sexe rouge et gonflé du rat qui s’enfonça en elle, des péripéties érotiques de ses camarades, de Neil, tous les orifices rempli par des bites mauves… Et Jones craqua... Elle agrippa la grille d’aération, la secoua, criant « Capitaine ! Non ! C’est moi, j’ai besoin de vous ! Capitaine, redevenez vous-même ! » Et elle tomba en larme. Au même moment une sirène se fit entendre. Et une lumière rouge éclaira le conduit. Jones reprit ses esprits. « Merde ! J’ai déclanché le système d’alarme ! ». Elle essuya les larmes de ses yeux, et voulut faire demi-tour. Mais quelque mètre plus loin, une trappe d’acier se referma devant elle, lui barrant le passage. Elle devait donc continuer dans le conduit. Elle repassa devant la chambre du Capitaine Douglas., qui semblait maintenant endormi, sa bite dans le bulbe de la plante, et la tige profondément enfoncée dans son anus. Jones passa outre, et continua devant elle. Un autre conduit partait sur sa gauche, elle voulut l’emprunter, mais là aussi une trappe se ferma devant elle. Un peu plus loin, un autre conduit sur sa droite, qui se referma aussi avant qu’elle ne l’atteigne. Elle n’avait d’autre choix que de continuer devant elle. Elle avança et finit dans un cul de sac. « Mais qu’est ce qu’ils veulent ? Où me conduisent-ils ? » A ce moment, elle entendit un petit déclic. Elle remarqua alors qu’il y avait une grille sous elle… et avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, la grille s’ouvrit, et le lieutenant Jones tomba dans un trou noir.
 
Heureusement elle ne tomba pas de trop haut. Elle se réceptionna au sol. Elle regarda autour d’elle il faisait très sombre. Elle aperçut au-dessus d’elle la grille d’aération, sauta, mais celle-ci était un peu trop haute, et Jones ne savait pas remonter par là. Soudain, une lumière assez douce se fit dans la pièce. Elle put voir où elle était. La pièce était tellement petite qu’elle ne savait pas s’y coucher. En fait, en écartant les bras, elle touchait les murs des deux côtés, sans que ces bras soient tout à fait tendus. Et c’est en faisant cette expérience qu’elle remarqua que les murs étaient remplis de trous. Et qu’il y avait du monde derrière ces trous, elle entendait maintenant du bruit. Alors qu’elle observait un de ces trous, quelque chose en sortit. C’était mauve, une petite fente un petit chapeau… en fait un gland, puis le reste du pénis… Un deuxième vint en dessous du premier… Elle avait face à elle deux pénis akraniens, tout bandé, tout tendus… et elle en senti deux autres dans le mur derrière elle… Toutes les images pornographiques lui revenaient en tête, le pénis du rat, celui des raptors, des singes, des androïdes, elle voyait dans sa tête des pénétrations vaginales, anales… son sexe redevint humide, elle n’en pouvait plus…
 
Elle plongea vers les pénis face à elle, sa main entoura le premier, il était doux et chaud… elle commença à le branler énergiquement, tandis que sa deuxième main attrapa le deuxième sexe tendu, et elle lui fit subir le même sort. Elle aimait sentir ses sexes aller et venir dans ses mains… puis, un autre sexe apparut tout près de son visage, juste sous son nez ! Elle releva un peu la tête, et lèche timidement ce gland tiède. La sensation n’était pas désagréable. Elle entoura le gland de ses lèvres, et fit coulisser tout le sexe dans sa bouche… quelle sensation agréable ! Elle commence à sucer et lécher ce sexe, tout en continuant à branler les deux autres. Ce faisant, pour garder son équilibre tandis qu’elle oeuvrait, elle voulut caller ses fesses contre le mur opposé… Mais elle sentit qu’il y avait d’autres sexes raides et tendus derrière elle. Il y en avait un qui butait contre ses fesses. Elle bougea un peu son postérieur pour que ce pénis se retrouve face à son sexe à elle. Elle sentit le gland, tiède, glisser contre son vagin. Elle se poussa en arrière, et se sentit coulisser le long de ce pénis tendu, jusqu’à ce qu’il vienne buter au fonds de son ventre. Elle lâcha un râle de plaisir. Que c’était bon ! Elle se fit coulisser le long de ce sexe, de plus en plus vite, jusqu’à se faire jouir. Bien vite, Jones fut entourée de pénis, il y en avait bien une vingtaine ! Les deux bites qu’elle branlait se cabrèrent en même temps, et éjaculèrent un foutre jaune sur sa poitrine et son ventre. Elle sentit le sexe qu’elle suçait avec gourmandise battre contre son palais, elle voulut se retirer, mais un premier jet de foutre inonda sa bouche et coula dans sa gorge, tandis que le deuxième inonda sa joue, et le sperme glissa le long de son menton. Les trois bites akraniennes débandèrent, mais il y en avait tellement d’autres ! Jones s’en empara de trois autres, une dans sa bouche, une dans chaque mains, suçant, masturbant. Elle sentit le sexe sur lequel elle coulissait battre au fond de sa chatte, puis le sperme chaud se répandre en elle… elle bougea pour pouvoir s’empaler sur une autre bite. Elle adorait cette sensation, ce gland qui buttait contre elle, puis entrait en elle, selon son choix, selon la façon dont elle bougeait le long de ce sexe raide, tiède… Elle reçut en plein visage et dans ces cheveux une giclée de sperme d’une des bites qu’elle masturbait. Elle le lâcha, et prit une autre. Alors qu’elle jouit une deuxième fois, elle sentit un autre sexe buter contre ses fesses. Elle se déplaça le long de la bite déjà dans sa chatte pour placer le nouveau gland contre son anus. Il résista au début. Elle se plaça mieux, et poussa. Elle sentit le gland passer son muscle anal, et la bite entrer petit à petit dans son cul. Au même moment, la bite qu’elle suçait éclata dans sa bouche. Cette fois-ci elle n’en perdit pas une miette avalant tous le sperme tiède akranien. Elle en prit vite une autre dans sa bouche, tandis qu’une giclée de sperme, elle ne savait plus d’où il venait, inonda sa poitrine et coula le long de son sein. La bitte dans son cul arriva aussi, elle avait son vagin et son cul inondé de sperme, qui ruisselait le long de ses fesses. Elle suçait, masturbait, avalait, prenait des bites dans sa chatte, dans son cul… du sperme giclait sur son visage, dans ses cheveux, sur sa poitrine, coulait par litre dans sa gorge… et à la fin, elle avait tellement d’orgasme successifs, et son sexe était tellement humide et mouillée et élargi par les nombreuses pénétrations qu’elle avait subies, qu’elle arriva même à prendre deux bites en même temps dans sa chatte. En plus ils éjaculèrent en même temps ! Il y avait tellement de sperme qu’il coulait le long de jambes de Jones. Enfin, épuisée, elle suçait la dernière bite bandée qui restait… la sentant se cabrer, elle la sortit de sa bouche, et guida le sexe pour qu’il éjacule sur son visage. La giclée de sperme arriva sur son front, ses joues, et elle le sentait dégouliner sur tout son visage. Repue de sexe, couverte de sperme, elle s’assit contre la paroi et s’endormit, épuisée…
 
*          *
*
 
Jones reprit peu à peu connaissance. Elle était toujours dans le même endroit. Elle se releva lentement. Son sexe était légèrement brûlant, et elle sentait fort le sperme ! Sa combinaison n’étant plus que des lambeaux, elle s’en débarrassa. « Il faut que je m’évade d’ici ! » pensa-t-elle. Elle essaye de s’aider des trous dans le mur pour grimper jusqu’à la grille. Mais la grille était fermée. Et en voulant redescendre, elle glissa sur une trainée de sperme, et tomba sur le sol, maculé lui aussi de sperme. C’est en se relevant qu’elle sentit une présence, qu’elle se sentit observée. Elle chercha autour d’elle, et vit la lueur d’un œil qui l’observait par un des trous.
 
- Alors Lieutenant Jones, on nous fait une visite surprise ? Vous savez, il suffisait de venir avec les autres, sans vous donner tout ce mal… et surtout sans nous mentir. Ce n’est pas très honnête ça. Surtout que nous sommes une nation pacifique, et scientifique.
 
Jones reconnut la voix qu’elle avait entendue tout à l’heure, la voix du Zourk Menesis.
- Salaud ! Je vous empêcherai d’implanter votre saloperie dans tout l’univers !
- Comment ? Nous avons la solution pour faire disparaître la guerre et effacer ses cruautés et ses souffrances, et ce dans tous l’univers, et vous me traiter de « salaud » ! En plus cela sans tuer personne, mais au contraire en ne donnant que du plaisir !
- Et notre libre arbitre ? Vous ne nous laissez même pas le choix !
- Le libre arbitre ! Ah ! Mais qu’en faites-vous ? A part la guerre, qu’a fait la race humaine tout le long de son histoire ? Que ce soit sur votre planète, ou sur les autres ! Vous fédérez dans le sang et par les armes, sans demander l’avis des autres peuples non plus, ceux que vous appelez aliens, ou extra-terrestres, et dont certains ont une histoire et une civilisation deux fois plus ancienne que celle des humains. Nous vous forçons un peu la main, mais pour quelle résultat ! Par exemple, là tout de suite, vous n’avez pas demandé à vous retrouver dans cette « cage », nous vous avons forcé la main… mais ne me dites pas que vous n’y avez pas trouvé du plaisir ! Vous avez sucé, masturbé ou baisé quasiment tout mon équipage !
 
Jones rougit. D’un côté il n’avait pas tort, faire disparaître la guerre, la remplacer par le sexe… et oui, elle avait pris son pied, elle n’avait jamais connu de tels orgasmes. Mais d’un autre côté, se voir ainsi privée de son choix, bref de sa liberté !
 
- Où sont mes compagnons ?
- Ne vous en faites pas ils vont bien. Ils se reposent dans leurs chambres. Si vous m’avez entendu, puisque vous citez mes paroles, je suppose que vous avez vu les écrans. Ils ne risquaient rien. Tous les aliens ou animaux étaient sous l’influence de la fleur, vos amis ne risquaient donc rien. Nous maîtrisons l’arme défensive inoffensive la plus puissante de l’univers !
- Mais vous croyez que cela est agréable de se faire défoncé par un monstre, un raptor ou un rat ? Et pour le Capitaine Douglas ?
- Comment ? Un rat ? Mais aucun de vos amis n’a eut affaire à un rat… nous n’avons pas mis de rat sous contrôle de la plante.
- Pas eux peut-être, mais moi, dans vos conduites, j’ai failli me faire violer par un rat. Il avait commencé à me besogner lorsque je l’ai tué. Or d’habitude, les rats de l’espace pensent plus à manger les femmes humaines qu’à les violer ! Et vous ne m’avez pas répondu pour le Capitaine ?
 
Jones n’eut plus de réponse. Le Zourk Menesis était toujours là, mais fort perplexe. Au bout d’un moment, il se ressaisit.
- Je dois y aller, j’ai à faire. Pour le Capitaine Douglas, c’est un petit contretemps… nous ne comprenons pas ce qui l’a rendu dans cet état végétatif. Mais nous sommes sur le point de trouver l’antidote qui va le guérir. Excusez-moi. Je dois y aller. Je vous laisse ici pour réfléchir. Si vous renoncer à nous stopper, nous vous conduirons dans une chambre, et vous pourrez revoir vos amis. Sinon, vous resterez ici. Cela amuse bien l’équipage !
 
*          *
*
 
Le silence devenait pesant. Les scientifiques se regardaient l’un l’autre, puis la longue table de la salle de réunion. Ils avaient entendu le récit du Zourk Menesis.
- C’est absolument impossible ! Nous n’avons pas mis de rat sous contrôle.
- Et impensable ! Aucune de ces bêtes n’aurait pu s’introduire dans nos laboratoires, nous l’aurions vu, ne fut-ce que sur nos bandes enregistrées vu que les labos sont sous vidéos- surveillances 24h sur 24h !
- Peut être qu’elle ment ?
- Oui, après tout, elle ne nous aime pas beaucoup. Et elle s’est introduite illégalement sur notre navire, ce qui est contraire à toutes les lois stellaires en vigueur !
 
Le Zourk Menesis réfléchit un moment. Il regarda l’ensemble des éminents scientifiques autour de la table. Puis il prit une décision.
 
- Puisqu’elle a dit avoir tué le rat, la seule façon de savoir la vérité est de trouver et d’étudier son cadavre. Et aussi de trouver un autre rat vivant, ils doivent grouiller dans ces conduits, pour voir s’ils sont réellement sous l’effet de notre produit. Et nous demanderons l’aide des humains pour cela.
 
Les scientifiques opinaient du chef à lorsque le Zourk Menesis parlait. En entendant qu’il voulait demander l’aide des humains, un scientifique allait réagir, mais Menesis tapa du plat de la main sur la table.
 
- J’ai décidé. Que mes ordres soient exécutés.
 
*          *
*
 
Jones ne savait pas comment sortir d’ici. Elle cherchait un plan d’évasion, lorsqu’elle entendit des bruits, plusieurs personnes venaient vers elle.
 
- Lieutenant Jones…
 
Elle reconnut la voix du Zourk Menesis.
 
- Lieutenant Jones, je sais que vous n’êtes pas d’accord avec nous. Mais je vous propose une trêve. Et même une étroite coopération entre nous et vous. Qu’en pensez-vous ?
 
Jones réfléchit quelque secondes. La voix du Zourk Menesis paraissait beaucoup moins assurée que la première fois qu’il était venu lui parler. Ils avaient donc un problème, mais lequel ? Si elle restait ici, elle était coincée. Si elle les aidait, elle pouvait soit trouver une occasion de s’échapper, soit de les mettre hors d’état de nuire, soit de trouver une solution ensemble à ce problème. Son choix fut vite fait.
 
- OK, j’accepte de vous aider, mais faites moi sortir d’ici !
 
Un mur coulissa. Le Zourk Menesis lui-même lui tendit la main pour l’aider à sortir de la « cage ». Derrière lui venait quelques akraniens, ainsi que Lhatta, Belinda, Jenny, Mike et Ben. Un des akraniens portait une sorte d’échelle. Il entra dans la cage, et grâce à l’échelle, il atteint la grille par laquelle Jones était tombée. Avec une sorte de clef, il ouvrit cette grille, puis redescendit et quitta la cage, laissant l’échelle sur place. Le Zourk Menesis posa sa main sur l’épaule du Lieutenant Jones, et il soutint son regard sans ciller.
 
- Je vous jure que nos intentions sont pacifiques. Nous voulons éradiquer la guerre et les fléaux qui vont avec. Mais nous ne comprenons pas ce qui est arrivé au Capitaine Douglas. Nous ne comprenons pas non plus comment ce rat qui vous a attaqué a put être sous l’effet de la plante. Pour en savoir plus, nous devons analyser le cadavre de ce rat. Et pour ça nous avons besoin de vous. Sauriez-vous faire le chemin inverse dans les canalisations, afin de mener cette équipe de scientifique au cadavre du rat ?
- Oui, je pense pouvoir le faire sans trop de problème. Mais mon équipe m’accompagne.
- D’accord. Et si vous trouveriez d’autres rats, bien vivant ceux-là, nous aimerions les étudier. Nos deux scientifiques, le docteur Zingl et son assistant, qui vont vous accompagner sont armés de rayons paralysant. Merci Lieutenant Jones. Je vous jure de tout faire pour soigner le Capitaine Douglas. Après, nous pourrons reprendre ce débat sur l’utilité de notre plante défensive !
- D’accord, mais sachez que je suis de moins en moins convaincue par vos arguments ! Bon, je passe en premier, puis viendront les scientifiques, puis Mike et Ben. Lhatta, Jenny et Belinda vous fermez la marche, à cinq minutes de nous. Si un des deux groupes est attaqué, ou voit un rat, il fait appel à l’autre. Pas de question ? OK, allons-y…
 
Et Jones grimpa à l’échelle et s’engouffra dans la canalisation, suivie par les deux akraniens et le reste de son équipe. C’est en arrivant dans la canalisation qu’elle se rendit compte qu’elle et ses amis étaient entièrement nus. « Faudra que je pense à demander à Nemesis des vêtements. Enfin il aurait pu y penser… Quels mateurs ces akraniens ! ». Tout en marchant à quatre pattes dans le conduit, elle sentait le regard de l’akranien, derrière elle, vissé sur ses fesses rebondies… Jones décida de ne pas y faire attention, et essayait de repérer le chemin à suivre en se rappelant celui qu’elle avait suivit pour venir. Elle passa devant la chambre du Capitaine Douglas. Puis, se fiant aux cris de plaisirs, passa devant celle du professeur Neil, qui était maintenant à quatre pattes sur la moquette, toujours remplie par des pénis akraniens par tout ces orifices. « Et bien, quelle santé celle-là ! » pensa Jones. Ce spectacle arracha un sourire hilare aux akraniens, qui se firent une réflexion dans une langue que Jones ne comprit pas, et aussi à Mike et Ben, qui ne purent s’empêcher quelques réflexions salaces. Mais le groupe poursuivi son chemin dans les conduites sans plus s’attarder.
 
A quelque mètre de distance, le deuxième groupe arriva aussi devant ce spectacle. Lhatta essaya de ne pas trop y faire attention, mais Jeny et Belinda furent captivées par ce spectacle. Elles se sentaient bizarre depuis leur réveil dans cette chambre akranienne. En chaleur, mouillée, excitée… non, affamée de sexe ! Lhatta les rappela militairement à l’ordre, et elles la suivirent. Belinda, qui suivait Lhatta, ne pouvait plus détacher son regard de ses jolies fesses, qui semblait danser devant elle. La courbure, le sillon, l’ombre qui indiquait l’entrée anale, puis la descente vers son sexe sans poil. Elle était captivée, affamée. Soudain, Lhatta s’arrêta de marcher, pour laisser la distance demandée entre son groupe et celui de Jones. Belinda s’arrêta son nez sur les fesses de Lhatta. Elle se redressa un petit peu, et de ses mains pelotta, puis écarta les fesses de Lhatta.
 
- Mais Belinda ! Arrête, qu’est ce que tu faits ?
 
La langue de Belinda suivit le sillon des fesses, descendit jusqu’au sexe de Lhatta, puis remonta le long du sillon, lui titilla l’anus…
 
- Oh ! Première classe Bélinda je vous ordonne d’arrêter ! Nous sommes en mission, vous risquez la cours marti… oh ! je…
 
La langue de Bélinda lui pénétra l’anus… Lhatta lui tendit encore plus sa croupe. Puis, la langue de Belinda descendit vers le sexe de Lhatta, et commença à le lui lécher tandis qu’un de ses doigts lui pénétrait facilement l’anus, tout mouillé de salive. Puis Lhatta se retourna, et elle et Belinda se mirent en position du 69, s’introduisant l’une l’autre la langue et les doigts dans l’anus ou le sexe, passant de l’un à l’autre, mouillant et jouissant de plus en plus.
Jenny, voyant ce spectacle, commença à se caresser les seins. Ces tétons étaient durs. Une de ses mains descendit vers son clitoris, puis son sexe, ouvert et déjà tellement humide. Elle agaça un peu son clitoris, puis s’introduisit deux doigts dans le sexe. Mais elle voulait plus. Elle regarda autour d’elle, et vit une grille d’aération ouverte. Elle se faufila par cette grille. Elle avait tellement envie de sexe, elle était tellement excitée, qu’elle baiserait la créature qu’il y avait là, qu’elle qu’elle fût… et pourvu qu’elle ait un gros sexe !
 
Jenny sauta par la grille, et tomba sur de la terre. A l’odeur elle sut qu’elle était dans des marais, sans doute recréés par les akraniens pour la créature qui vivait ici. Elle regarda autour d’elle et ne vit rien. Elle entendit un petit grondement, et recula doucement. Derrière elle il y avait trois rochers, un très gros, au centre, et collé à lui deux rochers moyens, un à sa droite et un autre à sa gauche. Il y avait une place entre ses deux rochers moyens pour que Jenny s’y glisse. Ainsi, dos à un gros rocher, et protéger par les deux autres, elle saurait observer les alentours en se cachant. Elle recula donc doucement, et se colla, dos au rocher. Une douce sensation s’empara d’elle. Le rocher, qui avait une forme plutôt arrondie, était très tiède. Elle frotta son dos contre cette agréable source de chaleur. Ses pieds se callèrent sous les rochers moyens, à sa droite et à sa gauche. Elle était si bien. Le rocher était chaud, doux et vibrait doucement. Jenny savait déjà que ce n’était pas un rocher, mais un beau spécimen d’Erectea glossa. Cet animal du système Endocris3 est très étrange : Seuls ces organes génitaux sont visible : constitué de trois testicules, trois boules de belles dimensions, un très grosse au milieu, et deux moyenne sur le côté, de couleur vert-gris, qu’on confond aisément avec les rochers. Son pénis est assez énorme, et rétractable, et est caché sous la boule principale. Tout le reste de son corps est perpétuellement caché, dans la longue traîne de chair et de graisse qu’il traîne derrière ses trois testicules. Ils ne savent se mouvoir que de quelques millimètres par an, vivent en général 1000 à 1500 ans, et leurs vie n’a d’autre but que la reproduction de leur étrange espèce. Jenny se laissait tout à fait aller contre cette boule chaude et douce, y frottait son dos. Elle sentit le bas de la boule bouger, s’ouvrir, et quelque chose de long et tiède frotta sa cheville gauche. C’était le pénis de l’Erectea qui sortait. Il était long de presqu’un mètre, et épais comme le poing d’un enfant. Jenny l’attrapa doucement. Il était si long, il valait mieux qu’elle le guide… Le pénis était aussi tiède et doux, d’une couleur gris clair, presque blanc. Jenny écarta les jambes et le mena droit à son sexe trempé. Elle frotta le bout du pénis contre son clito, puis le long de ses petites lèvres, puis elle le fit entrer centimètre par centimètre en elle. Au début ce ne fut pas sans mal, car quel monstre ! Mais le plaisir et sa mouille aidant, Elle rentra une bonne partie de ce pénis en elle, jusqu’à ce qu’il butte contre le fonds de son vagin. Puis elle ne put plus rien contrôler… le pénis commença à onduler en elle, sans faire de vas-et-viens, la remplissant entièrement… elle commença à crier de plaisir… puis, elle sentit à l’intérieur de son sexe, le gland du monstre qui la pilonnait avec des mouvements lents, mais réguliers, comme un piston. Elle sentit les sensations augmenter, l’orgasme venir, et criant son plaisir, se caressant les seins, se frottant le dos à ce monstre chaud, elle eut deux orgasmes mouillés successifs, se sentant presque pisser de mouille tellement ils étaient mouillés… Puis l’Erectea éjacula. Des litres de semences couleur perle. Jenny sentit ce sperme se déverser en elle, par litre. Elle sentit sa matrice se remplir de semence tiède, puis la rejeter. Il y en avait tellement qu’il lui coulait le long des jambes, chaud et gluant, et ce pendant 10 bonnes minutes… Quand l’Erectea s’arrêta, Jenny avait tout le bas du corps trempé de sperme. Puis elle sentit dans son vagin le pénis du monstre recommencer à onduler, et le pistonnage recommença. Elle avait oublié que l’Erecta copule en général pendant cinq à six heures, et peut avoir jusqu’à 100 coït avant de s’arrêter…
 
*          *
*
 
Dans le conduit, Ben appela le lieutenant Jones.
 
- Lieutenant, le groupe arrière ne suit pas, et ne donne plus signe de vie.
- J’arrive !
 
Le Lieutenant Jones se plaqua contre la paroi pour laisser passer les deux scientifiques akraniens, Ben et Mike. Elle leurs fit signe de l’attendre, puis se retourna et revint sur ses pas. Elle trouva Lhatta et Belinda occupée à se lécher avec gourmandise, se doigtant l’anus… et en tournant sa tête vers la gauche, elle vit par la grille d’aération Jenny, les jambes trempées, se faire pistonner par une drôle de créature… la semence de la créature coulait le long des jambes de Jenny, et commençait à faire une flaque importante sur le sol. Le Lieutenant Jones voulut les appeler à l’ordre, mais c’était comme si les trois femmes ne l’entendaient pas. Elle décida de continuer sans elles. Elle refit demi-tour, et rejoint le groupe de Ben, Mike et des deux scientifiques.
 
- On continue sans elles.
- Rien de grave au moins ? fit Mike en regardant vers l’arrière.
- Non, désobéissance caractérisée. Mais c’est étrange. Je connais Jenny et Belinda depuis des années. C’est l’élite de notre armée. Jamais elles ne désobéiraient en mission, ou penseraient d’abord à s’amuser. Je ne les ai jamais vues faire cela ! Je suis sûre qu’elles sont encore sous l’influence de cette plante…
 
Le groupe continua son chemin dans les canalisations. Grâce au sens de l’orientation du Lieutenant Jones, ils arrivèrent sans mal au cadavre du rat qui avait essayé de la violer. Le docteur Zingl et son assistant prirent du sang du rat, des échantillons de salive, de sperme, étudièrent ses yeux, son sexe, et firent une sorte de photo-scanner de l’animal. Puis ils firent de même avec le cadavre du second rat, que Jones avait tué avant. Ceci fait, ils se tournèrent vers Jones.
 
- Pour comparer nos échantillons, il nous faudrait un rat vivant. Hélas, nous n’en avons pas vu un seul, et le temps presse.
- Que proposez-vous ?
- En fait lorsque ces rats vous ont attaqué, vous marchiez sans faire de bruit pour ne pas attirer notre attention. Nous faisons donc certainement trop de bruit pour eux. Il faudrait ne plus bouger et essayer de les attirer dans un piège. Avec un… appât…
- Un appât ?
- Oui… vous avez attiré ces rats avec vos… odeurs… féminines. Regardez, là bas il y a un croisement de conduit. La plaque du dessous peut être ouverte. Si vous vous mettez là, vos odeurs se répandront par les quatre conduits. Vous allez certainement attirer un rat. Nous serons en embuscade, ici, à 5 mètres de vous, et lorsque le rat vous attaquera, nous le paralysons, et on ne devra même pas transporter l’animal, il suffira d’ouvrir la plaque et de le laisser tomber. Qu’en pensez-vous ?
 
Le Lieutenant Jones réfléchit un instant. C’était risqué, elle n’avait pas vraiment confiance en ces akraniens. Mais avaient-ils un autre choix ? Mike et Ben faisaient « non » de la tête, mais Jones se retourna vers les deux akraniens.
- J’accepte, mettons-nous en position.
Puis à voix basse vers Mike et Ben.
- Je n’ai pas trop confiance en eux, surveillez-les de près !
 
Cela faisait maintenant dix bonnes minutes que le Lieutenant Jones attendait à l’intersection des conduits. Elle était à quatre pattes, la croupe levée, espérant attirer un rat. Mais rien ne se passait. Quelle journée, quelle mission !!! Elle repensait à tous les événements de la journée, essayant de mettre de l’ordre dans ses idées. Mais dans ces pensées, une image vint s’interposer. Le mur troué, remplis de pénis akraniens. Et elle, trempée de sperme, qui suçait, avalait, s’empalait… « Non ! Enfin, qu’est-ce qu’il m’arrive ! Il faut que je mette de l’ordre dans mes idées, pas comme les autres… » Et elle pensa à Lhatta et Belinda… les images lui revinrent : l’index de Belinda qui rentrait petit à petit dans l’anus de Lhatta, tandis que la langue de Lhatta s’enfonçait dans l’intimité de Belinda, en ressortant, trempée de secrétions intimes… Ces images commencèrent à exciter Jones. Elle était là, dans ces conduits, la croupe levée et offerte… Elle commença à mouiller, et se caressa machinalement un sein, puis son entrejambe… « Mais non ! Jones, reprends-toi ! »
 
Mais ce qu’elle ne voyait pas, c’est que l’odeur de son excitation, l’odeur d’une femme en rut, se répandait dans les conduits… et moins de cinq minutes plus tard, deux yeux jaunes luirent dans les ténèbres, derrière le Lieutenant Jones. Elle ne pouvait le voir, mais elle sentit sa présence. « Ok, en voilà un qui s’amène me semble-t-il ». Le rat s’avança avec prudence, reniflant à gauche, à droite. Jones sentit l’animal s’approcher. « Si je bouge, il va s’enfuir, et il faudra tout recommencer. Et j’en ai marre d’être dans ces conduits. Donc, pas bouger. » Et puis Jones pensait au second rat qui l’avait attaqué. Elle revit son sexe, rouge et dur, légèrement ondulé… elle était excité… et avait envie de plaisir… Elle mouillait de plus en plus, et le rat le sentit. Jones, qui n’osait toujours pas bouger, sentit l’animal s’approcher derrière elle. Elle sentit la truffe de l’animal renifler son derrière, puis son sexe. Elle sentit la douce caresse du pelage tiède contre ses cuisses. Et soudain, elle sentit l’animal se coller à elle, ses épaules enserrées, la chaleur du corps de l’animal sur elle… le rat fit un mouvement de bassin et son sexe raide, entra facilement et complètement dans le sexe offert et trempé de Jones. Elle sentit les ondulations du sexe raide passer ses petites lèvres, la remplir, et le bout du sexe taper au fond de son vagin. Puis, avec des mouvements de plus en plus rapide de bassin, le rat la besognait. Elle sentait ce sexe dur, ondulé, aller et venir très rapidement en elle…
 
Mike et Ben avaient vu le rat approcher du Lieutenant Jones. A voix basse ils interpellèrent les scientifiques akraniens. « Docteur Zingl, tirez bon sang ! Il va la dévorer ! » A ce moment, le rat hésita un instant, reniflant à gauche, à droite. Les akraniens firent signe à Mike et à Ben de se taire et montrèrent quelque chose. Mike et Ben regardèrent, et virent le sexe du rat. Rouge, légèrement ondulé, tendu… Il était en rut ! Il agrippa les épaules du Lieutenant Jones, et en un coup de bassin, il la pénétra de son sexe tendu. Puis, en de rapide saccade, il la besogna. Les akraniens sortirent leurs rayons paralysants, mais ne tirèrent pas, ébahis et amusés par ce spectacle…
 
Jones sentait les coups de boutoirs du rat allant en s’accélérant. Elle fut envahie d’une vague de plaisir, qui la submergea, mais l’animal allait de plus en plus vite, et elle sentit le sexe de l’animal battre en elle… « mais…. Aaahhh… qu’est-ce qu’ils foutent ?  mmhmmm… qu’est-ce qu’ils attendent pour le paralyser ? » Elle sentit un jet violent en elle, le rat éjaculait ! Elle sentait ce sexe battre et cracher sa semence, très liquide, sa semence qui se répand en elle, puis elle sentit ce sperme liquide déborder de son sexe et couler le long de ses cuisses… Le rat recula un peu, puis, son sexe directement raide, il recommença. Mais le sexe de Jones était tellement mouillé de sa jute et du sperme du rat, que le sexe du rat manqua l’entrée du vagin, glissa le long des fesses de Jones, et vit se caller à l’entrée de son anus. « Oh non, pensa Jones, horrifiée. Il va me faire mal, avec sa longueur et la force de ses coups de boutoir, il va me déchirer le rectum… il va me tuer ! » Elle sentit avec horreur le sexe du rat entrer dans son anus, elle sentit encore mieux les ondulations de ce sexe animal. Mais soudain un éclair blanc illumina le conduit, puis le rat, arrêtant tout mouvement, se laissa tomber sur elle, paralysé. Mike accourut, tenant le paralysateur en main, suivi de Ben, et des deux scientifiques akraniens, dont un avait un œil au beurre noir. Ils aidèrent Jones à se dépêtrer du rat.
 
- Vous en avez mis du temps avant de paralyser cet animal… vous attendiez quoi, qu’il me fasse trois portées ???
Mike montre le paralysateur, et l’akranien avec l’œil au beurre noir.
- Ils étaient tellement fascinés par tes ébats qu’ils en oubliaient d’utiliser leur joujou. Je le lui ai donc emprunté, pour te tirer des griffes de ton petit amis trop collant !
 
 
(à suivre...)
Par Brusselx - Publié dans : Mes Récits...
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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 10:38

Les Plantes d'Akrana 
Episode 5


Le Lieutenant Jones, Ben, Zourk Menesis, Mannè, et les scientifiques akraniens étaient dans la salle de réunion. Un silence pesant se faisait sentir. Depuis le retour de la mission dans les canalisations, le Lieutenant Jones avait remarqué que le Zourk Menesis semblait plus soucieux qu’auparavant. Et maintenant qu’il lisait le rapport de ses scientifiques, il semblait encore plus soucieux.
 
- Ainsi donc le Lieutenant Jones avait raison. Les rats des conduites étaient bien sous l’influence de notre plante. Et même sous forte influence. Et ce n’est pas tout. Nous avons des problèmes d’indiscipline, des hommes qui ne pensent qu’au sexe plutôt que d’obéir aux ordres, des bagarres. Nous avons dû mettre des hommes aux arrêts… Or ces hommes ne devaient pas être non plus sous le contrôle de la plante.
 
Le Zourk Menesis promena son regard sur l’assistance.
 
- Et pire, nous avons perdu un homme. L’infirmier que nous avons envoyé chercher le Capitaine Douglas a été retrouvé mort. Les docteurs sont occupés à l’autopsier. Alors, messieurs, quelqu’un pourrait-il m’expliquer ce qui se passe ici ?
- Vous perdez le contrôle, fit le Lieutenant Jones. La seule chose à faire, c’est de vous débarrasser de cette plante !
- Comment, fit le docteur Zingl, se débarrasser de notre découverte ! Jamais ! Plutôt…
- Il suffit fit le Zourk Menesis. Vous devez comprendre, Lieutenant Jones, que nous en sommes encore aux expérimentations… il est normal que nous ne maitrisions pas à 100% les effets de cette plante…
- Mais enfin, vous ne maîtrisez rien !
- Comment osez-vous, fit le docteur Zingl !
- Alors, dites-nous au moins ce que vous savez sur cette plante, docteur je-sais-tout !
- Et bien… - le docteur Zingl regarda vers le Zourk Menesis, quêtant son approbation, qu’il reçu d’un signe de tête – nous avons découvert fortuitement cette plante sur une des petites planètes du système d’Akrana. Nous y avions envoyé une mission d’exploration. Nos explorateurs nous ont fait part de certains « événements » qui avaient eu lieu lors de l’expédition sur cette planète, d’ailleurs totalement inhabitée. La très sérieuse mission scientifique devint une vraie orgie. Après plusieurs expérimentations, nous avons découvert que c’est le pollen des fleurs de cette plante, lâchés par ses pistils en forme de pénis qui a un effet euphorisant et aphrodisiaque instantané, et très puissant. Nous avons isolé une de ces plantes, et avons continué les expériences ici, sur notre vaisseau, pour en faire l’arme défensive pacifiste par excellence.
- Il n’y avait pas d’être vivant sur cette planète ? fit pensivement Jones
- Non, uniquement des végétaux.
- Et ici, vous en avez fait plusieurs boutures, pour avoir plusieurs plantes ?
- Non… en fait… les petites plantes sont arrivées toutes seules. Nous n’avons eu qu’à les séparer de la plante amenée de la planète… et chaque petite plante fait des petits… Nous avons d’ailleurs remarqué que leurs croissances sont plus fulgurantes depuis que nous les avons amenées sur le vaisseau, comme si sur la planète elles vivaient au ralenti.
- Zourk Nemesis, il faut vous débarrasser de cette plante. Je crois comprendre ce qui se passe. Nous sommes…
 
Une sonnerie stridente coupa la parole au lieutenant Jones. Le Zourk Nemesis se retourna, et alluma un écran derrière lui. Le visage d’un akranien apparut.
- Ô Zourk, pardon de te déranger, mais une alerte a été déclenchée. Le professeur Neil est sortie de sa chambre.
- Quoi ! Mais… comment est-ce arrivé ? J’avais ordonné qu’on la laisse tranquille !
- Certains hommes ont désobéi ; ô Zourk. Ils se sont « amusés » avec elle, puis sont partis en oubliant de refermer la porte de sa chambre.
- Cette conduite est inqualifiable. Comment cela peut arriver à une race aussi supérieure que la nôtre ? Ces hommes seront punis ! Et où est le professeur Neil maintenant ?
- Nous l’avons détectée dans la chambre du Capitaine Douglas. Après la mort de l’infirmier, la porte était aussi restée ouverte.
- Quoi ! Envoyez des hommes la chercher, et mettez la chambre sur écran !
 
Le visage de l’akranien se brouilla, puis une autre image arriva sur l’écran. C’était la chambre du Capitaine Douglas. Tout était comme Jones l’avait vu lors de son passage dans les conduits. Le Capitaine était toujours accroché à la plante, son sexe dans le bulbe de celle-ci. Jones trouvait juste qu’il avait un peu maigri. Puis une silhouette s’approcha. C’était bien le professeur Neil. La superbe rousse était nue. Elle s’approcha en hélant le Capitaine.
 
- Capitaine Douglas… Capitaine Douglas, vous m’entendez ? Il m’est arrivé des choses… incroyables ! Capitaine Douglas ?
 
Elle s’approcha du Capitaine, et le secoua légèrement.
 
Dans la salle de réunion, Jones fut la première à voir les fleurs bouger. « Regardez ! » s’exclama-t-elle. Les tiges de la plante semblèrent s’allonger, et les fleurs se tournaient vers le professeur Neil, comme si la plante la regardait !
 
Neil n’avait pas fait attention à la plante. Elle secoua plus fortement le Capitaine Douglas. Elle voulut même le tirer en arrière, mais à ce moment, une tige feuillue de la plante se détendit et claqua comme un fouet, projetant le professeur Neil au sol. Elle tomba sur ses jolies fesses, jambes écartées, hébétée de ce qui venait de lui arriver. La tige allait encore frapper, quant Neil balbutia « mais… mais… je ne te veux pas de mal, jolie plante… je veux juste parler à mon supérieur ». Au lieu de frapper Neil, la tige s’arrêta et recula. Les fleurs de la plante bougeaient lentement, comme si elles reniflaient quelque chose. Une tige avec une fleur s’allongea et s’approcha de Neil, toujours à terre, sur ses fesses, jambes écartées. La fleur sembla descendre vers le sexe de Neil. A ce moment, toute la tige fut prise de soubresaut, un peu comme un éternuement, et à la surprise générale, un des pistils jaunes, en forme de pénis, grossit. Il grossit jusqu’à dépasser les 20 cm sur 6 cm. Neil n’en croyait pas ses yeux ! Et en un coup, la fleur avec son pénis de belle taille plongea vers le sexe du professeur Neil. Le gros gland jaune frotta les petites lèvres de Neil, puis s’introduit entièrement dans son vagin, arrachant un cri de plaisir à la femme. Et pendant que ce pénis lui ramonait le vagin, un autre s’approcha de la bouche de Neil. Elle le prit sans problème entre ses lèvres, y enroulant sa langue. La plante pénétra sa bouche si fortement que Neil se coucha au sol, pour mieux avaler cette immense queue jaune. Une autre longea le sol jusqu’à son anus, et y pénétra petit à petit, à cause de sa grosseur. Une fois que l’anus accepta l’intrus, se détendant pour laisser passer tout ce pénis jaune, la plante commença à lui ramoner l’anus sans ménagement. Des autres fleures-pénis vinrent frotter les seins, les jambes de Neil, qui gémissait de plaisir. Elle en sentit près de ses mains, et chaque main attrapa un de ces pénis. Ils étaient doux et raides, tièdes, excitants. Elle commença à les branler. Neil avait été baisée par tous les trous par plusieurs dizaines d’akraniens pendant ces derniers jours, mais aucun n’avaient de sexe si gros que ces pénis jaune. Jamais elle n’avait connu un tel plaisir. Elle sentait les orgasmes venir, en vague de plaisir, de plus en plus fort, de plus en plus nombreux. Le pénis dans sa bouche accéléra la cadence, sa cabra et éjacula une semence très sirupeuse, sucrée, tiède, excellente… Neil se sentie envahie en elle de ce sirop orangé, dans son sexe, dans son anus, puis recouverte sur tout son corps. Et après avoir éjaculé, les pénis jaunes ne débandaient pas, mais reprenaient leurs vas et vient. Neil gémissait sans arrêt de plaisir. Son plaisir était tellement intense, que comme Douglas, elle tomba dans une sorte de coma euphorique.
 
A ce moment, deux akraniens armés entrèrent dans la pièce. Ils furent d’abord décontenancés par ce qu’ils virent. Ensuite ils déposèrent leurs armes pour avoir les mains libres pour tirer le professeur Neil de là. Mais comme ils s’en approchaient, la tige feuillue, sans fleure, revint à la charge. D’un coup sec, elle projeta contre la paroi le premier akranien, qui fut assommé, puis enserra le cou du second. Elle l’étrangla. Alors que son corps sans vie retombait sur le sol, elle revint vers le premier. De nouveau elle enserra son cou, mais au lieu de le tuer, elle l’amena à côté du Capitaine Douglas. Habilement, la tige s’inséra dans son pantalon et fit céder les coutures. L’akranien reprenait doucement conscience, et, au spectacle de Neil prise par ces pénis jaune, il bandait dur, ses deux sexes mauves bien tendus. La plante le guida vers un nouveau bulbe qui venait d’apparaître à sa base. L’akranien y plongea un de ses pénis. Une expression de béate euphorie se peignit sur son visage. Une fleure pénis arriva dans son dos, plongea vers ses fesses et força son anus. Une autre descendit vers son deuxième sexe, et le bout du gland s’ouvrit, comme des petites lèvres et gobe tout le sexe de l’akranien, qui lui aussi, jouissant comme jamais, glissait vers un coma euphorique.
 
Le Zourk Nemesis éteignit l’écran de contrôle en jurant… Il se tourna vers Jones, le regard las.
 
- C’est bien ce que je pensais, fit cette dernière. Est-ce vraiment une plante ? Non, je crois que c’est un être vivant, en léthargie sur la planète, et qui a été réveillé ici. Il vit, il se nourrit, se reproduit, et tue quand il se sent menacé. Et il est occupé à coloniser le vaisseau…
 
Le Zourk Nemesis se tourna vers le Docteur Zingl.
- Impossible… murmurait celui-ci, de moins en moins sûr de lui.
- Docteur Zingl, fit le Zourk, vous qui avez étudié cette plante, que pouvez-vous répondre au Lieutenant Jones ? Au terme de vos analyses vous nous avez certifié qu’il s’agissait bien de végétal, vous n’avez pas pu vous tromper sur quelque chose d’aussi fondamental ?
- Je suis désolé… désolé… c’est eux… ils m’ont forcé… fit Zingl, baissant la tête et se lamentant.
- Quoi, que dites-vous ?
 
Mais au lieu de répondre, le docteur Zingle se leva d’un bond, menaçant l’assistance avec une arme. Personne ne l’avait vu amener ce désintegrator. Il tira sur le Zourk Menesis, et profitant de cette diversion ouvrit la porte de la salle et s’enfuit dans les couloirs du vaisseau.
 
Tout le monde se leva et alla vers le Zourk Menesis. Le Lieutenant Jones, la plus proche du chef des akraniens, avait vu Mannè se jeter, et lui et le Zourk étaient tombés à terre. Mannè avait fait rempart de son corps pour protéger son commandant et chef. Jones vit tout de suite qu’il n’y avait plus rien à faire pour l’akranien. Son corps était coupé en deux en diagonale. Il gisait sans vie sur son chef, qui malgré l’acte héroïque de son subordonné, était gravement blessé. Ben et Jones aidèrent le Zourk à se relever, et l’assirent dans son fauteuil, puis un des scientifiques présent vint le soigner tandis que les autres akraniens emmenèrent les restes de Mannè.
 
- Où est Zingl ? dit faiblement le Zourk Menesis.
- Notre système de surveillance le traque, ô Zourk Menesis, fit le soignant.
 
A ce moment, un akranien apparut à l’écran.
- Ô Zourk Menesis, nous avons trouvé Zingl. Il a rejoint les laboratoires, et est entré dans la zone matrice.
- Sur écran, fit le Zourk, dans un souffle.
 
Un laboratoire apparut sur l’écran. Puis arriva Zingl, en courant. Il alla vers le fond du labo, où se trouvait une porte de chambre forte. Il tapa un code, la porte s’ouvrit, et il entra. Une autre caméra donna l’image de Zingl pénétrant dans la zone matrice. Les akraniens y avaient reconstitué une forêt palétuvienne. Au milieu d’une clairière, se trouvait une plante, avec de belles fleurs aux pétales rouges, avec son bulbe semi-enterré, ses hautes tiges et ses fleurs pourpres en trompette, et ses pistils en forme de pénis. Mais cette plante était plus grande, plus grosse et plus fournie que toutes les autres. Elle était entourée d’autres plantes, plus petites. Le docteur Zingl courut au milieu de la clairière, face à la grande plante, et s’agenouilla face à elle. Il lui parla, et la plante semblait acquiescer.
 
- Ils communiquent ! fit Jones. On dirait que la plante comprend ce qu’il dit et… mais…que fait-il ?
 
*          *
*
 
Après avoir tiré par désespoir sur le Zourk Menesis, Zingl n’avait qu’une idée en tête, la rejoindre. Il s’en voulait, il avait raté sa mission. Il courut dans les couloirs, jusqu’à son laboratoire. Au fond, il alla jusqu’à la porte, fit le code, et attendit impatiemment que la porte s’ouvre. Il ne fit pas attention aux caméras qui l’espionnaient.
 
La porte ouverte, il traversa la mini forêt qu’il avait recréée pour elle. Il courut jusqu’à elle… la première plante, celle qu’il avait ramené de la planète, qu’il avait soigné. Celle qui lui parlait… Il s’agenouilla face à elle.
 
« Tu es là mon amis… »
 
Comme d’habitude, il ne l’entendait que dans sa tête. Il avait très tôt compris que la créature était télépathe. Car il savait que ce n’était pas une plante. Il l’avait constaté au début de ses recherches. Cette forme de vie pensait, parlait par télépathie, respirait, mangeait, se reproduisait. C’était une créature prodigieuse. C’est elle qui lui avait donné l’idée de l’arme défensive pacifiste par excellence. Elle qui lui avait donné l’idée d’attirer les vaisseaux terriens. Car pour survivre, elle devait se nourrir. Sur la planète, sa race était occupée à s’éteindre faute de nourriture. Elle se nourrissait uniquement de sécrétion sexuelle, masculine, féminine, animale, toutes les secrétions sexuelles… Pour cela, elle possède un nectar hautement aphrodisiaque pour attirer des créatures et se nourrir de leurs sécrétions sexuelles. Etant hermaphrodite, la créature a besoin de se nourrir, pour avoir la force de se reproduire. La planète regorgeait d’animaux, mais, se reproduisant trop vite, la créature et ses congénères avaient épuisé les êtres vivant de la planète, qui disparurent. La plante vécut alors en léthargie jusqu’à ce que les akraniens arrivent, et lui redonnent vie.
 
Le docteur Zingl leva la tête vers la créature.
 
- J’ai échoué. Je n’ai pas su gagner plus de temps, ce Lieutenant Jones a tout découvert. Ils voudront vous détruire, il faut vous cacher…
 
La créature acquiesça.
« Tu as fait du mieux que tu as pu, Zingl. Nous savons nous défendre. Mais il me manque encore des forces. J’ai besoin de plus de force pour pouvoir réveiller mes petits disséminés sur le vaisseau… »
- Je n’ai pas su faire mieux. Prends ma force ! Prends-moi, fit Zingl !
 
Et le docteur se releva, se déshabilla entièrement et fit face à la créature, nu, ses deux sexes bandés.
« Merci Zingl, merci pour tout… »
 
Deux fleurs s’approchèrent de Zingl. Pour chacune, un des pistils était aussi devenu un pénis jaunes, mais beaucoup plus gros que les autres. Les tiges s’approchèrent des deux pénis de Zingl, et comme pour l’akranien dans la chambre du capitaine Douglas, les glands jaunes des deux fleurs s’ouvrirent et gobèrent chacun un des sexes de l’akranien. Ils le gobèrent jusqu’à la garde. Puis Zingl sentit un phénomène de succion, plus fort, plus serré, plus doux, qu’une fellation. Ses sexes étaient comme massé et sucé en même temps, et l’intérieur des pénis jaunes étaient plus tiède et doux qu’un sexe féminin. Sa bouche s’entre-ouvrit dans un râle de plaisir. Bien vite, chacun de ses deux sexes éjaculèrent, et tout son sperme fut avalé par la créature. Mais la succion s’accéléra. Les sexes ne débandèrent pas, le plaisir de l’akranien augmenta, et il éjacula une seconde fois. Son plaisir augmenta encore, jusqu’à ce qu’il tomba dans ce coma euphorique. La plante suça encore et encore, vidant les testicules de l’akraniens. Mais elle continuait à sucer, prenant toute les forces de Zingl, qui maigrissait à vue d’œil. Elle suça toute les forces et les nutriments de l’akranien, et lorsqu’elle s’arrêta, il était sans vie, le corps aussi sec qu’une momie.
 
En général la créature ne tuait pas quand elle se nourrissait, sauf lorsqu’elle se défendait, ou qu’elle avait absolument besoin de retrouver sa meilleure forme. Et ici elle en avait besoin… pour terminer la colonisation de ce vaisseau. C’était ça, ou l’extinction de l’espèce…
 
Revigorée, la créature retransforma ses pénis jaunes en pistils. Puis, une de ces tiges, sans fleur, monta le long de la paroi, tira et fit tomber une grille d’aération, et entra dans un des conduits identique à ceux que Jones avait visité. Puis, la créature mit toute ses forces dans la télépathie, se servant de sa tige comme d’une antenne, et des conduits d’aération pour porter ses ondes dans tous le vaisseau, afin que tous ses congénères éparpillés dans le vaisseau l’entendent. Ainsi, elle éveilla ses petits, disséminés dans tous le vaisseau, et elle partagea la mémoire de sa race avec eux, ainsi que la mission qu’il leur restait à accomplir pour se disséminer sur d’autres planètes. Puis, toutes ses fleures se tournèrent vers le plafond, et ses pistils libérèrent un nuage de spore orangée, qui se propagèrent dans le vaisseau par les conduits. Tous ses petits éparpillés dans le vaisseau firent de même.
 
Puis, toutes ses tiges retombèrent, et ses fleurs donnèrent l’impression d’être fanées. Elle retomba en léthargie, car elle avait donné toutes ses dernières forces pour sauver sa race de l’extinction…
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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 10:41

Les Plantes d'Akrana
Episode 6

Le Lieutenant Jones avait tout suivi sur l’écran de contrôle. Elle avait vu la mort de Zingl, et le manège finale de la plante. Elle vit par l’écran le nuage orange se disperser, puis se dissiper. Un peu affolée, elle se tourna vers le Zourk Menesis. Elle comprit qu’il était mourant. L’akranien qui essayait de le soigner se releva, dépité. Trop d’organes précieux avaient été touché par le rayon, le Zourk allait mourir. De plus en plus pâle, il appela le lieutenant Jones.
 
- Désolé… désolé de vous avoir mêlé à tout ça. Je vous jure… je… aaaahh… je voulais une arme pacifique… je voulais… la paix… partout… et… pour tous… aaah…
 
Le Zourk Menesis ne parlait plus que dans un souffle.
 
- Lieutenant Jones, quittez le vaisseau. Vite. Mes hommes vont devenir incontrôlables. Quittez le vaisseau et détruisez-le ! Il le faut ! Sinon cela va se répandre partout. Nos boucliers sont baissés, le vaisseau d’escorte est parti. Détruisez cette chose. Et surtout ne respirez pas… sinon vous aussi… céderez à vos pulsions uniquement sexuelles… ne… respirez… pas…
 
La tête du Zourk Menesis retomba mollement sur le côté. Lui ne respirerait plus jamais.
 
L’instinct de Jones la poussait à l’action. Elle se retourna vers le scientifique qui avait essayé de sauver le Zourk Menesis.
 
- Vite, il nous faut des combinaisons-scaphandre, celles qui ne laisse passer ni l’oxygène, ni les radiations, vous en avez ?
- Bien sûr, répondit l’akranien avec dédain, les meilleurs de la galaxie. Nos scaphandre ont une autonomie de plus de 48h terrestre… ce sont les meilleurs de…
- ça va, ça va, où sont-il ? Vite, ça urge ! Ben suit-moi !
 
L’akranien les mena dans une pièce contigüe à la salle de réunion. C’était le bureau du Zourk Menesis, là où il avait reçu le Capitaine Douglas et le professeur Neil pour la première fois. L’armurerie était contigüe au bureau du Zourk. Alors qu’ils y entrèrent, du bruit vint des couloirs.
- Restez ici, fit l’akranien, je vais voir ce que c’est. Et ne touchez à rien !
 
A peine fut-il sortit, Jones se retourna vers Ben.
- Vite Ben, enfile ce scaphandre, moi je prends celui-là. Il n’y a pas une minute à perdre.
 
Ils enfilèrent vite les combinaisons, vérifièrent les joints pour être entièrement isolé du milieu extérieur, vérifièrent qu’il y avait le plein d’oxygène, et réglèrent les fréquences des scaphandres pour pouvoir communiquer. Ils allèrent sortir lorsque Jones vit des armes akraniennes, les fameux rayons paralysateurs utilisés dans les conduits pour capturer le rat. Jones en prit un, et en confia un autre à Ben.
 
- Allons-y. Ben, tu es venu par leur téléporteur. Saurais-tu nous guider pour retrouver cette salle ?
- Sans problème ! J’ai un excellent sens de l’observation et de l’orientation. Suis-moi.
 
Ils prirent le couloir devant eux et foncèrent. A un moment, Ben se retourna vers Jones.
- Mais au fait, pourquoi les combinaisons ?
- Pour ça ! fit Jones en désignant une grande salle sur leur gauche
 
Une vingtaine d’akraniens, nus, se branlaient les uns les autres, s’enculaient, jouaient avec les gros pénis jaune d’une des plantes.
- Tous ceux qui respirent l’air de ce vaisseau vont devenir comme fou. Esclave de leurs pulsions, de ces plantes… Vite continuons, s’ils nous aperçoivent, ils risquent de vouloir nous violer !
 
Et ils continuèrent. Ils croisèrent Mike, qui les cherchait. Il s’était fabriqué un masque de fortune en tissu. Ils lui racontèrent leurs dernières aventures tout en marchant, lorsque Jones reconnut un des couloirs qui partait sur sa droite. C’était le couloir qui menait à la chambre du Capitaine Douglas. Elle fit signe à Ben et Mike, qui la suivirent. Ils trouvèrent à la chambre et y entrèrent. Le Capitaine Douglas n’avait pas bougé, l’akranien non plus. Le professeur Neil était toujours par terre, une grosse queue jaune faisant de rapides vas et vient dans la chatte, une autre lui ramonant l’anus, et le corps couvert d’un épais sirop orangé. Ben approcha, mais la plante les aperçut, et la tige feuillie essaya de frapper Ben. Celui-ci évita le coup, et tira avec le rayon paralysateur sur la plante. Elle fut instantanément paralysée.
 
- Bien joué Ben !
 
Jones courut vers le capitaine Douglas pour le sortir de là, mais elle comprit vite que ce serait peine perdue. Sans force, trop faible, il serait mort avant d’avoir atteint la salle de télétransportation. Une larme roula sur la joue de Jones. Il fallait continuer. Elle se retourna et vit que Ben voulait aider l’akranien, mais celui-ci le repoussait violemment. Il n’y avait rien à faire pour lui non plus. Mike sortait les pénis paralysé des orifices de Neil.
 
- Vite Mike, la plante se réveille, elle bouge. Tirons Neil de là et foutons le camp d’ici !
 
En passant, ils tirèrent le professeur Neil, chacun prenant un de ses bras, et Mike ses jambes, jusqu’à la sortie de la chambre, juste au moment où la plante se réveillait.
 
- Ouf, juste à temps ! fit Ben
 
Mais profitant de leurs inattention, le professeur Neil se dégagea, et courut dans la pièce, sauta sur un des énormes pénis jaune, et le mit tout en entier dans sa bouche.
- Mmmmhmm tu es trop bon, trop bon,… j’en veux encore… encore…
 
Neil essaye de mettre un deuxième pénis dans sa bouche, mais ils étaient trop gros pour y entrer tous les deux. La tige avec le deuxième pénis s’enroula autour de son cou. Ben réagit immédiatement et tira sur la plante avec son rayon paralysateur. Jones fit de même. Mais rien n’y fit, la plante continuait comme si de rien n’était.
 
- Elle s’est adaptée, fit Mike avec admiration, les rayons ne lui feront plus rien. Ce n’est pas une plante, mais une créature vraiment exceptionnelle ! Quelle faculté d’adaptation !
 
Après s’être enroulée autour du cou de Neil, la tige descendit et vint se glisser entre les seins de la belle rousse, puis s’y frotter de plus en plus vite. Deux autres pénis jaunes arrivèrent, et s’enfoncèrent sans difficultés dans son vagin et son anus, tous deux dilatés par les précédentes pénétrations. Mike ne pouvait détacher son regard de Neil pénétrée par tous ses orifices par ces grosses queues jaune. Et puis il y avait celui entre ses seins, ses seins qui bougent au rythme effréné de ce sexe, de plus en plus vite, et puis le sexe qui éjacule un liquide orangé sur le visage de Neil, éclaboussant la queue qu’elle suce avec tant de délectation, éclaboussant ses seins… Et Neil qui râle de plaisir, qui jouit, qui lèche ce liquide orangé, qui le boit à même ces sexes jaunes, gonflés… Mike n’en pouvait plus. Il arracha son masque et courut dans la pièce. Il arriva près de Neil au moment où un des sexes éjaculait dans le cul de la rousse. Mike vit ce sexe tressauter, et le liquide orangé couler de l’anus de Neil. Il s’approcha et le lécha. La queue se retira, et Mike lécha l’anus de Neil, la pénétra de sa langue. Puis Il se redresse, mit son sexe contre l’anus de Neil. L’anus était tellement dilaté qu’il le pénétra sans forcer. Il la sodomisa avec plaisir, tandis que la queue qui avait éjaculé dans le cul de Neil s’approchait de sa bouche. Il l’attrapa, la lécha, la goba, la suça, tandis qu’un autre sexe jaune arriva près de son cul, lui distendit l’anus et le pénétra avec force. Il hurla de plaisir.
 
Ben voulut aller le tirer de là, mais Jones le retint par le bras.
- Désolé Ben, on peut plus rien pour lui. Il faut y aller.
 
Ils continuèrent leur chemin dans le vaisseau akranien, évitant les akraniens en pleine orgie, évitant aussi les créatures. Ils débouchèrent dans le vestibule, rond, avec les sept fameuses portes, le dôme et la terrasse en mezzanine au second niveau.
 
- On y est presque, fit Ben.
- Oh, regarde !
 
Ben vit ce qui lui montrait Jones. Lhatta, Belinda et Jenny était aux prises avec une de ses créatures. Comme le professeur Neil, elles avaient un gros sexe jaune dans la bouche, un autre dans le vagin et un troisième dans le cul. Et d’autres qui les caressaient un peu partout.
 
- Cette fois on va s’y prendre autrement, fit Jones. Tu paralyse la plante et Lhatta, et moi Jenny et Belinda. Puis on les enlève et on court dans la salle de téléportation. OK ?
- Oui, en espérant que personne n’a déjà essayé de paralyser cette créature là !
 
Ben s’approcha doucement par la gauche, Jones cers le centre. Ils levèrent en même temps leurs rayons pour paralyser la créature. Mais celle-ci fut plus rapide. Une tige frappa le bras de Jones qui lâcha son paralyseur. Une autre essaya de la frapper au visage. Jones vit un gros sexe jaune s’écraser sur le hublot de son scaphandre, tout dégoulinant de semence orangée… Et elle vit surtout une étoile se former sur le hublot. Encore un coup et il volerait en éclat. Mais Ben fut plus prompt. Il tira et paralyse la plante, puis il paralysa Lhatta. Il voulut faire de même avec Belinda et Jenny, mais hélas le rayon ne fonctionna plus.
 
- Merde ! Il doit être déchargé. Vous retrouvez le vôtre lieutenant Jones ?
- Oh non, il est en morceaux !
 
Mais pendant ce temps, Belinda et Jenny, n’ayant plus les sensations de plaisirs données par la plante, elles marchèrent à quatre patte sensuellement vers Ben, se caressant, étant grivoise, et chacune vint se frotter le sexe à une de ses jambes.
 
- Bon, pas le choix. Occupez vous de Lhatta lieutenant, et suivez moi.
 
Ben mis sa main gauche sur les fesses de Belinda, sa droite sur celles de Jenny, et il les souleva en même temps. Puis il marcha vers la salle de télétransportation, suivi par Jones qui portait Lhatta. Ce ne fut pas facile pour lui. Belinda et Jenny n’arrêtaient pas de bouger, frottant leurs sexes contre la combinaison de Ben, frottant leurs seins sur son hublot, essayant de s’embrasser l’une l’autre, de se lécher le visage. Au bout d’un effort presque surhumain, tous ses muscles tendus (vraiment tous !), Ben arriva dans la salle de téléportation, suivi de Jones. Elle déposa Lhatta sur le portail de téléportation.
 
- Allez Ben, vas-y, monte sur le portail avec tes deux « colis ».
 
Jones alla au panneau de commande. Il ressemblait assez au système de la Fédération (en fait les systèmes de téléportation se ressemblent tous). Elle entra les codes du FPU-Atlas, se laissa quelque minutes, et courut rejoindre Ben sur le portail. Elle y arrivait juste lorsqu’une lumière blanche les enveloppa tous.
 
*          *
*
 
 
Sur le FPU-Atlas, tout le monde était en alerte depuis que le lieutenant Jones était partie. Cela faisait plus de 24h maintenant. Tout le monde avait les nerfs à vif et ne savait que faire. Et pas moyen d’entrer en communication avec le vaisseau akranien.
 
Le deuxième classe Bright, en faction dans la salle de téléportation, sursauta lorsqu’une sirène strident se fit entendre. Il se rua sur le panneau de commande et constata qu’un code de téléportation vers le FPU-Atlas venait d’être fait du vaisseau akranien… et sans autorisation ! Il se tourna vers son officier qui venait d’entrer. « Je pense qu’il faut appeler la brigade de sécurité » fit ce dernier avec un flegme étonnant au vu de la situation…
 
*          *
*
 
Le nuage blanc cessa d’envelopper le Lieutenant Jones, Ben et les autres. Ils clignèrent des yeux… et se retrouvèrent face à une vingtaine de désintégrator ‘longue portée’ braqués sur eux par les brigadiers de sécurité du FPU-Atlas. Bright était pâle derrière sa console, et les hommes nerveux. Plus d’un transpirait abondamment. Ils mirent un instant avant de reconnaître le lieutenant Jones et le reste de la brigade d’intervention. Tous baissèrent leurs armes avec un « ouf » de soulagement très perceptible…
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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 10:50

Les Plantes d'Akrana 
Episode 7

Depuis son retour sur le FPU-Atlas, le lieutenant Jones n’avait pas eu le temps de souffler. Lhatta, Belinda et Jenny furent amenées à l’infirmerie, où elles étaient soignées et surveillées par l’équipe médicale du vaisseau, et Jones, après avoir constaté que le deuxième vaisseau akranien était effectivement parti, s’était directement mis en contact avec l’amirauté de la Fédération.
 
Elle fit un rapport sur la rencontre avec le vaisseau akranien, l’invitation de certains membres de bord sur ledit vaisseau, puis sa colonisation ‘agressive’ par une entitée alien (sans entrer dans des détails que l’amirauté n’aurait certainement pas pu apprécier), la perte du Capitaine Douglas, du Professeur Neil, du soldat Mike, et la demande du Zourk Menesis de détruire son vaisseau pour empêcher l’entitée alien de coloniser d’autres planètes de la galaxie.
 
Jones reçut le commandement du FPU-Atlas, et l’ordre de détruire le vaisseau akranien. Revenue avec Ben, devenu son second, au poste de commande, elle regarda une dernière fois le vaisseau akranien. La tristesse monta en elle. Elle repensait au Capitaine Douglas, au professeur Neil, et même à la science des akraniens. Mais elle devait faire son devoir.
 
Elle fit un signe de tête, Ben donna un ordre, un homme appuya sur un bouton de la console, et un missile à neutron parti du FPU-Atlas, pour atteindre le vaisseau akranien. Il fut suivi par un deuxième, puis un troisième, et le FPU-Atlas alluma ses réacteurs pour se mettre hors de danger. Si le vaisseau akranien avait eu ses boucliers levés, ces tirs ne lui auraient occasionné aucun dommage. Mais ce n’était plus le cas. Sans bouclier, le gros vaisseau akranien était une cible facile. Les trois explosions furent suivies par une plus grosse, et le vaisseau akranien fut pulvérisé en petits débris, éparpillés autours et puis flottant au grès du hasard dans l’univers.
 
Jones eut un petit mouvement de dépit, puis se tourna vers Ben.
- Cap sur Orbital1. Je vous laisse la passerelle, je vais me reposer un peu. Nous changerons dans deux heures.
- Bien mon Lieutenant !
 
Elle quitta le poste de commande, et après quelques minutes arriva dans sa chambre. Elle se sentait épuisée par les derniers événements. Jones défit sa combinaison, et s’allongea nue sur sa couche. Elle pensait au Capitaine Douglas, aux akraniens, puis lentement, sombra dans le sommeil…
 
Un bruit furtif la tira de son sommeil. Elle s’éveilla, mais ne vit rien, il faisait sombre. Elle voulut se rendormir, mais elle sentit qu’il y avait quelqu’un, son instinct l’avertissait d’une présence. Elle se mit sur son dos, tous les sens en éveil. Son instinct la prévenait d’un danger, elle en était sûre maintenant. Doucement, sa main alla vers sa table de chevet, où devait se trouver son désintégrator. Mais au lieu de rencontrer le manche rassurant de son arme, sa main toucha une matière inconnue, comme végétale. Jones, toujours sur sa couche, sur le dos, leva sa tête vers l’arrière, pour voir ce qui se trouvait derrière sa couche. Mais au fond d’elle-même, elle le savait déjà. Elle vit une longue tige vert foncé, qui d’un côté descendait vers un bulbe fendu, et de l’autre montait vers trois fleures en trompette, de couleur pourpre et d’où sortait trois gros pénis jaunes, une des plantes des akraniens. Mais que faisait-elle là ? Jones n’eut pas le temps de se le demander. Une des tiges s’allongea petit à petit, et un des gros pénis jaune descendait vers elle. La tête toujours en arrière, elle le vit passer devant ses yeux, tout jaune, granuleux, gros, son gland décalotté, suintant d’un liquide clair, orangé. Il passa le long de son nez. Elle le sentit tiède et à la fois dur et doux. Puis il descendit lentement vers sa bouche, et s’arrêta contre ses lèvres. Jones ne comprenait plus rien. Elle était perdue, se sentait si abandonnée, si seule. Que pouvait-elle faire ?
 
Elle ferma les yeux, et doucement, entrouvrit ses lèvres. Le gland jaune vint se frotter contre ses lèvres, doucement. Puis il pénétra lentement dans sa bouche. Elle sentit le gland tiède passer entre ses lèvres, puis entre ses dents, qu’elle écarta doucement, puis ce fut la hampe, longue, grosse et granuleuse qui passa ses lèvres. Comme elle avait la tête en arrière, le sexe jaune pouvait aller profondément dans sa gorge, presqu’à l’étouffer. Mais il ne le fit pas. Il racla son palais, en lent vas-et vient, Instinctivement, les lèvres de Jones enserrèrent se sexe qui était au trois-quarts dans sa bouche, sa langue cherchant sensuellement à enserrer le gland. Sa main vint caresser la partie en dehors de sa bouche, l’encourageant à accélérer ses mouvements. Ce que fit le pénis jaune, accélérant ses mouvements, tandis que Jones accompagnait ce vas et vient de bruit de succion excitant. Elle sentit alors quelque chose remontant le long de ses jambes. Se souvenant de ce qui s’était passé sur le vaisseau akranien, elle comprit qu’elle était entourée de plantes, et donc de gros pénis jaunes. A ce moment, elle sentit le sexe battre dans sa bouche, taper contre son palais, puis reculer légèrement et éjaculer un sirop tiède, sucré dans sa gorge. Elle avala tout, sentant ce sirop couler dans sa gorge. C’était si bon qu’elle lécha le gland et le suça de façon vulgaire, pour tout avaler jusqu’à la dernière goutte. Elle se sentait devenir folle, affamée de sexe. La tête lui tournait, elle ne voulait plus qu’une chose : du plaisir, être remplie, bourrée, devenir un vrai garage à bitte. Sentant un ou plusieurs pénis jaune arriver à hauteur de sa cuisse, elle écarta les jambes et suréleva son bassin de façon vulgaire, s’offrant totalement à cette créature. Le premier pénis jaune glissa le long de sa cuisse, et longeant une fesse rebondie vint se mettre entre les fesses de la femme abandonnée. Le gland jaune se pressa contre la petite rondelle de Jones, qui s’élargit doucement, jusqu’à avaler ce gland de belle dimension. Puis Jones sentit tout le sexe gros et granuleux passer lentement la frontière de son anus. Elle cria, mais son cri fut étouffé par le pénis jaune qui recommençait son vas et vient dans sa bouche. Et puis un autre pénis arriva à la hauteur de son sexe et la pénétra sans ménagement. Mais elle était tellement mouillée que le sexe entra sans mal en elle, tout entier. Elle jouit juste de se sentir pénétrée par ses deux gros sexes, qui commencèrent à la bourrer sans ménagement. Elle jouit après qu’ils eurent déversé leurs semence orangée et sirupeuse en elle. Elle sentit ce liquide tiède couler de son anus, le long de ses fesses, tandis que son vagin gardait tout ! Mais sans lui laisser le temps de souffler, deux autres arrivèrent, encore plus gros que les premiers, et recommencèrent leurs vas et vient en elle. C’était trop bon. Mais un autre sexe jaune vint remplacer le premier dans sa bouche. Il était aussi plus gros que le premier. Trop gros. Sa bouche pouvait à peine le prendre, et son vas et vient allait trop loin… elle étouffait… la plante allait la tuer, l’étouffer… elle avait de moins en moins d’oxygène, et c’est dans un orgasme qu’elle se sentit partir vers la mort…
 
C’est à ce moment qu’elle se réveilla, le front en sueur. C’était un cauchemar !
Jones s’empara de son désintégrator et mit plus de lumière dans la pièce. Elle fouilla fébrilement sa chambre, sans rien trouver. C’était un mauvais rêve, rien qu’un mauvais rêve ! Elle s’assit sur sa couche. « Décidemment, j’ai vraiment besoin de repos moi ! Sitôt arrivé sur Orbital1, je demanderai un congé à l’amirauté ». Pourtant, Jones ne pouvait s’empêcher de ressentir un danger. Un mauvais pressentiment ne la quittait plus. Pour se détendre les nerfs, et plutôt que de tourner en rond dans la cabine, elle décida d’aller à l’infirmerie prendre des nouvelles de Lhatta, Belinda et Jenny. « En même temps, pensa-t-elle, je pourrai demander quelques sédatifs, je pense que j’en aurai besoin si je veux dormir avant qu’on arrive à Orbital1 ».
 
*          *
*
 
Lorsque Jones arriva à l’infirmerie, Lhatta, Belinda et Jenny dormait. Jones demanda à voir le docteur Wenz, médecin de bord, et chef du département scientifique depuis la tragique disparition du Professeur Neil. Wenz était un très bon médecin, et un assez bon scientifique, quoiqu’il fût un peu imbu de sa personne.
- Auriez-vous besoin de mes services, mon Lieutenant ?
- Comment vont vos trois patientes, docteur ?
- Bien, bien. Je les laisse encore sous sédatif, car nous faisons pas mal d’analyse, et elles étaient déjà fort fatiguées en arrivant. Ainsi elles se reposent. Pour moi, d’ici quelques jours elles pourront reprendre leur service.
- Déjà ? Pas besoin de quarantaine ? Qu’ont donné ces analyses ?
- Une quarantaine ? Grand Dieu non, pourquoi ?
- Et bien… elles ont tout de même été en ‘contact’ avec une créature alien inconnue…
- Peut être, mais nous n’avons rien relevé de dangereux. Pas de blessure interne ou externe, pas de parasite, vers ou œufs, comme cela pourrait arriver après certains ‘contacts’ avec des aliens. Rien de spécial dans le sang, rien. La seule chose perceptible nous a été donnée par le neuro-scanner, qui a décelé une forte activité nerveuse dans la dilatation des vaisseaux sanguins, comme…
- Comme ?
- Et bien comme lorsqu’on prend des produits aphrodisiaque. Vous savez, ces drogues qui jouent sur la libido ? Ces substances agissent sur les cellules nerveuses, en particulier sur les nerfs qui commandent la dilatation des vaisseaux sanguins. Le sang circule donc mieux ce qui se traduit par une érection facilitée chez l'homme et une sensation de légèreté, d’envie chez la femme. Et bien, en fait, le scanner nous a montré des systèmes nerveux dans un état laissant penser à une forte prise de drogues aphrodisiaques. Comme elles sont illicites, je n’ai évidemment pas mis cela dans le rapport.
- Et vous n’avez rien trouvé d’autre ?
- Non ! Mon assistant s’occupe encore des analyse d’urine et de selles, mais jusqu’ici rien d’anormal.
- Bien, merci docteur. Au fait, vous reste-t-il quelques sédatifs pour moi ? J’ai le sommeil un peu difficile pour le moment…
- Oui bien sûr, venez avec moi jusqu’à notre pharmacie, j’aurai certainement quelque chose pour vous aider.
 
 
Pendant ce temps, Kyle, l’assistant du docteur Wenz, maugréait dans le laboratoire. Il était occupé à analyser les urines et les selles des patientes. « Pffff ! Il a facile le docteur. Lui il peut ausculter ces trois bombes, les palper,… et moi, j’analyse le sang, la merde… pfff, quel métier ! J’en ai marre ! Allez hop, tout dans le collecteur à déchet, et je dirai dans mon rapport que tout est normal ! » Et ainsi Kyle jeta au collecteur les échantillons de selles des patientes, sans voir les petits points orangés qu’elles contenaient…
 
*          *
*
 
- Comment ça nous ne pouvons plus avancer ?
- Désolé, Lieutenant Jones, ce sont les ordres de l’amirauté. Votre vaisseau doit rester en orbite autour de la planète XC23 jusqu’à nouvel ordre. Il ne peut entrer dans un système de la Fédération tant qu’une équipe médicale externe à la vôtre n’ai pas fait un rapport positif. C’est la règle en cas de contamination avec des aliens inconnus. De plus certains aspects de la disparition du Capitaine Douglas doivent être éclaircis. Une navette de l’amirauté fait route vers vous, mais vous devez l’attendre. Si vous entrez dans un système de la Fédération, vous serez considéré comme hors-la-loi, et détruit par le premier vaisseau que vous rencontrerez. Ce sont les ordres. Terminé.
 
Et l’image de l’officier disparut de l’écran. Le Lieutenant Jones se tourna vers les autres membres présents sur la passerelle.
- Vous avez entendu les ordres ? Mettons-nous en orbite autour de XC23, et attendons l’équipe d’inspection de l’amirauté. Je suis dans mon bureau.
 
Et, fâchée du manque de confiance de la Fédération, Jones sortit de la pièce les lèvres pincées. En faisant route vers le bureau du Capitaine Douglas, qu’elle occupait comme membre le plus gradée et commandant du vaisseau, elle réfléchit et constata que sa colère était surtout due au fait que cela confirmait le mauvais pressentiment qui ne la quittait plus. Cela avait commencé avec son cauchemar, il y avait trois jours maintenant, et ça ne la quittait plus. Quelque chose menaçait le vaisseau.
 
*          *
*
 
- Bon, ouvrez le sas maintenant, et sans discuter !
 
Kyle n’était vraiment pas de bonne humeur. Le Docteur Wenz s’était vite rendu compte que le rapport des analyses de Kyle ne correspondait pas aux précédentes. Furieux, il avait envoyé Kyle dans la soute aux déchets, pour essayer de retrouver la boite avec les selles qu’il avait jeté. Non seulement il s’était fait passer un savon sévère par son patron, mais en plus la perspective de se retrouver dans cette soute puante ne lui plaisait vraiment pas. Et en plus, les deux ouvriers qui devaient se charger de l’entretien de la soute avait tout fait pour qu’il n’aille pas, et le suivait maintenant en maugréant. Kyle avait un peu joué de sa supériorité hiérarchique pour les faire bouger.
 
Sous ses injonctions, ils ouvrirent le sas. Kyle entra, mais la puanteur qu’il redoutait ne l’assaillit pas. Il y a avait une légère odeur d’humus, comme en forêt. C’était étrange, d’habitude l’odeur nauséabonde se faisait sentir dès qu’on approchait la porte du sas… D’ailleurs lui et les ouvriers n’avaient pas mis la combinaison de sécurité. Kyle avait juste emporté une paire de gant en caoutchouc, qu’il n’avait même pas encore enfilé. La soute des déchets avait une forme particulière, en L. Dans la partie où il se trouvait arrivait tous les déchets du vaisseau, par plusieurs canalisations qui constellaient le plafond. Puis, une fois par jour, une large plaque métallique poussait tous ces déchets dans le sens de la largeur, vers le fond de la pièce, où une autre plaque poussait les détritus dans le sens de la longueur, vers l’extrémité de la pièce en L que Kyle ne pouvait voir d’où il se trouvait. Là, une cloison étanche et hermétique se fermait, coupant la pièce en L en deux pièces, et les déchets étaient broyés par procédé chimique (une fois par mois, selon le décret écologique 3684 de la Fédération), puis jeté dans l’espace.
 
En un coup d’œil, Kyle vit que ce qu’il cherchait ne se trouvait pas dans la première partie de la soute à déchet. « Mince ! pensa-t-il. Je vais devoir aller au fonds de la soute ». Une des deux ouvriers l’interpella :
- Alors t’as vus tout ce que tu voulais voir ? On peut fermer la soute ?
- Non pas encore. Vous n’avez pas encore broyé les déchets de ce mois ?
- Heu… non… en fait, on a un petit problème avec le système chimique. Il faudra attendre avant de procéder au broyage des déchets.
- Ouf ! Bon, il faut que je trouve mes déchets, sinon le docteur risque de nous virer, tous les trois !
 
Et Kyle s’avança dans la soute, marcha le long de sa largeur, indifférent aux cris des ouvriers qui voulaient que Kyle les attendent, puis tourna à droite pour aller vers le fonds de la soute. Mais il s’arrêta net, lâchant de surprise les gants en caoutchouc qu’il tenait toujours en main. Au lieu du tas d’immondices puants, il y avait une sorte de couche d’humus sur le sol, et au milieu, une plante, avec des fleurs pourpres en forme de trompette. De stupeur, Kyle recula de quelque pas, trébucha sur quelque chose, et se retrouva par terre. Il avait trébuché sur une plante plus petite, qu’il n’avait pas vu au premier abord. Une bouture de la grande plante sans doute. Et en trébuchant il l’avait cogné, répandant des spores orangées dans l’atmosphère.
 
Se mettant sur ses genoux, il se retourna vers les deux ouvriers.
- Mais qu’est ce que c’est que ça ?
- On sait pas. Elle a apparu hier, et la petite ce matin. Mais on veut pas qu’on la touche. Cette plante recycle les déchets en les transformant en humus. Pour nous fini le travail dégelasse, la puanteur et tout ça. Y faut rien dire à personne.
 
Kyle perçut de l’agressivité chez les deux ouvriers. Il vit dans leurs yeux, qu’ils étaient même prêts à lui faire du mal pour garder leur secret. Mais Kyle n’avait pas envie d’ébruiter le secret. Il se sentait bien, tout d’un coup, comme euphorique. Les deux ouvriers s’approchèrent de lui. Toujours sur ses genoux, il agrippa les jambes d’un des ouvriers, les entourant de ces deux bras.
- Mais je ne veux rien dire à personne, je veux être votre amis… on se sent si bien ici. Ce sera notre secret, à nous trois.
 
Et Kyle releva la tête, pour saisir le regard de l’ouvrier dont il enlaçait les jambes. Mais ce qu’il vit, très près de son visage, ce fut la bosse dans la combinaison de l’homme. A son entre-jambe s’était formée une bosse, longue, dure… Kyle ne savait plus très bien où il en était. Il se sentait si euphorique, si léger. Il ne pouvait quitter cette bosse de son regard, elle excitait sa curiosité, l’excitait lui… Timidement, il avança sa main, toucha la bosse. Sa main en dessina le contour, puis caressa doucement la bosse sur toute sa longueur. C’était agréable. Kyle sentit la présence de l’autre ouvrier près de lui. Il se retourna et vit que lui aussi avait une bosse à l’entrejambe. Sa main continuait à caresser l’homme devant lui. Il sentait le sexe de l’homme dessous la combinaison, il sentait la hampe, le gland… Puis sa main passa sous la bosse, sentant les testicules de l’homme, puis la naissance des fesses. La main caressa les fesses, puis revint lentement, caressant les testicules, puis le sexe, et remonta vers le bas-ventre de l’ouvrier. Et là, il sentit deux pressions. Les combinaisons des employés du vaisseau qui n’étaient pas des militaires avaient ces deux pressions, pour les ouvrir facilement, rabattre l’entrejambe du pantalon pour pouvoir aller à la toilette facilement. Inconsciemment, ses mains avaient cherché ces pressions, et maintenant, il les défit… le pan de la combinaison cachant l’entrejambe de l’ouvrier s’abattit lâchement, dévoilant son sexe, tout bandé. C’est la première fois que Kyle voyait une bite d’aussi près. Elle était si belle, elle l’hypnotisait. Sa main redescendit lentement le long du bas-ventre, passa dans les poils pubiens, puis attrapa la hampe du pénis tendu. Elle remonta, glissant sur cette hampe si chaude, si raide, jusqu’au gland, rouge et gonflé, suintant, puis redescendit lentement, puis remonte, redescend,… Kyle sent qu’il bande raide dans sa combinaison ! Puis il sent la main de l’ouvrier qui lui caresse la tête, puis, doucement et fermement, entraine sa tête vers ce sexe tendu. Kyle voit ce gland mouillé de désir s’approcher de son visage. Il sent son odeur mâle, si entêtante. Le gland vient doucement buter sur ses lèvres. Il ouvre la bouche, lèche le désir suintant du gland, lèche le petit trou au sommet du gland, puis lèche ce gland, entièrement, et l’avale. Kyle sent ce sexe raide entrer dans la bouche de Kyle. Il sent le gland racler le long de son palais, sa langue lèche le sexe. Puis il commence à sucer cette bite. C’était une première pour lui, et qu’est-ce qu’il trouvait ça bon ! Il sentait ce sexe dur et chaud aller et venir dans sa bouche.
 
Tout en suçant l’ouvrier, il sentit quelque chose de chaud contre sa joue. L’autre ouvrier avait sortit son sexe et le caressait contre la joue de Kyle. Celui-ci se tourna pour faire face aux deux ouvriers, et suça les deux bites, l’une après l’autre. Il était tellement excité, qu’il défit les pressions de sa combinaison, pour pouvoir sortir son sexe et se branler tout en suçant ces deux sexes raides. Voyant cela, un des deux ouvriers se décala et passa derrière lui. Kyle s’attaqua alors de plus belle à la pine qui restait devant lui, suçant le gland, puis sa langue descendant le long de la hampe, jusqu’au scrotum, léchant les couilles velues, le début des fesses, puis remontant le long de la hampe, puis enfournant le sexe, sentant ce sexe aller et venir dans sa bouche. A ce moment quelque chose de tiède et de mouillé lui donna une décharge de plaisir : l’autre ouvrier, par derrière, lui léchait le scrotum et les couilles, puis remonta vers ses fesses. La grosse langue mouillée remonta le long de son sillon, jusqu’à son anus. Kyle gémit de plaisir lorsque cette langue lui titilla l’anus, y entrant de plus en plus profondément, lui mouillant abondamment la rondelle. Puis il sentit un doigt lui titiller l’anus. Il n’avait jamais connus cela avant, mais il soupirait de plaisir en songeant ce que cela préludait. En effet, un deuxième doigt vint rapidement rejoindre le premier dans son anus… l’ouvrier lui doigtait l’anus, et rudement bien ! Sa langue redescendit le long du sexe de l’ouvrier qu’il suçait, redescendit jusqu’aux testicules. Kyle trouvait enivrant de lécher le cul de ce type, pendant que sa bite mouillée de salive cognait contre son nez et sa joue, qui se mouillait de salive et de mouille. Puis il remonta, et enfourna à nouveau cette bite dans sa bouche, lâchant un soupir de plaisir. A ce moment, il sentit quelque chose de doux et de chaud contre son anus : le gland de l’ouvrier derrière lui vint buter contre sa rondelle. L’ouvrier poussa son bassin en avant, et son gland força l’anus de Kyle. Ce dernier sentit l’intrusion dans son rectum. Mais il avait été si bien doigté que le gland passa sans problème, lui arrachant un gémissement de plaisir. Puis il sentit le sexe de l’homme entrer profondément en lui. Quelle sensation ! L’homme enfonça son sexe totalement dans son cul, et lorsque son gland vint caresser la prostate de Kyle, il ne put s’empêcher de s’éjaculer sur le ventre. Et l’homme commença son va-et-vient dans son cul, de plus en plus vite. Kyle suçait l’autre homme au même rythme, de plus en plus vite… Puis il sentit le sexe se cabrer entièrement, le gland taper de plus en plus fort contre son palais, se rétracter, et éjaculer un liquide épais et tiède dans sa bouche. Le sperme remplit la bouche de Kyle, coula dans sa gorge. Il branla le sexe plus vite, et malaxa doucement les couilles, pour avoir tous le jus de l’homme, pour ne pas en perdre une goutte, avalant le sperme abondant de l’ouvrier. Il sentit son propre sperme, qui coulait le long de son ventre, vers son pubis. Alors qu’il léchait encore le gland du premier ouvrier, il sentit le sexe de l’autre homme accélérer sa cadence, de plus en plus profond en lui, puis battre dans son cul, et un liquide chaud lui remplir le rectum, lui arrachant un cri de plaisir. L’ouvrier sortit son sexe du cul de Kyle, puis vint le lui présenter devant sa bouche. Sans hésita Kyle lécha ce sexe, qui était mouillé et gluant de salive, de sperme et de mouille anale, qui sentait le musc et goûtait le sperme… L’autre ouvrier lui mis encore un doigt dans son cul, le ressorti, plein de sperme et le présenta à Kyle, qui le lécha avec délectation.
 
Kyle sentait son anus dilaté, le sperme qui coulait de l’anus, dans le sillon de ses fesses. Il se sentait si bien, et encore tellement excité ! Il se laissa donc faire lorsque les deux ouvriers le portèrent vers le fond de la soute. Ils le déposèrent à terre, au pied de la plante. Puis ils se reculèrent, et saluèrent la plante, comme on salue une idole, et partirent à reculons. Kyle, encore dans les vaps du plaisir, vit les ouvriers partir. Puis il sentit quelque chose bouger derrière lui. Quelque chose de doux et de chaud. Il tourna la tête, et vit avec étonnement que les pistils de la fleur étaient devenus aussi gros que des pénis, et tout jaune ! En fait, ils étaient même de belle taille, de beaux gros pénis… Kyle était encore tellement excité… Il s’approcha docilement d’un pénis, l’attrapa, le caressa, et le mit en bouche, recommençant une fellation. Il venait de découvrir qu’il adorait faire ça ! Lorsqu’il sentit un autre pistil-pénis remonter le long de ses fesses, il présenta automatiquement son cul pour pouvoir être bien pris… il était devenu une vraie petite salope ! Il sentit le gros gland, qu’il devinait jaune, faire pression sur son anus, et grâce au sperme de l’ouvrier, il pénétra l’anus dans un petit bruit de succion humide, qui excita Kyle, lui faisant oublier la petite douleur de la pénétration, car ce sexe était plus gros que celui de l’ouvrier. Il suça de plus belle ce sexe jaune, qui devenait de plus en plus poisseux, et sentit un troisième pistil-pénis venir contre son sexe, puis l’enrober, petit à petit… comme pour le docteur Zingl, le gland jaune s’ouvrit et goba le sexe humain, jusqu’à la garde. Puis Kyle sentit un phénomène de succion, plus fort, plus serré, plus doux, qu’une fellation. Son sexe était comme massé et sucé en même temps, et l’intérieur des pénis jaunes étaient plus tiède et doux qu’un sexe féminin. Il lâche le pénis jaune qu’il suçait et sa bouche s’entre-ouvrit dans un râle de plaisir. Bien vite, il éjacula, et tout son sperme fut avalé par la créature. Mais la succion de la plante s’accéléra. Le plaisir de Kyle augmenta, et il éjacula une seconde fois. Son plaisir augmenta encore, jusqu’à ce qu’il tomba dans ce coma euphorique. La plante suça encore et encore, vidant littéralement Kyle, qui maigrissait à vue d’œil. La plante suça toute les forces et les nutriments de l’homme, et lorsqu’elle s’arrêta, il était sans vie, le corps aussi sec qu’une momie.
 
La plante avait repris des forces. Un nouveau cycle pouvait commencer.
 
*          *
*


(à suivre...)
Par Brusselx - Publié dans : Mes Récits...
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Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 10:53

Les Plantes d'Akrana
Episode 8

Jones marchait d’un pas rapide dans le vaisseau, avec un sentiment de malaise grandissant. Non seulement elle n’arrêtait pas de faire des cauchemars érotiques, mais en plus son intuition pessimiste s’aggravait. Et voilà que le Docteur Wenz l’appelait car des choses n’allaient pas : le résultat des analyses ne collaient pas, et son assistant qu’il avait envoyé dans la soute avait disparu depuis presque deux jours. De plus, Lhatta, Belinda et Jenny s’étaient éveillée et avaient un comportement bizarre.
 
Enfin Jones arriva à l’infirmerie. La porte était verrouillée. Elle passa son badge dans une encoche, à gauche de la porte, et celle-ci s’ouvrit. Jones entra dans l’infirmerie, et allait dire quelque chose au Dr Wenz, mais ce qu’elle vit la laissa sur place, bouche ouverte…
 
Devant elle, sur la table d’examen, Lhatta était couchée, nue, et devant elle il y avait le Dr Wenz, le visage pourpre, nu lui aussi. De son sexe raide, de petite taille mais assez gros, il s’enfonçait dans la vulve offerte de Lhatta, qui gémissait de plaisir, se caressant les seins. A ses pieds, Belinda et Jenny, qui tout en se masturbant avec de gros objets médicaux, léchaient l’anus et les couilles du Dr Wenz. Celui-ci accélérait son va et vient, ahanant des « Petites salopes ! Ah mes petites salopes, vous allez voir ce que vous allez voir ! ». Se sentant proche de l’éjaculation, il se retira du sexe trempé de Lhatta, et tout en se masturbant guida son sexe vers le visage de la jeune femme. Il lui éjacula sa semence blanche, par saccade, sur la joue, le menton, la bouche. Lhatta lècha ce sperme qui coulait sur ses lèvres et son menton. Puis le docteur Wenz, le sexe de plus en plus mou, alla vers un petit pot de médicament décapuchonné sur une table, et avala une gélule bleue. Après quelque minute, son sexe redevint raide et bandé ! Il revint près des filles, et vit que Jenny léchait le sperme sur le visage de Lhatta, tout en la branlant avec sa main. Il se dirigea donc vers Belinda, lui prit la bouteille de désinfectant avec laquelle elle se masturbait et la retourna avec rudesse. « A ton tour maintenant ! » Ce à quoi elle répondit « Oh oui, punissez-moi docteur, punissez-moi très très fort » tout en balançant sa croupe humide devant le docteur. Il enfonça la petite bouteille trempée dans l’anus de Belinda. Elle gloussa de plaisir. Puis il la prit en levrette, sans ménagement. Il s’enfonçait de plus en plus vite et de plus en plus fort en elle, donnant des claques retentissantes sur ses fesses arrondies.
 
« Mais enfin, qu’est-ce qui vous arrive ? Arrêtez ! Je vous ordonne d’arrêter ! » Cria le Lieutenant Jones. Mais rien n’y fit. Elle s’approcha pour secouer vigoureusement le Dr. Wenz, mais celui-ci la repoussa fermement, ahanant « Patience ! Ton tour viendra après ! ». Jenny se colla contre le Lieutenant Jones, son sexe humide caressant la tunique de l’officier, au niveau des fesses, sa main la caressant au niveau des seins. « Laissez-vous aller Lieutenant, venez voir et goûtez comme c’est bon… » Dit-elle, lui léchant l’oreille. Mais Jones se dégagea, hurlant « Non ! ». Et elle quitta précipitamment l’infirmerie. « Oh non, ça recommence ! Je suis sûre qu’une de ces saloperies est ici. Le meilleur moyen de savoir comment c’est arrivé, c’est de retrouver l’assistant du Dr. Wenz. Il faut que je descende aux soutes pour essayer de le retrouver ».
 
Jones fouilla méthodiquement tout le niveau inférieur, sans retrouver trace de l’assistant du Dr. Wenz. « Bon, pensa-t-elle, il ne me reste plus que la soute aux déchets, et là si je ne le retrouve pas, j’appelle l’amirauté et je mets le vaisseau en état d’alerte ».
 
Elle pénétra dans le local de maintenance, où se trouvaient deux ouvriers qui discutaient tout en jouant aux cartes. Reconnaissant l’uniforme d’un officier supérieur, ils se mirent tout deux au garde à vous.
 
- Repos, messieurs ! fit Jones d’un ton autoritaire. J’inspecte ce niveau à la recherche d’un membre d’équipage porté disparu… Rien vu d’anormal par ici ?
- Rien Lieutenant. Sauf que le mécanisme de la soute à déchets ne fonctionne plus.
- Quoi ? Depuis quand ?
- Presque deux jours…
- Presque deux jours ! Mais… ça colle avec la disparition de l’assistant du docteur. Et vous n’avez rien fait pour essayer de réparer ?
 
Les deux ouvriers se regardèrent, un peu gênés.
 
- On ne comprend pas Lieutenant. Tous les sas donnant accès à la soute aux déchets sont verrouillés de l’intérieur. Il n’y a qu’une ouverture possible… mais… on est trop gros ! On sait pas passer par là !
 
Tout en parlant, il montra une petite trappe, sur la droite de la porte menant au sas de la soute de déchets. Elle n’était effectivement pas très large. Même Jones aurait du mal à y passer. Pourtant, si elle voulait savoir ce qui se passait, elle devait aller dans cette soute, elle le sentait. Elle s’approcha et examina la trappe. A la hauteur du sol, large d’un demi-mètre, pas beaucoup plus haute, Jones ne savait pas y passer tête la première. La trappe donnait sur un conduit, pas très long. Elle s’assit donc par terre, prit appuis sur ses mains et engagea ses jambes dans le conduit. Elle avança lentement. Alors que ses jambes y étaient totalement engagées, elle entendit un ‘clac’ distinct, et elle ne sut plus bouger ses jambes. D’instinct, paniquée, elle s’arqua et entra ses mains dans le conduit, pour sentir ce qui bloquait ses jambes. Ses mains sentirent une barre métallique. Alors que ses mains palpaient la barre un autre déclic se fit entendre, et quelque chose emprisonna les bras de Jones. Elle ne savait plus bouger ! Elle était assise par terre, le visage contre la paroi en fer du vaisseau, ses pieds et ses mains bloqués…
 
- Au secours, cria-t-elle vers les deux ouvriers, je suis coincée, venez m’aider !
- Mais bien sûr Mamzelle !
 
Était-ce le ton utilisé par l’ouvrier ? Directement, Jones comprit que quelque chose ne tournait pas rond. C’était un piège ! Dans les vaisseaux de la Fédération, aucune salle, aucune pièce, aucun sas ne fermait complètement de l’intérieur, par mesure de sécurité. Les ouvriers lui avaient menti, pour qu’elle fonce dans ce conduit, dans ce piège. Et, sans réfléchir, agissant d’instinct, elle y avait plongé, les deux pieds devants !
 
Elle sentit la présence de l’ouvrier dans son dos. Il agrippa fermement ses épaules. L’autre ouvrier alla ouvrir le sas, entra dans la soute à déchets, et débloqua quelque chose près des pieds de Jones. L’ouvrier qui la tenait par les épaules la tira alors fermement en arrière. Jones se retrouvait assis au milieu de la pièce, les pieds et les mains coincés dans une sorte de pilori métallique. Les ouvriers la regardaient, un sourire mauvais aux lèvres.
 
- Mais vous êtes devenus fous ? C’est de la mutinerie ! Relâchez-moi, ou vous le payerez très cher !
- Pas question Lieutenant. Nous devons le faire, nous devons la protéger. C’est plus important que nos propres existences. Et vous, vous voulez la détruire. Depuis que vous l’avez vue. Vous avez été très vilaine… et vous allez être punie !
 
Et, un sourire méchant aux lèvres, l’ouvrier approcha de Jones, un couteau à cran d’arrêt en main. Jones devint blême. Il passa derrière elle. Sa fin allait-elle venir ? Mais au lieu de sentir le froid de la lame sur sa gorge, Jones sentit que l’homme découpait… ses vêtements ! Rouge de honte, Jones se retrouva entièrement nue, sauf la partie de son uniforme coincé par le pilori et ses bottes d’officier.
 
Puis les hommes la soulevèrent, et la portèrent hors de la soute où ils se trouvaient. Ils marchèrent un bon moment, puis déposèrent Jones. Ils ne la déposèrent pas assise, mais sur le dos. Celle-ci sentit le contact froid d’une table métallique contre son dos. De ce qu’elle voyait, elle devait être près du réfectoire du vaisseau. Nue, posée ainsi sur le dos, arqué, avec ses bras et ses jambes qui arrivaient au niveau de son visage, elle devait offrir sa croupe et son sexe aux regards de tous. Et elle ne voyait rien, si ce n’est le plafond. De plus, c’était un passage obligé dans le vaisseau, et très fréquenté. Etre exposée ainsi, nue, offerte, quelle honte !
 
Soudain Jones se crispa. Elle avait sentit quelque chose de tiède et d’humide contre son sexe. Ce contact l’électrisa. La sensation revint. C’était une langue. Une langue qui lui léchait les lèvres intimes. Qui était-ce ? Un des ouvriers ? Quelqu’un d’autre ? Jones ne le savait pas. Elle ressentait cette langue qui cherchait maintenant son clito, qui fouillait son intimité. Puis qui la pénétra, se délectant de ses sécrétions intimes. Jones rougit du plaisir quelle ressentait. Elle était attachée, offerte, contre son gré… mais son sexe s’ouvrait, comme une fleure, devant cette langue fouilleuse et experte. Puis la langue se retira. Jones sentit alors quelque chose de tout aussi tiède et mouillé, mais de beaucoup plus dur contre ses lèvres intimes. Un sexe bandé ! Le gland la pénétra doucement, puis d’un coup de rein, toute la verge entra dans le sexe de Jones. Était-ce la même personne qui l’avait léchée ? Elle ne le savait pas. Elle ne pouvait rien voir, juste ressentir les sensations. Et ça décuplait son excitation. Elle ressentait ce sexe en elle, qui allait et venait, de plus en plus vite, lui occasionnant des vagues de plaisirs. Elle ne voulait pas, non, elle ne voulait pas aimer ça. Mais ces sensations… ces vagues de plaisir, de plus en plus fortes. Elle était proche de l’explosion, mais la verge se retira d’elle. Puis elle sentit un liquide l’atteindre, par jets, tièdes, gluants, mouiller ses fesses, et couler le long de ses fesses, vers son dos. Puis de nouveau un gland contre son vagin. Et nouvelle pénétration. C’était une autre verge, elle le sentait, moins longue, mais plus grosse. Et cette verge là, elle tapait juste sur son point G. Après quelques rapides va-et-vient du gland sur ce point, Jones ne sut retenir un soupir de plaisir lorsqu’elle explosa. L’homme explosa peut après en elle, la remplissant de son sperme chaud. Puis vint, un troisième, avec une verge beaucoup plus imposante que les précédents. Sa verge était vraiment très épaisse, Jones la sentit passer doucement son passage intime, et remplir tout son sexe. L’homme savait si prendre, jouant de son épaisseur, de la vitesse, de la profondeur… Là, Jones ne sut retenir ses cris de plaisirs lorsqu’elle explosa. Elle eut encore un troisième orgasme avant que l’homme n’éjacule en elle. Il avait vraiment un sperme abondant, Jones le sentit couler de son sexe, et couler le long de son entre-jambe vers son anus.
 
Au bruit qui commençait à se faire, Jones sut qu’il devait maintenant y avoir plusieurs hommes. Elle entendit des commentaires grivois, des rires. Puis elle entendit la voix d’une femme qui relevait un défi. Et ce fut sans doute elle qui vint lécher le sperme abondant qui coulait du sexe de Jones. Elle lécha le sexe, sa langue faisant des bruits très indécents pour bien ramasser tout le sperme, puis sa langue descendit le long des fesses de Jones. Cette langue fouilla l’anus, puis joua à y pousser le sperme dégoulinant sur les fesses de Jones. Quelqu’un écarta la femme, et Jones sentit une nouvelle bite en elle. Mais celle-là était plus petite, et Jones était tellement mouillée, et son sexe si ouvert, qu’elle ne lui faisait pas beaucoup de sensation. A l’homme non plus sans doute car il se retira… et vint pénétrer l’anus de Jones. La surprise lui arracha un cri de douleur. De plus l’autre n’avait même pas pris la peine de se lubrifier l’engin ! Mais au fil des minutes l’agacement devient plaisant, et la douleur devint plaisir. Son anus se fit à cette queue, et accepta le vas et vient de l’homme dans le rectum, tandis que la femme recommença à lécher le sexe trempé de Jones. Elle léchait bougrement bien en plus ! Jones jouit en même temps que l’homme éjacula dans son cul. Il se retira, et Jones sentit le sperme couler hors de son anus.
 
Elle sentit des jets tièdes sur ses fesses, ses cuisses, d’autres hommes devaient se branler en voyant la scène. Elle entendit aussi une autre femme jouir, elle aussi devait se faire prendre. Peut-être était-ce celle qui l’avait léché ? Puis une autre bite s’engouffra dans le sexe béant de Jones, tandis qu’elle aperçut trois hommes arriver près d’elle, un à sa gauche, un à sa droite, un derrière sa tête. Ils se branlaient en regardant Jones se faire prendre. La cadence de leurs mains sur leurs sexes tendus augmentait au rythme des va-et-vient de la verge dans le sexe de Jones. Puis elle entendit un râle de plaisir, et quelque chose de tiède et de liquide aspergea son front, puis les joues. Le gars derrière elle venait de lui éjaculer dessus, et les deux autres firent de même. Jones avait le sexe ravagé, le visage plein de sperme, et elle ne comptait plus ses orgasmes… Un autre homme arriva, sur elle, au niveau de sa poitrine, et elle sentit une nouvelle bite dans son sexe, alors qu’une autre pénétrait difficilement son anus…
 
Ces sens s’agitaient, se mélangeaient… elle n’était plus qu’une sensation de plaisir. Hors d’elle-même, elle ouvrit même la bouche pour essayer d’attraper au vol un autre jet de sperme qui passait au niveau de son visage. Voyant cela, un des hommes s’approcha d’elle. « Mais tu sembles aimer ça en plus ! ». Il fit un signe, deux hommes soulevèrent Jones, et ils bougèrent la table sur laquelle était Jones, puis la redéposèrent. Elle avait maintenant la tête dans le vide. L’homme en profita pour mettre son sexe dans la bouche de Jones, tandis qu’un autre recommençait à lui astiquer l’anus. Comme elle ne savait faire quasiment aucun mouvement, l’homme faisait un mouvement de vas et vient, baisant sa bouche, sa grosse queue allant de plus en plus loin dans la bouche de la femme. Jones serrait les lèvres, écartant les dents, pour donner le plus de plaisir à l’homme, et pour bien sentir cette queue passer et repasser ses lèvres, racler son palais. Et l’homme explosa dans sa bouche, Jones avala tout ce sperme chaud. Et en plus, elle le trouva excellent ! Elle entendit quelqu’un crier « Vas-y, ouvre la bouche ! ». Elle ouvrit bien grand sa bouche. Trois hommes qui se masturbaient s’approchèrent. Jones vit ces trois gros glands rouges approcher de ces lèvres, les mains qui faisaient ce mouvement de va-et-vient… puis les trois qui éjaculèrent, visant sa bouche, quasiment en même temps. Jones bu ce qu’elle pu, le reste coula sur ses lèvres, ses joues… Elle sentit encore une bite dans son cul et une autre dans sa chatte… et le plaisir qui montait en force, et les éjaculations, le sperme qui remplissait tous ses orifices. Elle entendit encore quelqu’un crier « Vous avez vu ? Elle est couverte de sperme ! Regardez, elle en a tellement pris qu’il coule hors de sa chatte et de son cul ! » Rien qu’à imaginer ses orifices d’où coulait le sperme, Jones eut un orgasme mouillé…
 
Et alors que Jones sombrait doucement dans un coma orgasmique, elle était entourée d’homme, sexe tendu, attendant de pouvoir se satisfaire aussi… pas de doute, tout l’équipage allait lui passer dessus !
 
Elle était dans un état de semi-conscience lorsqu’elle reconnut la voix de l’ouvrier. Il tata sa chatte et dit « Elle est bien dilatée, elle est prête maintenant ». Elle sentit qu’on la transportait de nouveau. De ce qu’il lui semblait, elle faisait le chemin inverse. On la redescendait vers la soute. Elle reconnut la soute où les ouvriers l’avaient piégée. Mais cette fois une grosse porte était ouverte. On l’amenait dans la soute aux détritus.
 
Au lieu de l’odeur infecte, et au lieu du tas d’immondices puants, il y avait une sorte de couche d’humus sur le sol, et au milieu, une plante, avec des fleurs pourpres en forme de trompette. Il y avait deux jeunes plantes près d’elle. Les ouvriers assirent Jones face à la plus grosse plante qui semblait être la plante mère. « Je le savais ! pensa Jones, je l’avais senti ! ».
Les ouvriers se reculèrent. Jones entendit une voix, douce, une vois de femme, très sensuelle.
- Vous ne réussirez pas à nous détruire.
- Pourquoi ? Pourquoi faites-vous cela ?
- C’est une question de survie pour nous. D’autant plus que les humains sont fait pour nous, si faible, si esclaves de leurs sensations ! De tous l’univers, vous êtes les créatures les mieux appropriées pour notre survie. Mais nous avons compris une leçon de nos erreurs passées. Nous avons évolué pour ne pas sucer la force vitale des humains jusqu’à les faires disparaître, ce qui est arrivé avec les créatures de notre planète d’origine. Nous pouvons vivre en symbiose. Grâce à notre télépathie et votre faiblesse, nous vous contrôlons (comme je contrôle certains membres de votre équipage), et vous nous nourrissez et nous vous fournissons du plaisir…
- Vous voulez faire de nous des esclaves ! Jamais, jamais ! Plutôt mourir ! Se battre ou mourir !
- Tssss, tsss créature agitée ! C’est pour cela que nous t’avons choisie. Pour ta force, ta combativité, et pour t’apprendre à te mesurer à nous !
- Me choisir ? Mais… pourquoi ?
- C’est toi qui va nous implanter sur ta planète !
- Jamais !
 
Jones répéta son « jamais », mais la voix ne lui parla plus. Au lieu de cela, une nouvelle tige sortit de son bulbe. Elle avait aussi au bout de sa tige des pétales pourpres, mais beaucoup plus petit que les autres. Par contre son pistil était énorme. Jaune, en forme de pénis, comme les autres, il était néanmoins plus gros, le plus gros que Jones ait vu, et était granuleux. Les ouvriers s’approchèrent à nouveau, retournant Jones, croupe face à la plante, visage contre terre. La tige s’avança, le pistil en forme de pénis arriva contre le dos de Jones, et descendit lentement. Jones le sentit, doux, plus doux qu’un pénis humain, et humide. Il s’arrêta près de son anus, puis descendit encore et vint frotter la vulve de la jeune femme. Elle cria « Noooooon ! », mais rien n’y fit. Le pénis força doucement l’entrée et pénétra dans son vagin. Elle sentit ce gland énorme. Heureusement sa mouille abondante et le flot de sperme, ainsi que sa chatte dilatée par les nombreuses bites qui l’avaient visitée, aidaient cet énorme pénis à entrer en elle. Une larme coula de ses yeux lorsque le pénis buta sur le fond de son sexe. Il était si gros ! Puis, il commence ses vas et vient en elle. Un autre pénis, de taille plus normale, glissant sur le sol, arriva près de sa bouche. Jones entendit à nouveau la voix. « Suce-le ! Le nectar te rendra l’insémination moins douloureuse… tu n’en ressentiras que le plaisir ! » Au début Jones n’en voulut pas ! Mais ce sexe était énorme ! Si gros ! Elle était fatiguée, et son corps se rappelait les nombreux orgasmes qu’elle venait d’avoir. Après tout, pourquoi se faire du mal alors qu’elle pouvait encore avoir du plaisir ? La lutte viendrait plus tard !
 
Elle ouvrit la bouche, accepta le pénis jaune qui s’y glissa. Il était si doux, et tiède ! Elle sentit le nectar qui en suintait. Sa langue fit le tour du gland, ramassant ce nectar, puis elle suça avidement le pénis jaune, qui allait et venait dans sa bouche. Il explosa bien vite, et elle sentit ce liquide sucré, chaud, qui coulait dans sa gorge. Et elle se sentit mieux, euphorique. L’énorme pénis dans son sexe ne la dérangeait plus, elle s’y était fait. Elle en ressentait tout le plaisir. Elle sentait les granules de cette queue qui frottaient tous son vagin de l’intérieur, et son point G aussi, elle sentait les secousses de son ventre, chaque fois que le gros gland buttait dans le fonds de son sexe. C’était si bon ! Jones continuait à sucer le pénis jaune, tout en se faisant ramoner par une bite énorme ! Et la plante attendit qu’elle eut un violent orgasme pour éjaculer en elle. Jones sentit ce liquide très chaud et très abondant envahir son sexe. L’autre pénis éjacula une seconde fois dans sa bouche. Il lui sembla être rempli de cette semence orangée, qui coulait du haut, du bas… elle était si bien, qu’elle ferma doucement les yeux et sombra dans l’inconscience…
 
Suivant les ordres de la plante, les deux ouvriers libérèrent et soulevèrent délicatement le lieutenant Jones. Ils la portèrent dans les soutes jusqu’à la partie du vaisseau où se trouvait les capsules d’évacuation. Ils déposèrent le lieutenant dans une de ces capsules, encodèrent une direction, fermèrent la porte de la capsule, puis appuyant sur un autre panneau de commande, ils lâchèrent la capsule dans l’espace, qui lorsqu’elle fut assez loin du vaisseau, prit lentement la direction encodée par les ouvriers.
 
Les deux ouvriers retournèrent vers la plante, qui était mourante. La couche d’humus était trop superficielle pour lui permettre de vivre longtemps, c’est pour ça qu’elle avait donné ses dernières forces pour transmettre la vie de son espèce à la femelle humaine. Ben arriva, lui aussi sous le pouvoir de la plante. Les hommes entendirent cette voix douce et suave. « Merci pour votre aide mes amis. Maintenant il faut effacer toute trace de ce qui est arrivé. Ben, vous qui étiez second sur ce navire vous avez les codes. Faites votre devoir ! »
 
Ben fit le salut militaire, puis disparut. Il monta jusqu’à la passerelle de commande. Là, il demanda à l’équipage présent de quitter les lieux quelques instants, le temps qu’il prépare un exercice d’un nouveau type. Peu habitué à discuter les ordres, les gens présents obéirent et quittèrent la passerelle de commande. Resté seul, Ben s’approcha du panneau de commande central. Il tapota un code sur ce panneau, et sur sa droite une petite trappe s’ouvrit, et un bouton rouge apparut. Il entra un deuxième code, et un déclic se fit entendre, le système de sécurité du bouton rouge venait d’être enlevé. D’un doigt qui ne tremblait pas, Ben appuya sur le bouton rouge, qui mit en marche la procédure d’autodestruction du vaisseau. Partout les lumières devinrent rouges, et une sirène se fit entendre.
 
Ceux qui étaient sous le contrôle de la plante continuaient leur orgie, sans se rendre compte de ce qui se passait. Les autres membres de l’équipage paniquaient, ne sachant que faire. Un jeune officier se rua sur la passerelle de commande, mais Ben le mis au sol d’un uppercut magistral. Et le jeune officier n’eut pas le temps de se relever. Il y avait juste cinq minutes que Ben avait enfoncé le bouton… Dans une gerbe d’étincelles et de feu, le FPU-Atlas explosa, ne laissant derrière lui que quelques particules fumantes flottant dans l’espace.
 
Seule la petite capsule d’évacuation contenant le lieutenant Jones continuait sa route incertaine…
 

Epilogue.
 
 
Après avoir contemplé silencieusement les jardins artificiels d’Orbital1, l’Amiral tapota distraitement la cloison de plexiglas qui illuminait son bureau, et se retourna vers les deux hommes assit de l’autre côté dudit bureau. L’un était capitaine et l’autre docteur.
 
- Ainsi donc quand vous êtes arrivé près de XC23, plus de vaisseau ?
- Oui, Amiral. Alors qu’il était distinctement sur nos radars, le FPU-Atlas a disparu en une seconde. Lorsque nous sommes arrivés sur place, les débris ne laissaient pas place au doute : le vaisseau a explosé. Nous avons juste trouvé la capsule avec l’officier Jones, inanimée, qui venait vers nous.
- A-t-elle repris conscience ?
- Non, fit le médecin. Nous l’avons évacué vers la terre pour la soigner.
- N’est-ce pas dangereux ?
- Je ne pense pas, fit le médecin, nos scanners n’ont trouvé aucune trace de parasitage ou d’infection. Nous en serons un peu plus dans quelques semaines, lorsque le lieutenant Jones aura été examinée sur terre.
 
L’Amiral fit un signe de tête, congédiant ainsi les deux hommes qui étaient venus faire leur rapport de la disparition du FPU-Atlas. Puis il se retourna de nouveau vers la baie en plexiglas, contemplant les jardins artificiels fleuris d’Orbital1. Il avait un mauvais pressentiment depuis qu’il savait la disparition du FPU-Atlas…
 
 
  
 
Que va-t-il arriver à Jones et à notre planète ? Ça, c’est une autre histoire….
Par Brusselx - Publié dans : Mes Récits...
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