Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 10:50

Les Plantes d'Akrana 
Episode 7

Depuis son retour sur le FPU-Atlas, le lieutenant Jones n’avait pas eu le temps de souffler. Lhatta, Belinda et Jenny furent amenées à l’infirmerie, où elles étaient soignées et surveillées par l’équipe médicale du vaisseau, et Jones, après avoir constaté que le deuxième vaisseau akranien était effectivement parti, s’était directement mis en contact avec l’amirauté de la Fédération.
 
Elle fit un rapport sur la rencontre avec le vaisseau akranien, l’invitation de certains membres de bord sur ledit vaisseau, puis sa colonisation ‘agressive’ par une entitée alien (sans entrer dans des détails que l’amirauté n’aurait certainement pas pu apprécier), la perte du Capitaine Douglas, du Professeur Neil, du soldat Mike, et la demande du Zourk Menesis de détruire son vaisseau pour empêcher l’entitée alien de coloniser d’autres planètes de la galaxie.
 
Jones reçut le commandement du FPU-Atlas, et l’ordre de détruire le vaisseau akranien. Revenue avec Ben, devenu son second, au poste de commande, elle regarda une dernière fois le vaisseau akranien. La tristesse monta en elle. Elle repensait au Capitaine Douglas, au professeur Neil, et même à la science des akraniens. Mais elle devait faire son devoir.
 
Elle fit un signe de tête, Ben donna un ordre, un homme appuya sur un bouton de la console, et un missile à neutron parti du FPU-Atlas, pour atteindre le vaisseau akranien. Il fut suivi par un deuxième, puis un troisième, et le FPU-Atlas alluma ses réacteurs pour se mettre hors de danger. Si le vaisseau akranien avait eu ses boucliers levés, ces tirs ne lui auraient occasionné aucun dommage. Mais ce n’était plus le cas. Sans bouclier, le gros vaisseau akranien était une cible facile. Les trois explosions furent suivies par une plus grosse, et le vaisseau akranien fut pulvérisé en petits débris, éparpillés autours et puis flottant au grès du hasard dans l’univers.
 
Jones eut un petit mouvement de dépit, puis se tourna vers Ben.
- Cap sur Orbital1. Je vous laisse la passerelle, je vais me reposer un peu. Nous changerons dans deux heures.
- Bien mon Lieutenant !
 
Elle quitta le poste de commande, et après quelques minutes arriva dans sa chambre. Elle se sentait épuisée par les derniers événements. Jones défit sa combinaison, et s’allongea nue sur sa couche. Elle pensait au Capitaine Douglas, aux akraniens, puis lentement, sombra dans le sommeil…
 
Un bruit furtif la tira de son sommeil. Elle s’éveilla, mais ne vit rien, il faisait sombre. Elle voulut se rendormir, mais elle sentit qu’il y avait quelqu’un, son instinct l’avertissait d’une présence. Elle se mit sur son dos, tous les sens en éveil. Son instinct la prévenait d’un danger, elle en était sûre maintenant. Doucement, sa main alla vers sa table de chevet, où devait se trouver son désintégrator. Mais au lieu de rencontrer le manche rassurant de son arme, sa main toucha une matière inconnue, comme végétale. Jones, toujours sur sa couche, sur le dos, leva sa tête vers l’arrière, pour voir ce qui se trouvait derrière sa couche. Mais au fond d’elle-même, elle le savait déjà. Elle vit une longue tige vert foncé, qui d’un côté descendait vers un bulbe fendu, et de l’autre montait vers trois fleures en trompette, de couleur pourpre et d’où sortait trois gros pénis jaunes, une des plantes des akraniens. Mais que faisait-elle là ? Jones n’eut pas le temps de se le demander. Une des tiges s’allongea petit à petit, et un des gros pénis jaune descendait vers elle. La tête toujours en arrière, elle le vit passer devant ses yeux, tout jaune, granuleux, gros, son gland décalotté, suintant d’un liquide clair, orangé. Il passa le long de son nez. Elle le sentit tiède et à la fois dur et doux. Puis il descendit lentement vers sa bouche, et s’arrêta contre ses lèvres. Jones ne comprenait plus rien. Elle était perdue, se sentait si abandonnée, si seule. Que pouvait-elle faire ?
 
Elle ferma les yeux, et doucement, entrouvrit ses lèvres. Le gland jaune vint se frotter contre ses lèvres, doucement. Puis il pénétra lentement dans sa bouche. Elle sentit le gland tiède passer entre ses lèvres, puis entre ses dents, qu’elle écarta doucement, puis ce fut la hampe, longue, grosse et granuleuse qui passa ses lèvres. Comme elle avait la tête en arrière, le sexe jaune pouvait aller profondément dans sa gorge, presqu’à l’étouffer. Mais il ne le fit pas. Il racla son palais, en lent vas-et vient, Instinctivement, les lèvres de Jones enserrèrent se sexe qui était au trois-quarts dans sa bouche, sa langue cherchant sensuellement à enserrer le gland. Sa main vint caresser la partie en dehors de sa bouche, l’encourageant à accélérer ses mouvements. Ce que fit le pénis jaune, accélérant ses mouvements, tandis que Jones accompagnait ce vas et vient de bruit de succion excitant. Elle sentit alors quelque chose remontant le long de ses jambes. Se souvenant de ce qui s’était passé sur le vaisseau akranien, elle comprit qu’elle était entourée de plantes, et donc de gros pénis jaunes. A ce moment, elle sentit le sexe battre dans sa bouche, taper contre son palais, puis reculer légèrement et éjaculer un sirop tiède, sucré dans sa gorge. Elle avala tout, sentant ce sirop couler dans sa gorge. C’était si bon qu’elle lécha le gland et le suça de façon vulgaire, pour tout avaler jusqu’à la dernière goutte. Elle se sentait devenir folle, affamée de sexe. La tête lui tournait, elle ne voulait plus qu’une chose : du plaisir, être remplie, bourrée, devenir un vrai garage à bitte. Sentant un ou plusieurs pénis jaune arriver à hauteur de sa cuisse, elle écarta les jambes et suréleva son bassin de façon vulgaire, s’offrant totalement à cette créature. Le premier pénis jaune glissa le long de sa cuisse, et longeant une fesse rebondie vint se mettre entre les fesses de la femme abandonnée. Le gland jaune se pressa contre la petite rondelle de Jones, qui s’élargit doucement, jusqu’à avaler ce gland de belle dimension. Puis Jones sentit tout le sexe gros et granuleux passer lentement la frontière de son anus. Elle cria, mais son cri fut étouffé par le pénis jaune qui recommençait son vas et vient dans sa bouche. Et puis un autre pénis arriva à la hauteur de son sexe et la pénétra sans ménagement. Mais elle était tellement mouillée que le sexe entra sans mal en elle, tout entier. Elle jouit juste de se sentir pénétrée par ses deux gros sexes, qui commencèrent à la bourrer sans ménagement. Elle jouit après qu’ils eurent déversé leurs semence orangée et sirupeuse en elle. Elle sentit ce liquide tiède couler de son anus, le long de ses fesses, tandis que son vagin gardait tout ! Mais sans lui laisser le temps de souffler, deux autres arrivèrent, encore plus gros que les premiers, et recommencèrent leurs vas et vient en elle. C’était trop bon. Mais un autre sexe jaune vint remplacer le premier dans sa bouche. Il était aussi plus gros que le premier. Trop gros. Sa bouche pouvait à peine le prendre, et son vas et vient allait trop loin… elle étouffait… la plante allait la tuer, l’étouffer… elle avait de moins en moins d’oxygène, et c’est dans un orgasme qu’elle se sentit partir vers la mort…
 
C’est à ce moment qu’elle se réveilla, le front en sueur. C’était un cauchemar !
Jones s’empara de son désintégrator et mit plus de lumière dans la pièce. Elle fouilla fébrilement sa chambre, sans rien trouver. C’était un mauvais rêve, rien qu’un mauvais rêve ! Elle s’assit sur sa couche. « Décidemment, j’ai vraiment besoin de repos moi ! Sitôt arrivé sur Orbital1, je demanderai un congé à l’amirauté ». Pourtant, Jones ne pouvait s’empêcher de ressentir un danger. Un mauvais pressentiment ne la quittait plus. Pour se détendre les nerfs, et plutôt que de tourner en rond dans la cabine, elle décida d’aller à l’infirmerie prendre des nouvelles de Lhatta, Belinda et Jenny. « En même temps, pensa-t-elle, je pourrai demander quelques sédatifs, je pense que j’en aurai besoin si je veux dormir avant qu’on arrive à Orbital1 ».
 
*          *
*
 
Lorsque Jones arriva à l’infirmerie, Lhatta, Belinda et Jenny dormait. Jones demanda à voir le docteur Wenz, médecin de bord, et chef du département scientifique depuis la tragique disparition du Professeur Neil. Wenz était un très bon médecin, et un assez bon scientifique, quoiqu’il fût un peu imbu de sa personne.
- Auriez-vous besoin de mes services, mon Lieutenant ?
- Comment vont vos trois patientes, docteur ?
- Bien, bien. Je les laisse encore sous sédatif, car nous faisons pas mal d’analyse, et elles étaient déjà fort fatiguées en arrivant. Ainsi elles se reposent. Pour moi, d’ici quelques jours elles pourront reprendre leur service.
- Déjà ? Pas besoin de quarantaine ? Qu’ont donné ces analyses ?
- Une quarantaine ? Grand Dieu non, pourquoi ?
- Et bien… elles ont tout de même été en ‘contact’ avec une créature alien inconnue…
- Peut être, mais nous n’avons rien relevé de dangereux. Pas de blessure interne ou externe, pas de parasite, vers ou œufs, comme cela pourrait arriver après certains ‘contacts’ avec des aliens. Rien de spécial dans le sang, rien. La seule chose perceptible nous a été donnée par le neuro-scanner, qui a décelé une forte activité nerveuse dans la dilatation des vaisseaux sanguins, comme…
- Comme ?
- Et bien comme lorsqu’on prend des produits aphrodisiaque. Vous savez, ces drogues qui jouent sur la libido ? Ces substances agissent sur les cellules nerveuses, en particulier sur les nerfs qui commandent la dilatation des vaisseaux sanguins. Le sang circule donc mieux ce qui se traduit par une érection facilitée chez l'homme et une sensation de légèreté, d’envie chez la femme. Et bien, en fait, le scanner nous a montré des systèmes nerveux dans un état laissant penser à une forte prise de drogues aphrodisiaques. Comme elles sont illicites, je n’ai évidemment pas mis cela dans le rapport.
- Et vous n’avez rien trouvé d’autre ?
- Non ! Mon assistant s’occupe encore des analyse d’urine et de selles, mais jusqu’ici rien d’anormal.
- Bien, merci docteur. Au fait, vous reste-t-il quelques sédatifs pour moi ? J’ai le sommeil un peu difficile pour le moment…
- Oui bien sûr, venez avec moi jusqu’à notre pharmacie, j’aurai certainement quelque chose pour vous aider.
 
 
Pendant ce temps, Kyle, l’assistant du docteur Wenz, maugréait dans le laboratoire. Il était occupé à analyser les urines et les selles des patientes. « Pffff ! Il a facile le docteur. Lui il peut ausculter ces trois bombes, les palper,… et moi, j’analyse le sang, la merde… pfff, quel métier ! J’en ai marre ! Allez hop, tout dans le collecteur à déchet, et je dirai dans mon rapport que tout est normal ! » Et ainsi Kyle jeta au collecteur les échantillons de selles des patientes, sans voir les petits points orangés qu’elles contenaient…
 
*          *
*
 
- Comment ça nous ne pouvons plus avancer ?
- Désolé, Lieutenant Jones, ce sont les ordres de l’amirauté. Votre vaisseau doit rester en orbite autour de la planète XC23 jusqu’à nouvel ordre. Il ne peut entrer dans un système de la Fédération tant qu’une équipe médicale externe à la vôtre n’ai pas fait un rapport positif. C’est la règle en cas de contamination avec des aliens inconnus. De plus certains aspects de la disparition du Capitaine Douglas doivent être éclaircis. Une navette de l’amirauté fait route vers vous, mais vous devez l’attendre. Si vous entrez dans un système de la Fédération, vous serez considéré comme hors-la-loi, et détruit par le premier vaisseau que vous rencontrerez. Ce sont les ordres. Terminé.
 
Et l’image de l’officier disparut de l’écran. Le Lieutenant Jones se tourna vers les autres membres présents sur la passerelle.
- Vous avez entendu les ordres ? Mettons-nous en orbite autour de XC23, et attendons l’équipe d’inspection de l’amirauté. Je suis dans mon bureau.
 
Et, fâchée du manque de confiance de la Fédération, Jones sortit de la pièce les lèvres pincées. En faisant route vers le bureau du Capitaine Douglas, qu’elle occupait comme membre le plus gradée et commandant du vaisseau, elle réfléchit et constata que sa colère était surtout due au fait que cela confirmait le mauvais pressentiment qui ne la quittait plus. Cela avait commencé avec son cauchemar, il y avait trois jours maintenant, et ça ne la quittait plus. Quelque chose menaçait le vaisseau.
 
*          *
*
 
- Bon, ouvrez le sas maintenant, et sans discuter !
 
Kyle n’était vraiment pas de bonne humeur. Le Docteur Wenz s’était vite rendu compte que le rapport des analyses de Kyle ne correspondait pas aux précédentes. Furieux, il avait envoyé Kyle dans la soute aux déchets, pour essayer de retrouver la boite avec les selles qu’il avait jeté. Non seulement il s’était fait passer un savon sévère par son patron, mais en plus la perspective de se retrouver dans cette soute puante ne lui plaisait vraiment pas. Et en plus, les deux ouvriers qui devaient se charger de l’entretien de la soute avait tout fait pour qu’il n’aille pas, et le suivait maintenant en maugréant. Kyle avait un peu joué de sa supériorité hiérarchique pour les faire bouger.
 
Sous ses injonctions, ils ouvrirent le sas. Kyle entra, mais la puanteur qu’il redoutait ne l’assaillit pas. Il y a avait une légère odeur d’humus, comme en forêt. C’était étrange, d’habitude l’odeur nauséabonde se faisait sentir dès qu’on approchait la porte du sas… D’ailleurs lui et les ouvriers n’avaient pas mis la combinaison de sécurité. Kyle avait juste emporté une paire de gant en caoutchouc, qu’il n’avait même pas encore enfilé. La soute des déchets avait une forme particulière, en L. Dans la partie où il se trouvait arrivait tous les déchets du vaisseau, par plusieurs canalisations qui constellaient le plafond. Puis, une fois par jour, une large plaque métallique poussait tous ces déchets dans le sens de la largeur, vers le fond de la pièce, où une autre plaque poussait les détritus dans le sens de la longueur, vers l’extrémité de la pièce en L que Kyle ne pouvait voir d’où il se trouvait. Là, une cloison étanche et hermétique se fermait, coupant la pièce en L en deux pièces, et les déchets étaient broyés par procédé chimique (une fois par mois, selon le décret écologique 3684 de la Fédération), puis jeté dans l’espace.
 
En un coup d’œil, Kyle vit que ce qu’il cherchait ne se trouvait pas dans la première partie de la soute à déchet. « Mince ! pensa-t-il. Je vais devoir aller au fonds de la soute ». Une des deux ouvriers l’interpella :
- Alors t’as vus tout ce que tu voulais voir ? On peut fermer la soute ?
- Non pas encore. Vous n’avez pas encore broyé les déchets de ce mois ?
- Heu… non… en fait, on a un petit problème avec le système chimique. Il faudra attendre avant de procéder au broyage des déchets.
- Ouf ! Bon, il faut que je trouve mes déchets, sinon le docteur risque de nous virer, tous les trois !
 
Et Kyle s’avança dans la soute, marcha le long de sa largeur, indifférent aux cris des ouvriers qui voulaient que Kyle les attendent, puis tourna à droite pour aller vers le fonds de la soute. Mais il s’arrêta net, lâchant de surprise les gants en caoutchouc qu’il tenait toujours en main. Au lieu du tas d’immondices puants, il y avait une sorte de couche d’humus sur le sol, et au milieu, une plante, avec des fleurs pourpres en forme de trompette. De stupeur, Kyle recula de quelque pas, trébucha sur quelque chose, et se retrouva par terre. Il avait trébuché sur une plante plus petite, qu’il n’avait pas vu au premier abord. Une bouture de la grande plante sans doute. Et en trébuchant il l’avait cogné, répandant des spores orangées dans l’atmosphère.
 
Se mettant sur ses genoux, il se retourna vers les deux ouvriers.
- Mais qu’est ce que c’est que ça ?
- On sait pas. Elle a apparu hier, et la petite ce matin. Mais on veut pas qu’on la touche. Cette plante recycle les déchets en les transformant en humus. Pour nous fini le travail dégelasse, la puanteur et tout ça. Y faut rien dire à personne.
 
Kyle perçut de l’agressivité chez les deux ouvriers. Il vit dans leurs yeux, qu’ils étaient même prêts à lui faire du mal pour garder leur secret. Mais Kyle n’avait pas envie d’ébruiter le secret. Il se sentait bien, tout d’un coup, comme euphorique. Les deux ouvriers s’approchèrent de lui. Toujours sur ses genoux, il agrippa les jambes d’un des ouvriers, les entourant de ces deux bras.
- Mais je ne veux rien dire à personne, je veux être votre amis… on se sent si bien ici. Ce sera notre secret, à nous trois.
 
Et Kyle releva la tête, pour saisir le regard de l’ouvrier dont il enlaçait les jambes. Mais ce qu’il vit, très près de son visage, ce fut la bosse dans la combinaison de l’homme. A son entre-jambe s’était formée une bosse, longue, dure… Kyle ne savait plus très bien où il en était. Il se sentait si euphorique, si léger. Il ne pouvait quitter cette bosse de son regard, elle excitait sa curiosité, l’excitait lui… Timidement, il avança sa main, toucha la bosse. Sa main en dessina le contour, puis caressa doucement la bosse sur toute sa longueur. C’était agréable. Kyle sentit la présence de l’autre ouvrier près de lui. Il se retourna et vit que lui aussi avait une bosse à l’entrejambe. Sa main continuait à caresser l’homme devant lui. Il sentait le sexe de l’homme dessous la combinaison, il sentait la hampe, le gland… Puis sa main passa sous la bosse, sentant les testicules de l’homme, puis la naissance des fesses. La main caressa les fesses, puis revint lentement, caressant les testicules, puis le sexe, et remonta vers le bas-ventre de l’ouvrier. Et là, il sentit deux pressions. Les combinaisons des employés du vaisseau qui n’étaient pas des militaires avaient ces deux pressions, pour les ouvrir facilement, rabattre l’entrejambe du pantalon pour pouvoir aller à la toilette facilement. Inconsciemment, ses mains avaient cherché ces pressions, et maintenant, il les défit… le pan de la combinaison cachant l’entrejambe de l’ouvrier s’abattit lâchement, dévoilant son sexe, tout bandé. C’est la première fois que Kyle voyait une bite d’aussi près. Elle était si belle, elle l’hypnotisait. Sa main redescendit lentement le long du bas-ventre, passa dans les poils pubiens, puis attrapa la hampe du pénis tendu. Elle remonta, glissant sur cette hampe si chaude, si raide, jusqu’au gland, rouge et gonflé, suintant, puis redescendit lentement, puis remonte, redescend,… Kyle sent qu’il bande raide dans sa combinaison ! Puis il sent la main de l’ouvrier qui lui caresse la tête, puis, doucement et fermement, entraine sa tête vers ce sexe tendu. Kyle voit ce gland mouillé de désir s’approcher de son visage. Il sent son odeur mâle, si entêtante. Le gland vient doucement buter sur ses lèvres. Il ouvre la bouche, lèche le désir suintant du gland, lèche le petit trou au sommet du gland, puis lèche ce gland, entièrement, et l’avale. Kyle sent ce sexe raide entrer dans la bouche de Kyle. Il sent le gland racler le long de son palais, sa langue lèche le sexe. Puis il commence à sucer cette bite. C’était une première pour lui, et qu’est-ce qu’il trouvait ça bon ! Il sentait ce sexe dur et chaud aller et venir dans sa bouche.
 
Tout en suçant l’ouvrier, il sentit quelque chose de chaud contre sa joue. L’autre ouvrier avait sortit son sexe et le caressait contre la joue de Kyle. Celui-ci se tourna pour faire face aux deux ouvriers, et suça les deux bites, l’une après l’autre. Il était tellement excité, qu’il défit les pressions de sa combinaison, pour pouvoir sortir son sexe et se branler tout en suçant ces deux sexes raides. Voyant cela, un des deux ouvriers se décala et passa derrière lui. Kyle s’attaqua alors de plus belle à la pine qui restait devant lui, suçant le gland, puis sa langue descendant le long de la hampe, jusqu’au scrotum, léchant les couilles velues, le début des fesses, puis remontant le long de la hampe, puis enfournant le sexe, sentant ce sexe aller et venir dans sa bouche. A ce moment quelque chose de tiède et de mouillé lui donna une décharge de plaisir : l’autre ouvrier, par derrière, lui léchait le scrotum et les couilles, puis remonta vers ses fesses. La grosse langue mouillée remonta le long de son sillon, jusqu’à son anus. Kyle gémit de plaisir lorsque cette langue lui titilla l’anus, y entrant de plus en plus profondément, lui mouillant abondamment la rondelle. Puis il sentit un doigt lui titiller l’anus. Il n’avait jamais connus cela avant, mais il soupirait de plaisir en songeant ce que cela préludait. En effet, un deuxième doigt vint rapidement rejoindre le premier dans son anus… l’ouvrier lui doigtait l’anus, et rudement bien ! Sa langue redescendit le long du sexe de l’ouvrier qu’il suçait, redescendit jusqu’aux testicules. Kyle trouvait enivrant de lécher le cul de ce type, pendant que sa bite mouillée de salive cognait contre son nez et sa joue, qui se mouillait de salive et de mouille. Puis il remonta, et enfourna à nouveau cette bite dans sa bouche, lâchant un soupir de plaisir. A ce moment, il sentit quelque chose de doux et de chaud contre son anus : le gland de l’ouvrier derrière lui vint buter contre sa rondelle. L’ouvrier poussa son bassin en avant, et son gland força l’anus de Kyle. Ce dernier sentit l’intrusion dans son rectum. Mais il avait été si bien doigté que le gland passa sans problème, lui arrachant un gémissement de plaisir. Puis il sentit le sexe de l’homme entrer profondément en lui. Quelle sensation ! L’homme enfonça son sexe totalement dans son cul, et lorsque son gland vint caresser la prostate de Kyle, il ne put s’empêcher de s’éjaculer sur le ventre. Et l’homme commença son va-et-vient dans son cul, de plus en plus vite. Kyle suçait l’autre homme au même rythme, de plus en plus vite… Puis il sentit le sexe se cabrer entièrement, le gland taper de plus en plus fort contre son palais, se rétracter, et éjaculer un liquide épais et tiède dans sa bouche. Le sperme remplit la bouche de Kyle, coula dans sa gorge. Il branla le sexe plus vite, et malaxa doucement les couilles, pour avoir tous le jus de l’homme, pour ne pas en perdre une goutte, avalant le sperme abondant de l’ouvrier. Il sentit son propre sperme, qui coulait le long de son ventre, vers son pubis. Alors qu’il léchait encore le gland du premier ouvrier, il sentit le sexe de l’autre homme accélérer sa cadence, de plus en plus profond en lui, puis battre dans son cul, et un liquide chaud lui remplir le rectum, lui arrachant un cri de plaisir. L’ouvrier sortit son sexe du cul de Kyle, puis vint le lui présenter devant sa bouche. Sans hésita Kyle lécha ce sexe, qui était mouillé et gluant de salive, de sperme et de mouille anale, qui sentait le musc et goûtait le sperme… L’autre ouvrier lui mis encore un doigt dans son cul, le ressorti, plein de sperme et le présenta à Kyle, qui le lécha avec délectation.
 
Kyle sentait son anus dilaté, le sperme qui coulait de l’anus, dans le sillon de ses fesses. Il se sentait si bien, et encore tellement excité ! Il se laissa donc faire lorsque les deux ouvriers le portèrent vers le fond de la soute. Ils le déposèrent à terre, au pied de la plante. Puis ils se reculèrent, et saluèrent la plante, comme on salue une idole, et partirent à reculons. Kyle, encore dans les vaps du plaisir, vit les ouvriers partir. Puis il sentit quelque chose bouger derrière lui. Quelque chose de doux et de chaud. Il tourna la tête, et vit avec étonnement que les pistils de la fleur étaient devenus aussi gros que des pénis, et tout jaune ! En fait, ils étaient même de belle taille, de beaux gros pénis… Kyle était encore tellement excité… Il s’approcha docilement d’un pénis, l’attrapa, le caressa, et le mit en bouche, recommençant une fellation. Il venait de découvrir qu’il adorait faire ça ! Lorsqu’il sentit un autre pistil-pénis remonter le long de ses fesses, il présenta automatiquement son cul pour pouvoir être bien pris… il était devenu une vraie petite salope ! Il sentit le gros gland, qu’il devinait jaune, faire pression sur son anus, et grâce au sperme de l’ouvrier, il pénétra l’anus dans un petit bruit de succion humide, qui excita Kyle, lui faisant oublier la petite douleur de la pénétration, car ce sexe était plus gros que celui de l’ouvrier. Il suça de plus belle ce sexe jaune, qui devenait de plus en plus poisseux, et sentit un troisième pistil-pénis venir contre son sexe, puis l’enrober, petit à petit… comme pour le docteur Zingl, le gland jaune s’ouvrit et goba le sexe humain, jusqu’à la garde. Puis Kyle sentit un phénomène de succion, plus fort, plus serré, plus doux, qu’une fellation. Son sexe était comme massé et sucé en même temps, et l’intérieur des pénis jaunes étaient plus tiède et doux qu’un sexe féminin. Il lâche le pénis jaune qu’il suçait et sa bouche s’entre-ouvrit dans un râle de plaisir. Bien vite, il éjacula, et tout son sperme fut avalé par la créature. Mais la succion de la plante s’accéléra. Le plaisir de Kyle augmenta, et il éjacula une seconde fois. Son plaisir augmenta encore, jusqu’à ce qu’il tomba dans ce coma euphorique. La plante suça encore et encore, vidant littéralement Kyle, qui maigrissait à vue d’œil. La plante suça toute les forces et les nutriments de l’homme, et lorsqu’elle s’arrêta, il était sans vie, le corps aussi sec qu’une momie.
 
La plante avait repris des forces. Un nouveau cycle pouvait commencer.
 
*          *
*


(à suivre...)
Par Brusselx - Publié dans : Mes Récits...
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Commentaires

Le rêve érotique de Jones est vraiment délicieux ! On sent son malaise qui monte et l'apparition de la plante le confirme, l'intrigue est très bien menée.
commentaire n° :1 posté par : Kerrydwen le: 29/08/2012 à 15h23

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