Vendredi 13 juillet 5 13 /07 /Juil 10:20
Les Plantes d'Akrana
Episode 3

Lhatta, Jenny, Belinda, Ben et Mike se réveillèrent doucement. Ils avaient un peu mal de tête. Ils étaient tous nus, au milieu de la pièce ronde. Tout était sombre, seul les sept portes et les fleurs de couleur pourpre étaient baignées d’une légère lueur. Une voix emplit la pièce.
- Humains. Vous avez sali notre hospitalité en forniquant devant nos plantes sacrées. Celui qui commet un tel sacrilège sur Akrana doit mourir. Mais, en vue de l’amitié que nous voulons construire avec vous, nous vous donnons une chance : Nous les akraniens sommes très joueur. Chacun de vous doit choisir une des portes. Derrière ces portes nous avons recrées plusieurs microcosmes de la galaxie. Vous devez traverser la pièce, et arriver vivant de l’autre côté. Comme nous sommes bon joueur, nous vous permettons de cueillir chacun une de nos fleurs sacrées. Si vous la respirez, son parfum euphorisant vous aidera, par exemple à avoir plus de courage… ou à ne pas sentir la douleur… ça peut servir !
 
Comme hypnotisé, encore un peu sous l’effet de la fleur, les cinq humains allèrent chacun cueillir une fleur, puis, comme ils étaient nus, ils mirent la fleur sur l’oreille. En marchant, ils sentaient la douce odeur de la plante, qui les euphorisait lentement. Chacun choisit une porte, et attendit devant. L’épreuve allait commencer. Les portes s’ouvrirent en même temps, et les cinq entrèrent dans la pièce qui leurs faisaient face, prêt à vendre chèrement leurs vies…
 
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Salle 1 - Lhatta
 
Lhatta était arrivée dans un marais. Elle regardait autour d’elle. Plus de porte, plus de vaisseau. Derrière elle une falaise, infranchissable. Devant elle un marais. Au-dessus le ciel, quelques nuages. Etait-elle encore dans le vaisseau ? « Bien sûr, pensa-t-elle, c’est certainement un décor holographique. Ils font comme nous, ils recréent ces images comme dans une sorte de réalité virtuelle ! ». Elle avança. Un sentier serpentait le long de plans d’eau, de palétuviers, d’autres arbres et plantes qu’elle ne connaissait pas et de quelques clairières à l’herbe parsemée. Dans une des clairières, elle trouva un morceau de bois. Assez solide, long d’un bon mètre, elle le ramassa. Puis avisant un caillou aux arrêtes assez tranchées, elle le ramassa pour tailler sommairement son bâton en pointe. On ne sait jamais…
 
De temps en temps, un oiseau survolait le marais. Elle avait aussi aperçu de loin une sorte de reptile. Image de synthèse ou réalité ? En tous cas, l’odeur des marais était bien réelle ! Et la chaleur aussi, étouffante ! Heureusement que la fleure qu’elle portait à l’oreille sentait bon. L’odeur de la fleur était bonne, euphorisante, et excitante. Malgré la situation, Lhatta se sentait encore excité. Elle ne comprenait pas qu’elle n’arrivait pas à se calmer.
 
Elle marchait sur le sentier entre plusieurs palétuviers lorsqu’un bruit la fit se retourner. Personne. Pourtant, elle se sentait observée. Un autre bruit provint de sa gauche. Lhatta se retourna encore, mais personne. Puis un bruit sur sa droite. Elle était cernée ! Mais par qui ? Ou par quoi ? Elle vit une sorte de palétuvier, plus gros que les autres, il semblait mort, de couleur plus foncée que les autres, avec quelques lianes qui pendaient aux branches. Lhatta serra alors bien fermement son bâton aiguisé, et marcha vers l’arbre, en se mettant dos à l’arbre. « Ainsi pensa-t-elle, ils ne sauront pas m’encercler. » Elle marchait lentement à reculons, mais ne voyait rien, et n’entendait plus de bruits, sauf les bruits habituels du marais auxquels elle ne faisait plus attention, cris d’oiseaux, vols d’insectes,… Elle reculait encore jusqu’à être le dos contre l’arbre.
 
Elle serrait bien fort son bâton, ne voyant toujours rien. Pourtant, elle sentait une présence proche. Toute proche. Soudain, Lhatta se raidit. Elle avait senti quelque chose effleurer ses pieds. Elle baissa les yeux, et vit les lianes qui s’enroulaient autour de ses pieds et de ses chevilles… Elle poussa un cri, et essaya de se dégager, mais en vain. Elle leva son bâton, la pointe prête à frapper une liane, lorsqu’elle sentit une goutte tomber sur son épaule, et dégouliner le long de son bras. Elle leva la tête, et vit un peu au-dessus d’elle deux yeux et une bouche, légèrement baveuse, sur ce qu’elle avait pris pour un arbre. Avant qu’elle ne puisse réagir, une liane s’enroula autour de son bâton, et le lui arracha des mains, puis le cassa en deux par simple pression, et jeta les morceaux au loin. Mue par la colère, Lhatta voulut attraper la liane avec ses mains, comme pour l’étrangler, mais celle-ci évita les mains de Lhatta, puis s’enroula autour du poignet gauche, tandis qu’une autre liane s’enroula autour du poignet droit de Lhatta. Elle ne savait plus bouger, attachée contre ce qu’elle avait pris pour le tronc d’un arbre. Et qui était en fait un palétivor. Cette forme de vie animale était connue dans la galaxie du Sud. Elle savait se camoufler, s’enterrer à moitié dans le sol et prendre l’aspect d’un arbre des marais. Puis, lorsqu’un autre animal approchait trop près, il l’emprisonnait de ses tentacules en forme de lianes, l’attirait à sa bouche, le gobait et le digérait très lentement (car cet étrange carnivore n’a pas de dent). Lhatta avait beau se démener, elle n’arrivait pas à se libérer… et se sentait entraînée de plus en plus contre le palétivor, vers sa bouche baveuse…
 
Lhatta fit un effort musculaire intense pour se décoller de l’arbre, mais fermement, ses tentacules-lianes se tendirent, collant Lhatta contre lui. Mais soudain, l’animal desserra la pression. Lhatta dressa timidement la tête, s’attendant à voir la bouche de l’animal prête à la gober… mais au lieu de cela l’animal semblait renifler quelque chose. Instinctivement, Lhatta respira aussi, mais ne sentit rien d’autre que le parfum euphorisant de la fleur qu’elle portait à son oreille. Parfum qui était plus fort, car en bougeant, elle avait éparpillé des spores orangées autour d’elle. Puis les tentacules commencèrent à nouveau à serrer les poignets et les cheville de Lhatta, qui, de plus en plus euphorisée par le parfum de la fleur, s’en fichait finalement de terminer mangée par cette chose. Elle espérait juste ne pas trop souffrir. Mais le palétivor ne l’attirait plus vers lui. Les lianes écartaient les chevilles, et donc les jambes, de Lhatta. Elle regarda vers le sol en pensant « il ne va quand même pas m’écarteler ! » Mais elle vit la terre remuer sous ses pieds, et une racine sortir de terre. Une grosse racine brun foncé, granuleuse, épaisse, raide et légèrement baveuse… raide et baveuse ? Lhatta compris alors que ce n’était pas une racine, mais le sexe du palétivor qui durcissait et se raidissait du fait de son excitation.
 
Lhatta essaya de se débattre. Elle vit le sexe du palétivor, qui ressemblait beaucoup à celui d’un cheval de par sa couleur, sa longueur, avec des granules et un gland plutôt humain, mais en plus gros. Lhatta se débattait toujours, mais un peu moins fort. Son excitation grandissait aussi. « Mais non, pensa-t-elle, c’est pas possible, c’est dégoûtant ! Avec cette chose ! Cet animal ! » Malgré cela elle sentait son sexe s’ouvrir et mouiller. Le pénis durci du palétivor montait à une vitesse régulière. Lhatta le sentit contre ses lèvres intimes, puis il passa cette frontière et entra lentement en elle. Il remplit entièrement le vagin de Lhatta, puis redescendit presqu’à la sortie de son vagin, puis remonta, puis redescendit, et ainsi de suite, mais en augmentant la vitesse. Même si le sexe du palétivor était entré sans problème dans le vagin tout mouillé de Lhatta, elle eu un peu mal au début, vu la longueur et la grosseur de l’engin ! Mais peu à peu, la douleur devint plaisir, un plaisir de plus en plus fort au fur et à mesure que la vitesse des vas-et-viens augmentait. Elle commença à crier de plaisir, à parler à l’animal… « oh oui, pilonne-moi, pilonne-moi encore, pilonne-moi plus fort,… oh oui, oh ouuuiiiiiiiii ! ». Elle eut un orgasme si violent qu’elle en éjacula sa mouille le long de la queue énorme de l’animal, jusque par terre. Tout occupée à son plaisir, Lhatta sentit quelque chose de mouillé et de gluant qui caressait son anus… elle tourna la tête et vit la langue de l’animal lui lécher le derrière. Cette langue était rouge-bordeaux, et assez longue, comme la langue d’un caméléon, mais d’une taille plus conséquente ! La langue était rappeuse, et Lhatta aimait ça ! Elle se décontracta au maximum, et la langue de l’animal pénétra sans mal l’anus de Lhatta. Il lui léchait l’intérieur de l’anus, et cela ajouté au pilonnage incessant de son vagin fit encore venir Lhatta, qui éjacula encore plus mouillé que la première fois ! Elle dégoulinait du vagin et de l’anus, lorsque la queue de l’animal se cabra et éjacula en elle… elle se senti remplie d’un foutre très épais, et en telle abondance que le sperme de l’animal déborda de son vagin, et dégoulina le long des jambes de Lhatta, jusqu’à former une petite flaque jaunasse à ses pieds. Puis le sexe de l’animal se rétracta tout à fait, jusqu’à disparaître sous terre, et les lianes lâchèrent Lhatta, qui s’écroula à terre.
 
Epuisée, elle trouva tout de même encore la force de ramper hors de portée de l’animal, au cas où il aurait un petit creux après l’amour… Elle rampa, à la limite de l’évanouissement, et ne vit pas le sol se dérober sous elle. Elle culbuta, et roula jusqu’à une parois métallique. Elle se retourna et vit que c’était une porte. La porte de sortie ! Elle avait réussi ! Elle s’évanouit alors que la porte s’ouvrit…
 
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Salle 2 - Ben
 
Ben se retrouva dans une grande plaine herbeuse. Les herbes étaient tellement hautes qu’elles lui arrivaient à hauteur de l’épaule. Il voyait sur sa gauche une grande forêt. Il décida de ne pas s’engager dans la forêt et marcha droit devant lui.
 
Ben observait tout autour de lui. C’était certainement un décor holographique. Mais cette végétation lui disait quelque chose. Il l’avait étudié. Mais il n’arrivait pas à mettre un nom ou une époque sur ce qu’il voyait. « Fichue mémoire ! » pensa-t-il. Il continua de marcher, lorsqu’une ombre se dessina sur le sol. Il leva la tête et vit quelques oiseaux en vol. « Mais… ce ne sont pas des oiseaux… ce sont des ptérodactyles ! ». A ce moment la terre trembla autour de lui, et un rugissement affreux se fit entendre. Ben vit un immense T-rex sortir de la forêt, sur sa gauche. L’énorme animal rugit encore, secoua sa tête, puis repartit en direction de la forêt. « Bon sang, le crétacé ! J’ai entendu parler de quelques planètes qui étaient restées à ce stade de l’évolution ! Comme elles n’ont pas connu de catastrophe climatique, les dinosaures ont survécu et sont devenus le haut de la chaîne alimentaire, et ont régulé tout l’écosystème… Je ferais mieux de ne pas m’attarder ici, moi ! » Et il continua sa route, pressant le pas.
 
Mais alors qu’il marchait, il vit devant lui les hautes herbes se faucher… quelque chose venait lentement vers lui. Ben était indécis quant à la conduite à tenir. Il n’avait pas d’arme, et dans ce « monde » il était le plus faible et le moins bien adapté. Il ne savait que faire, lorsqu’il avisa une sorte de clairière, à la lisière de la forêt. Il décida de s’y rendre, au moins, là il verrait qui ou quoi venait vers lui. Il prit cette direction, et vit que la chose en face fit de même, mais plus rapidement. « Cette saloperie veut me couper la route ! » Ben pressa le pas, finit par courir, et il déboucha dans la clairière en même temps que la chose. Il constata que la chose était en fait une espèce de dinosaure, un vélociraptor. Il était très semblable à son congénère terrestre, sauf que sa boîte crânienne semblait plus grosse, plus évoluée, et il se tenait plus droit. L’animal se mit entre lui et la forêt, puis le regarda d’un œil malin. Ben vit ses pattes griffues et ses dents acérées. « Tu crois que tu vas manger du Ben ce soir ? » fit-il doucement, en reculant lentement vers les hautes herbes.
 
A ce moment, quelque chose le heurta violemment par derrière et le projet au sol. Il fit un tourneboulé et se releva. Un autre vélociraptor avait surgi dans son dos. Un troisième arrivait, sortant lentement des hautes herbes. Ben se retrouvait maintenant au centre de la petite clairière, entouré de trois vélociraptors. Il vit la fleur pourpre à ses pieds. Il la ramassa, et plongea son nez dedans. « Quitte à mourir, autant ne pas trop souffrir, et mourir dans l’extase » ! Il respira un bon coup. A ce moment le premier raptor fonça vers lui. Il se jeta à terre et fit un cumulet pour l’éviter. Puis le deuxième attaqua, et il l’évita ainsi. « Ces sales bêtes jouent avec moi ! ». Il s’apprêtait encore à plonger lorsque son attention fut attirée par des petits points orange tout autour de lui : en plongeant la fleur à la main, il avait disséminé des spores partout autour de lui, et sur les raptors eux-mêmes. D’ailleurs le bon parfum de la fleur flottait autour de lui. Même si cette constatation n’avait duré qu’une fraction de seconde, sa distraction lui coûta cher : il sentit un coup dans son dos, le troisième raptor attaquait. Trop tard pour l’éviter. Ben se retrouva projeté sur le sol, poussé dans le dos. Il s’étala de tout son long sur son ventre. Il voulut directement se lever, mais la patte du raptor s’écrasa sur son dos, l’entaillant assez profondément, et l’empêchant de bouger. « C’est fini ! C’en est fait de moi ! »
 
Il s’attendait à un coup de mâchoire terrible dans le dos ou sur la tête mais rien ne vint. Il essaya de bouger, mais le raptor le tenait fermement immobilisé. « Mais qu’est-ce qu’il attend ! Allez vite, qu’on en finisse ! ». Le coup arriva. Mais pas où Ben l’attendait. Il sentit un coup assez violent au niveau de ses fesses. Puis un autre. Mais ce n’était pas un coup de griffe. Encore un coup, qui trouva ce que l’animal cherchait : l’anus de Ben. Au coup suivant, le sexe du raptor entra à moitié dans l’anus de Ben, qui cria sous la douleur. Encore un coup et le sexe du raptor entra entièrement dans les entrailles de Ben, puis le raptor commença son vas-et-viens. Ben cria de douleur, mais assez étrangement, la douleur devint vite plaisir. Il sentit même son propre sexe se durcir et se gonfler contre sa cuisse. Bientôt, les cris de Ben devinrent des cris de plaisirs, il bougea même un peu son bassin pour mieux recevoir le sexe du raptor, pour qu’il le pénètre encore plus profondément. « Oh oui c’est bon, putain, ce que c’est bon ! ». Il sentit une présence devant lui. Le premier raptor passait à sa portée. Il put ainsi détaillé le sexe du raptor : il ressemblait au godemichet les plus courant que Ben voyait dans ses magazines pornos, rose très clair, de dimension normale, planté dans une base de caoutchouc verdâtre. L’excitation gagnait tout le corps de Ben. Le plaisir était tellement fort qu’il s’éjacula dessus. Grisé par le plaisir, il attrapa le sexe du raptor devant lui et le branla. L’animal fut d’abord réticent et se dégagea. Puis revint, Ben le reprit, et cette fois il se laissa faire. Le troisième raptor arriva aussi près de Ben. Il lâcha le sexe du premier raptor pour le prendre dans sa bouche, et de cette main devenue libre branla le troisième raptor, ce qui le fit bien vite rebander. Il sentit alors le sexe dans son cul se cabrer, et un liquide tiède inonder ses entrailles. Il gémit de plaisir, arrêta de sucer le premier raptor, dégagea sa deuxième main, pour branler l’animal. Les deux raptors qu’il branlait éjaculèrent quasiment en même temps, inondant le visage et le dos de Ben d’un sperme très liquide et très clair.
 
Ben put alors se dégager. Il se redressa et s’assit, l’anus en feu, le corps couvert de sperme. Les trois raptors étaient toujours autour de lui. Soudain, un des raptor dressa la tête, émit un cri plaintif, et les trois animaux disparurent dans les hautes herbes sans demander leurs restes. Ben entendit alors un cri effrayant venir de la forêt. « Le T-rex ! Vaut mieux pas que je reste ici ! Son sexe doit être aussi immense que le reste » Il courut comme il put se cacher dans les herbes. Comment fuir d’ici au plus vite ? Il ne savait plus trop courir, son derrière le faisant un peu souffrir. En s’enfuyant comme il put, il aperçut une autre petite clairière. Au milieu de celle-ci une autruche, la tête plongée dans un trou. « Voilà le moyen ! Les autruches courent très vite ! » Il approcha doucement de l’animal, qui sentit son approche. Ben ne pouvait plus hésiter. Il courut et saut sur le dos de l’autruche. L’animal s’effraya et commença à courir. Mais Ben avait du mal à s’accrocher, surtout que son pénis encore tout raide le gênait. Il sentait son derrière glisser le long du dos de l’animal. Il n’arrivait pas à s’accrocher, et l’animal accéléra l’allure. Il glissait de plus en plus, ses mains lâchèrent le cou de la bête et s’accrochèrent à son flanc, son visage arriva à hauteur des plumes de la queue de l’autruche, qui lui fouettait le visage, son derrière fut dans le vide, et glissait dangereusement vers le sol qui défilait à toute allure. Avec les chaos, le bout du pénis de Ben buta contre un endroit sans plume, lisse et tiède. « C’est sans doute son fion… si je ne veux pas tomber et perdre mon unique chance de salut, je n’ai pas le choix ». Et d’un magistral coup de rein, Ben enfonça son gland dans le fion de l’autruche. L’animal glapit et ralentit sa course. Puis accéléra à nouveau pour déstabiliser Ben. Mais sa verge bien calée dans le fion étroit de l’animal, ses mains accrochées autour de son flanc, il ne risquait plus de tomber. La course et les chaos du chemin faisaient même que l’anus de l’autruche allait et venait doucement, massant tant de l’intérieur que de l’extérieur la verge de Ben. Ces sensations douces et chaudes, la vitesse, le paysage qui défilait… le plaisir était trop fort ! Ben ne sut se retenir et éjacula dans le fion de l’autruche…
 
Le plaisir fut si fort et son pénis se rétractant, Ben lâcha l’animal. Il roula sur le sol, et buta contre une paroi métallique. La porte de sortie ! Il s’en était tiré ! Il en jubilait encore lorsque la porte s’ouvrit…
 
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Salle 3 – Jenny
 
Jenny se sentait toute guillerette. Elle marchait dans de vertes prairies, des alpages, avec de hautes montagnes sur sa gauche. Ce paysage lui rappelait tellement ceux de son enfance. Elle avait grandi dans de tels lieux. D’humeur joyeuse, elle allait bon train, respirant de tant en tant le suave parfum de la fleur à son oreille. Elle traversa une forêt de conifères, pareils à celles qui poussent sur les flancs de toute les montagnes… ou presque ! Ils étaient deux fois plus hauts que les conifères terrestres, et d’une couleur bleue. Jenny pressa le pas pour sortir de la forêt, car elle ne s’y sentait pas à l’aise. Elle en était presque sortie lorsqu’elle vit, sur le haut d’un de ces étranges conifères, une ruche. La ruche était à la taille des conifères : géante ! Jenny sortit au plus vite de la forêt. Mais elle avait oublié qu’elle portait une fleur à l’oreille…
 
Attirée par l’odeur de la fleur, une abeille géante sortit de la ruche Jenny prit peur et commença à courir. Elle courut droit devant elle, certaines branches basses lui fouettant le visage ou griffant ses côtes. Comme Jenny était sortie de son territoire, l’abeille retourna vers la ruche. Jenny se retourna et constata qu’elle avait échappé à l’insecte, mais ce faisant, elle butta contre une souche, et tomba. Le terrain étant pentu, Jenny roula sur elle-même, et sa chute s’arrêta avec une belle éclaboussure dans un petit point d’eau. Elle se retrouva assise dans l’eau, la tête qui lui tournait légèrement, et la fleur qui avait glissé de son oreille à son nez, et de son nez dans l’eau… Tout en se remettant de sa chute, Jenny observait les alentours. Devant la pente qu’elle avait dévalée. Derrière elle une falaise rocheuse, avec une petite cascade qui alimentait ce point d’eau. Il n’était pas très profond, elle était assise et avait de l’eau jusqu’à son nombril. L’eau était pure, et quelque petit poisson nageait autour d’elle. Le point d’eau se terminait par une sorte de petit goulot, puis devenait ruisseau.
 
Alors qu’elle observait tout cela, Jenny sentit quelque chose lui chatouiller le derrière. Elle se recula un peu, et vit que les rochers sur lesquels elle était assise avait une forme de tuyau d’orgue calcaire, deux ou trois l’un à côté de l’autre. Tous creux. Et de ces creux sortit une petite anémone mauve. Une anémone d’eau douce, cela était très rare, on n’en connaissait que dans deux ou trois systèmes assez éloignés de notre galaxie, des systèmes à trois lunes. Jenny observa l’anémone. Du tube calcaire sortait une membrane mauve de forme phalloïde, entouré à sa base de minuscules tentacules comme toutes les anémones, qui se balançaient dans l’eau, attrapant sans doute quelques micro-organismes invisibles à l’œil humain. Et il y avait ainsi deux anémones d’eau douce l’une à côté de l’autre. Jenny observait amusée la partie centrale des anémones. De forme phalloïde, elle ressemblait vraiment à une verge humaine, mais mauve et se terminant par une boule un peu plus grosse qu’un gland humain. Euphorisé par l’odeur de la plante qui avait glissé près de son nez lors de sa chute, Jenny toucha légèrement l’anémone, pour voir si cette verge végétale était molle ou solide… Au toucher, elle était molle et douce, mais au contact des mains de Jenny, elle se durcit, tout en restant très douce. Amusée, Jenny se mit sur ses genoux et masturba les deux anémones, qui devinrent dure comme un pénis humain. Bientôt l’excitation pris la place de l’amusement. Jenny constata qu’en bougeant un peu et en fléchissant ses jambes, elle pouvait s’empaler sur ces verges végétales. Elle sentit la boule au bout de l’anémone buter contre son vagin, puis sur sa pression y entrer. La boule était assez grosse, et plus Jenny s’y empalait, plus elle sentait cette boule s’enfoncer en elle, en frottant les parois de son vagin. C’était si doux… Excitée, elle accéléra ses mouvements, et s’empala de plus en plus rapidement sur cette boule, jusqu’ à en jouir… Mais elle en voulait plus. Elle constata alors qu’en se retournant, et en s’asseyant, la première anémone était à la hauteur de son petit anus, tandis que la deuxième retournerait sans mal dans son vagin trempé et soudain affamé de sexe. Elle s’assit donc sur les anémones. Son vagin se laissa pénétrer sans mal, mais le bout de l’anémone eut du mal à passer l’anus. Jenny força un peu et l’anémone était si douce qu’elle n’eut même pas mal lorsqu’elle passa la porte anale, et caressa son rectum. Elle adora cette sensation d’avoir ses deux orifices remplis par ces douces verges végétales. Accélérant ses vas-et-viens, Jenny se fit encore jouir deux fois, prise par l’extase du plaisir. Elle voulait continuer à jouer avec ces anémones, mais sa conscience lui disait qu’elle devait continuer sa route. Elle se releva lentement, sentant les anémones glisser en elle… mais elle ne put se lever ! Les boules à l’extrémité des anémones avaient durcies et grossies, et elles ne passaient plus ni son anus, ni son vagin. Jenny était coincée ! Paniquée, elle s’accroupit à nouveau et se releva, plusieurs fois de suite et de plus en plus fort… ce qui ne fit qu’augmenter son plaisir… elle continua de plus belle, sentant les boules des anémones frotter ses parois anales et vaginales, et hurla de plaisir. A ce moment, à l’intérieur d’elle, les boules des anémones libérèrent des centaines de petites tentacules, qui se nourrirent des sécrétions vaginales et anales de Jenny. Se sentir ainsi fouillée au plus profond d’elle-même allait provoquer un autre orgasme à Jenny, mais, repues, les tentacules se rétractèrent, et les boules diminuèrent de taille, redevenant plus molles, et sortirent sans encombre des orifices de Jenny, puis disparurent dans leurs tubes minéraux. Elles s’étaient nourries, et repues, elles disparaissaient…
 
Les jambes chancelantes, Jenny sortit de l’eau. Elle s’assit sur le bord de la mare, puis, pour récupérer un peu ses esprits, se mit à genou et approcha son visage de l’eau. Ainsi, elle pu s’asperger de l’eau fraîche de la mare, espérant se remettre et faire cesser cette chaleur qu’elle ressentait, ce feu qu’elle avait en elle. Mais rien n’y fit. Toujours sur ses genoux, elle écarta les jambes, et sa main descendit vers son sexe. Elle se caressa, puis rentra facilement deux doigts dans son vagin. Elle était trempée ! Elle porta ses doigts à sa bouche, les lécha, puis les remis dans son sexe et commença à se masturber frénétiquement. Sa croupe étant levée, elle s’introduisait de temps en temps ses deux doigts trempés de mouille dans son anus, encore béant du passage de l’anémone. C’est au moment où elle eut un violent orgasme qu’une porte s’ouvrit sur sa gauche. C’était la porte de la « libération »… quoique Jenny s’était libérée autrement…
 
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Salle 4 - Mike
 
Mike était sur ses gardes. Le monde dans lequel il était arrivé était dangereux. C’était ce qu’on appelait un maxicosme, un monde géant à l’échelle humaine. Il marchait dans cette immense forêt, lui tout minuscule, depuis une bonne heure déjà. Il s’arrêta pour souffler sous un champignon qui avait trois fois sa taille !
 
Il reprit sa route, mais se sentait observé depuis un petit moment déjà. Il essaya de discerner d’où viendrait le danger, mais les fougères, trois à quatre fois plus grandes que lui, lui cachaient totalement la vue. Ce n’est que lorsqu’une ombre menaçante se dessina au sol qu’il comprit où était le danger. Il leva la tête et vit un oiseau qui volait en cercle autour de lui. C’était un oiseau des forêts, au plumage marron, sans rien de particulier… sauf que pour lui Mike ressemblait à un vers fort appétissant ! L’oiseau plongea à une vitesse vertigineuse, mais Mike était attentif. Il plongea au dernier moment et évita le bec de l’animal, qui se ferma dans un « clac » sonore à quelque centimètre de sa tête. Mike commença à courir en zigzag pour éviter l’animal. L’oiseau fit plusieurs tentatives mais son bec se ferma à chaque fois dans le vide. L’animal décida de voler en rase-mottes pour avoir Mike. Celui-ci vit le danger venir derrière lui. Il vit sur sa gauche un ravin. Mourir pour mourir, autant tenter le tout pour le tout ! Il courut dans cette direction. L’oiseau était plus rapide que lui et gagna bien vite du terrain. Il allait fermer son bec sur le dos de Mike, lorsque celui-ci sauta dans le ravin. Le bec effleura son dos, en le griffant. L’oiseau reprit son envol, cherchant plus loin une autre proie plus facile à attraper pour son déjeuner !
 
Mike chuta les yeux fermés. Il fut fouetté et éraflé par des arbres en tombant, puis sa chute s’arrêta nette. Il ouvrit lentement les yeux. Il était suspendu à quelque mètre du sol, la tête en bas. Il essaya de bouger, en vain. Il regarda alors autour de lui, comme il pouvait. Il était sur un plateau en contre-bas du ravin. Il était tombé à travers les arbres, et ses bras s’étaient enroulés ou entortillés dans des lianes, et une de ses jambes s’était coincée dans une branche d’arbre. Son autre jambe était libre. Il était vraiment bloqué, ne parvenant plus à bouger. Il voyait en dessous de lui, sur le sol, la fleure pourpre qui était tombée de son oreille.
 
Soudain, les fourrés bougèrent. « Pourvu que ce soit quelqu’un qui puisse m’aider, se dit Mike, et pas une bête féroce ! ». Mike vit alors trois boules de poils sortir des fourrés. Lorsqu’ils s’approchèrent de lui, Mike reconnut les singes-nains d’Hydroéa. Ces animaux vivaient dans le maxicosme d’Hydroéa sans avoir une taille particulièrement grande (quoique ces singes avaient quant même la taille d’un enfant humain d’une quinzaine d’année). Ils avaient survécu en adaptant une agilité surprenante, qui les faisaient échapper aux fauves géants du maxicosme. Mike souffla, car ces animaux étaient fructivores.
 
Les trois singes approchèrent de l’endroit où Mike était suspendu. Les singes avaient un poil brun foncé, un ventre plus clair, et des fesses roses, sans poils. Ils l’observèrent d’un air curieux, puis s’approchèrent prudemment. Un des trois singes aperçut la fleur sur le sol. Il appela ses congénères avec quelques cris stridents, et ceux ci s’approchèrent. Ils firent cercle, reniflant la fleur, se la lançant. Mais ils poussèrent bien vite d’autres cris. Le parfum de la fleur agit sur eux aussi. Mike vit distinctement le sexe de deux des trois singes grossir, jusqu’à atteindre une belle érection. Leurs sexes avaient une belle dimension pour des petits singes, au moins 20 cm sur 5, peut-être même 6, et au lieu d’être lisse comme chez les humains, ils étaient de forme ondulée, comme si 6 ou 7 glands étaient empilés les uns sur les autres et recouverts de peau. Le troisième singe avait un pelage plus clair, deux mamelles plus prononcées et pas de sexe en érection… Mike en conclut (fort logiquement !) que c’était une femelle. Un des mâles s’approcha d’elle, fit des gestes comme s’il lui caressait le dos, et la femelle leva un peu sa croupe. Mike était aux premières loges : il vit distinctement les fesses roses de la femelle, son sexe entrouvert, et le mâle qui s’introduisit sans mal et qui pénétra la femelle en poussant des cris assez gutturaux.
 
« Voilà ! Du porno simiesque ! Et je suis aux premières loges… Bon ben, c’est pas tout ça, mais c’est pas mon truc. Faudrait que je me sorte d’ici ». Mike essaye de bouger, mais toujours en vain. Pendant ce temps, le deuxième mâle s’approcha du couple. Lui aussi était très excité. Mais le mâle qui défonçait la femelle lui envoya une taloche pour lui faire comprendre qu’il aille voir ailleurs. Le singe vit alors Mike qui se débattait sur son arbre. Les lianes qui le retenaient prisonnier faisaient faire à son corps des demi-cercles lorsqu’il bougeait. Le singe vit alors les fesses roses de Mike. Il ne fit pas la différence…
 
Avec une vitesse et une agilité surprenante, le singe sautilla jusqu’à l’arbre, se projeta sur le tronc et en trois bon il fut sur la branche qui retenait la jambe de Mike. Celui-ci sursauta lorsque le singe surgit sur la branche.
 
- Qu’est ce que tu fais là toi ? Si tu pouvais me décaler la jambe cela m’aiderait…
 
Mais le singe bondit sur les lianes, et se laissa glisser sur le dos de Mike. Il s’accrocha avec ses pattes à ses épaules, et lui renifla la tête.
 
- Mais qu’est-ce que tu fais ?
 
Mike, mal à l’aise, sentait le sexe dressé de l’animal contre ses fesses. Puis le singe bondit sur les lianes et ressauta sur Mike, mais dans l’autre sens. Ses jambes se serrèrent autour du cou de Mike, et sa tête arriva à hauteur des fesses du jeune homme. Le singe renifla le derrière de Mike, puis son anus. Puis, il enfonça son doigt pour sonder si les fesses de Mike ressemblaient à celle des femelles de son clan.
 
- Mais arrête ! Arrête ! Tu me fais mal… aaaaaaah !
 
Mike sentait ce doigt qui rentrait sans ménagement dans son anus. Cela lui faisait mal, mais en même temps, il vit qu’il commençait à bander dur ! Mike essayait de bouger pour faire tomber le singe, mais celui-ci était trop bien accroché. Il lécha un peu l’anus de Mike, puis refit une cabriole pour se trouver en position. Il était de nouveau accroché aux épaules de Mike, et le jeune homme sentit le sexe tout raide de l’animal qui cherchait son anus.
 
- Arrête, non, pas ça !
 
Toujours accroché par ses mains aux épaules de Mike, les pieds du singe accrochèrent les fesses du jeune homme, et les écartèrent. Puis le singe donna un coup de bassin en avant, et son sexe entra dans l’anus de Mike. Celui-ci hurla de douleur, ce que n’apprécia pas le singe qui lui donna une tape sur l’arrière du crâne. Puis le singe s’enfonça plus profondément dans le rectum de Mike. Il sentit toutes les ondulations du sexe du singe qui passaient son anus. Le singe était un peu perdu, en général ça rentrait plus facilement dans les femelles. Il se tortilla donc un pour que son sexe rentre bien dans le cul de Mike. Ainsi, il détendit le muscle de l’anus, et pu commencer des vas-et viens de plus en plus rapide dans le rectum du jeune homme. Les cris de douleur de Mike devinrent bien vite des cris de plaisir ! Il n’avait jamais été enculé avant, et si au début ce fut très douloureux, la douleur était devenue un plaisir qui submergeait tout son bas-ventre… Son sexe, tout dur, commença à battre et bien vit il éjacula, envoyant un long jet de foutre, qui atterri sur le couple de singe qui copulait encore sur le sol. Le mâle, furieux, quitta la femelle et monta lui aussi sur l’arbre. Il avait encore la fleur en main. De colère, il la jeta violemment sur le visage de Mike, qui en respira toutes les spores. Il devint bien vite aussi euphorique et excité que les singes. Le mâle toujours furieux, s’accrocha à la liane pour donner des coups de pattes à Mike. Ce faisant, son sexe toujours raide allait et venait au niveau du visage du jeune homme. La colère du singe était dangereuse, car avec ses violents vas-et-viens devant le visage de Mike, il pouvait lui crever un œil avec son sexe en érection. Mike n’eut qu’une seule idée pour éviter cet accident : il attrapa le sexe du singe avec sa bouche. Le singe en fut d’abord surpris, puis trouvant cela agréable, il s’accrocha à Mike, et l’épouillait pendant que celui-ci suçait ce sexe ondulé.
 
Etait-ce la plante ou était-ce normal ? Le sexe du singe était tout doux dans la bouche de Mike, et avait un goût de fruit. Mike suça avec application, comme les filles qu’il voyait dans les films pornos qu’il aimait. Sa bouche faisait un lent vas-et-viens sur la longueur de la hampe, tandis que sa langue tournait et léchait le bout du gland dans sa bouche. A ce moment, Mike sentit qu’on touchait à son sexe. C’était la femelle délaissée, qui n’était pas en colère comme le mâle, mais curieuse de la douche de sperme qu’elle avait reçue. Elle venait de trouver d’où cela venait : le sexe de Mike. Elle le prit en main, le renifla, le lécha, puis commença à jouer avec, ce qui eut pour effet de le faire durcir. A ce moment, Mike sentit la queue ondulée dans con cul qui battait à un rythme frénétique, et le singe éjacula dans le cul de Mike. Un sperme assez liquide et tiède remplit son rectum, et déborda par son anus, coulant le long de ses fesses, et de ses jambes. Ensuite la queue de l’autre singe commença à battre dans la bouche de Mike. Il eut juste le temps de la sortir, et le singe éjacula sur son visage. Lui même éjacula sur le visage et les mains de la guenon… Tous hurlèrent et bougèrent des spasmes de l’orgasme, tant et si bien que les lianes et la branche qui retenaient Mike se détachèrent ou cassèrent, et que tous les quatre se retrouvèrent par terre…
 
Les singes se relevèrent et s’encoururent tellement vite que Mike ne vit pas où ils se cachèrent. Lui-même retomba assez lourdement sur le sol, et roula jusqu’à une porte en métal qui s’ouvrit après que sa tête l’eut heurté. Il se releva avec un bleu sur la hanche, une belle bosse, et en ayant vraiment mal au derrière… C’est en boitillant qu’il sortit de l’épreuve des Akraniens…
 
*          *
*
 
 
Salle 5 - Belinda
 
Belinda était sur ses gardes. Elle regarda autour d’elle. C’était une vision d’apocalypse ! Elle était dans une ville, avec des bâtiments détruits, des immeubles et des rues éventrées, des carcasses de voitures fumantes… Pas de doute, une bataille sévère avait ravagé cet endroit. Machinalement, elle mit sa main à sa ceinture, où se trouvait d’habitude l’étui de son désintégrator… mais pas d’arme ! Elle était nue, et seule. Elle avança avec prudence, essayant de reconnaître l’endroit ou des détails lui permettant de discerner où elle était, dans quelle guerre… En tout cas la bataille avait dû être terrible, car ce qui restait de cette ville était vraiment en triste état. Il ne devait pas y avoir beaucoup de survivants. Elle marcha prudemment, mais n’entendait aucun bruit, l’endroit semblait vraiment désert.
 
Elle continuait à avancer, puis s’arrêta contre une carcasse, ses sens en éveil, lorsqu’elle entendit un bruit, un bruit très petit, mais qu’elle connaissait bien : une cartouche de plasma qui chargeait. Elle eut juste le temps de se jeter sur le côté, lorsqu’une déflagration détruit ce qui restait de la carcasse. Belinda se relava précipitamment, voulut se retourner, lorsqu’elle sentit le froid du métal d’une arme entre ses omoplates.
 
- Ne bougez plus ou vous serez détruite ! Retournez-vous, doucement !
 
La voix était étrange, un peu comme un automate. Belinda se retourna doucement. En face d’elle, il y avait un fusil d’assaut Plasma, et au bout de ce fusil un androïde, moitié homme, moitié robot. Ses pieds et ses jambes, jusqu’à la ceinture étaient en métal, ainsi que ses bras. Son visage était humain sur le côté gauche, robotisé sur le côté droit, avec à la place d’un œil un cercle rouge, un scanner-radar très perfectionné. Il avait des cheveux bruns. Belinda supposa qu’elle devait être sur un des systèmes Plan05, où la guerre entre humain et androïde était quasi continuelle, les deux races ne voulant pas laisser une supplanter l’autre. Et comme ils étaient d’une force égale… cette guerre était assez terrible. Elle fit face à l’androïde. Elle vit le petit scanner rouge bouger. Elle était analysée par l’androïde, de la tête au pied.
 
- Vous n’avez pas à être ici. Ce territoire est interdit au genre humain. Vous allez être détruite.
 
Les androïdes étaient des soldats redoutables. Belinda n’avait aucune chance. Elle était finie. Elle décida, dans un dernier réflexe, de jouer le tout pour le tout. Alors que l’androïde chargeait son arme, elle lui tendit la fleur des akraniens.
 
- Attendez, non ! Je viens en amie. Je… je trahis les miens pour vous apporter cette nouvelle espèce végétale, qui… heu… qui peut vous apporter beaucoup !
 
Le scanner du robot analysa la fleur. Il bougeait beaucoup, ne semblant pas trouver ce qu’il cherchait. L’androïde prit la fleur de la main de Belinda, l’observa de près.
 
- Plante inconnue. Impossible ! Nous connaissons toutes les espèces. Je dois montrer ça à mon supérieur ! Avancez devant ! Si vous essayer de fuir ou de vous jouer de moi, vous serez détruite !
 
L’androïde fit avancer Bélinda dans un ensemble de rues, et finalement ils arrivèrent dans un bâtiment fort détruit. Ils descendirent un escalier qui menait vers une cave. Ils ne rencontrèrent personne. Une porte metallique, non verrouillée, permettait d’entrer dans la cave. Ils entrèrent dans une pièce nue, sale, avec des tuyaux qui courraient sur le plafond, plafond qui était assez bas, et avec juste une caisse et deux tabourets comme mobilier.
 
- Levez les mains !
 
Belinda, sentent le froid de l’arme contre son dos, obéit. Ses bras levés, ses mains touchaient les tuyaux. L’androïde l’attacha avec des menottes aux tuyaux du plafond, Belinda ne pouvait que rester debout. A ce moment un autre androïde arriva dans la pièce. Il était quasiment identique au premier, sauf qu’il était un peu plus grand et avait les cheveux blonds. Les deux androïdes discutèrent ensemble, à propos de la fleur, qu’ils scannèrent, regardèrent, sentirent… Puis le nouvel arrivé prit la fleur et partit dans une pièce contiguë…
 
- Je reviens, je vais faire une recherche avec nos ordinateurs. Surveille la fille pendant ce temps !
 
Belinda attendit. Bizarrement, être attachée, nue, devant cette androïde l’excitait. Elle n’avait plus peur. Peut être encore le pouvoir de cette fleur. Elle avait senti son parfum euphorisant avant de la passer à l’androïde. Et maintenant, elle sentait qu’elle commençait à mouiller. Elle regarda l’androïde et vit que son scanner l’analysait encore. Et elle remarqua qu’il transpirait, sur le côté humain de son visage. Elle écarta les jambes, et lui parla d’une voix aguicheuse.
 
- Tout va bien ?
- Je me sens bizarre. Comme euphorique. Ce sentiment est assez rare chez nous. Et je me sens aussi… excité ! Comme vous ! Mon scanner repère vos sécrétions vaginales !
- Oui… mais tu n’as même pas de sexe ! Comment pourrais-tu être excité !
 
L’androïde déposa son arme et s’approcha de Belinda. Il se mit face à elle. Sa main metallique caressa le visage et les gros seins de la femme. Belinda sentit ses tétons durcir. Elle ne s’était jamais laissé draguée, ni séduire… c’était toujours elle qui prenait l’initiative, qui « chassait ». Elle était prédateur, et non proie ! Malgré son excitation, pour la forme, elle bougea pour se dégager. L’androïde la gifla, puis continua ses caresses. Puis un petit déclic se fit entendre. Belinda vit, à l’entrejambe de l’androïde, une petite trappe s’ouvrir… et un sexe en sortit. Il était tout en métal, sauf le gland, qui était de chair, comme pour n’importe quel homme.
- Nous avons un sexe. Et nous, contrairement à vos pitoyables hommes, nous pouvons choisir sa longueur, sa grosseur, le moment de l’éjaculation… je contrôle tout, comme je veux !
 
Belinda vit (avec ravissement ?) qu’il ne mentait pas. Son sexe devint tout d’un coup très petit, comme celui d’un enfant… puis, dans la seconde d’après, il grossit, grossit, et devint aussi grand et gros qu’une bite d’étalon ! Puis il éjacula un liquide sur le visage de Bélinda. Le jet arriva sur ses lèvres et son menton… et c’était bien du sperme !
- Je contrôle tout, comme je veux ! fit l’androïde avec un sourire.
 
Il s’approcha de Belinda. Son pénis reprit une taille normale. Il mit ses mais sur les hanches de la blonde, et la pénétra d’un coup, sans la prévenir. Il la violait ! Heureusement pour Belinda, sa chatte était déjà trempée, surtout à la vue de ce pénis qui changeait de forme, du sperme qui coulait sur ses lèvres et son menton… Elle sentit l’androïde s’enfoncer facilement en elle. Puis elle sentit le sexe de l’androïde grossir et grandir en elle ! Il prenait la taille la plus adaptée pour lui donner le plus de plaisir ! Et il commença à la ramoner sans ménagement, ses mains agripper sur son cul. Devant la force de l’androïde, elle agrippa ses jambes à sa taille, et se laissa violer, en criant son plaisir. Car l’androïde la prenait avec force, sans ménagement, il la ramonait comme elle ne l’avait jamais été… De plus, le gland tout chaud de l’homme, suivit du membre métallique tiède lui donnait beaucoup de sensations, et il avait vraiment la taille et la grosseur qu’il fallait ! Elle jouit deux fois, avant qu’il ne se laisse aller à jouir en elle. Elle sentit le jet de sperme chaud inonder le fonds de sa chatte…
 
- C’est comme ça que tu surveilles la prisonnière ?
 
L’autre androïde était revenu. Belinda le vit aussi venir près d’elle. Il bouscula l’androïde qui l’avait si bien fait jouir, et le regarda avec sévérité.
- Retourne patrouiller, soudard pervers !
 
L’androïde aux cheveux bruns prit son arme et sortit précipitamment. Puis, l’androïde blond s’approcha de Belinda. Elle lut une grande convoitise dans ses yeux.
- Tu vas voir, moi je peux faire bien mieux… je suis plus évolué que lui…
La petite trappe à l’entrejambe s’ouvrit, et un sexe pareil à celui de l’autre androïde en sortit. Puis il prit Belinda par les fesses, et la pénétra avec force. Elle cria, mais bien vite ce fut de plaisir…le sexe du supérieur, totalement entré en elle, la ramonait, et en plus de la ramoner, il vibrait ! C’était un sexe vibreur, qui décuplait le plaisir dans la chatte de Belinda. Elle cria de plaisir et eut un orgasme mouillé. Le supérieur sortit son pénis-vibreur du sexe de Belinda… et le pénis de l’androïde était trempé de mouille ! Puis l’androïde se plaça derrière elle. Il la prit fermement par les seins. Elle sentit le gland trempé de l’androïde contre son anus. Il força un peu, mais son sexe était tellement trempé par la mouille de Belinda qu’il passa sans peine le muscle anal. Il s’enfonça dans le cul de la jeune fille, qui cria de plaisir… Puis sons sexe recommença à vibrer tandis qu’il la sodomisait avec plaisir. Elle hurla, et la sensation était tellement forte, qu’elle avait l’impression de jouir du cul. Puis, une nouvelle fois, l’androïde s’arrêta et sortit son sexe du cul de Bélinda. Il revint se mettre devant elle, et constata qu’elle était trempée. Il sourit.
- Et encore, tu n’as rien vu ! fit il avec un regard lubrique…
Belinda entendit alors un autre déclic, et elle vit sous le pénis de l’androïde un deuxième mini pénis apparaître, tout à fait de métal celui-là… puis un troisième, plus petit, au-dessus du pénis. Le pénis du dessous était constitué de boules, c’était un gode anal, de belle dimension. Celui du dessus, plus petit, était terminé non pas par un gland, mais par une petite boule de métal. L’androïde se colla contre Belinda. Il la pénétra de son sexe principal. Elle sentit à nouveau le gland humain passer ces petites lèvres, lui arrachant un soupir de plaisir. Mais au lieu de s’enfoncer en un coup, il allait lentement. Il la pénétrait centimètre par centimètre. Puis, après une série de petit cliquetis, Belinda sentit le sexe du dessous, en forme de gode anal, venir s’insinuer entre la raie de ses fesses, puis buter sur son anus, pourtant déjà bien ouvert. L’androïde continua à s’enfoncer en elle. La première boule força l’anus de Bélinda, lui arrachant un petit cri de douleur. « Elles sont trop grosse, pensa-t-elle, il va me déchirer l’anus ! ». Mais elle aimait la sodomie et la pratiquait régulièrement. Son muscle anal accepta assez facilement le gode qui s’insinuait dans son cul. Se faire doublement pénétrer par le même homme, que c’était excitant ! Elle sentait sa grosse bite s’enfoncer dans son vagin, et le gros gode dans son trou de cul… Elle criait de plaisir. Puis, le gland buta contre le fond du vagin de Bélinda, et en même temps, la petite boule du petit sexe du dessus vint caresser son clitoris. Puis, l’androïde commença à bouger en elle… elle sentait les boules qui allaient et venaient dans son anus et son rectum, le gros pénis dans son vagin, et la boule metallique qui lui massait le clitoris… Belinda, cria, joui encore et encore, et mouilla tellement qu’elle sentait sa mouille dégouliner le long de ses jambes et le long de ses fesses, et former une petit flaque au sol… L’androïde la ramonait par tout ses orifices de plus en plus fort, et le plaisir en était si fort, qu’elle en perdait conscience, ne comptant plus les orgasmes, s’accrochant de ses deux mains au tuyau auquel elle était attachée… tuyau qui, sous les coups de butoir et le poids des corps, se balançait de plus en plus… et fini par lâcher, dans un grand bruit et avec un petit morceau de plafond. A demi consciente, Belinda se retrouva au sol. Elle se releva péniblement, tenant à peine sur ses jambes. Elle vit l’androïde inconscient, quelques morceaux de plafonds lui étant tombé sur la tête. « Fuir… je dois fuir… c’est le moment… » Elle sortit par la pièce sur le côté. Il faisait noir. Elle buta sur quelque chose, et allait tomber au sol lorsqu’une porte s’ouvrit et qu’un akranien la rattrapa au vol, l’empêchant de tomber au sol…
 
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Par Brusselx - Publié dans : Mes Récits...
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